Les deux fidèles disciples de l’abbé Georges de Nantes ont eu l’occasion, d’une manière originale, de lui rendre hommage et de démontrer une nouvelle fois, à sa suite, que le concile Vatican II est bien la cause de la ruine de l’Église.

À la Contre-Réforme et son expansion catholique a correspondu une effroyable régression du christianisme dans les pays protestants ! Un bûcher pour Luther eût mieux valu pour toute la Chrétienté !

Dans ce premier volet consacrée à l’histoire de la dévotion au Saint Suaire, frère Bruno nous introduit dans la contemplation de la plus insigne de nos reliques. Très bien illustrée, cette conférence présente le problème inattendu et saisissant que pose le Saint Suaire à la conscience et la science moderne.

Dans ce premier volet consacrée à l’histoire de la dévotion au Saint Suaire, frère Bruno nous introduit dans la contemplation de la plus insigne de nos reliques. Très bien illustrée, cette conférence présente le problème inattendu et saisissant que pose le Saint Suaire à la conscience et la science moderne.

Le Saint Suaire est un cinquième Évangile. Frère Bruno est intarissable sur ce sujet, parce qu’il n’a d’autre ambition, à l’école de notre Père, que de se faire l’écho de la tradition de l’Église, qui conserve et vénère depuis deux mille ans ce Linge sacré où apparaissent les authentiques vestiges des souffrances de son Époux divin en sa douloureuse Passion.

On reconstitue ainsi le parcours que suivit le Saint Suaire au cours de l’histoire : de Palestine jusqu’à Lirey en Champagne. Les clarisses de Chambéry ayant été chargées de réparer les dommages subis pendant l’incendie de 1532, on a conservé leur témoignage plein de dévotion compatissante. Qu’il soit nôtre en ce temps de Pâques !

Notre-Dame de Guadalupe, a façonné la nation mexicaine catholique en captivant les cœurs bien disposés par le seul regard admirable de sa miraculeuse Image.

L’un des fruits de la Contre-Réforme catholique au XVIe siècle est le développement incroyable des missions. Saint Alphonse-Turibe et saint Jean de Britto sont deux exemples très attachants de ce renouveau.

Le discours de Le Pen le 1^er mai comporte une nouveauté et une justesse que le Père salue, que frère Bruno analyse et qui pourraient bien être le début du salut !

Sédévacantistes, lefebvristes, Madiran : tous ces opposants à l’Église officielle doivent être jugés à l’aune de la foi et de la loi de l’Église : il en va de la vie éternelle !

Il faut dénoncer ces réunions œcuméniques, sans aucun impact sur la réalité, qui sont un outrage au seul vrai Dieu et de nature à faire perdre la foi aux catholiques !

Les appels à la paix du Pape à Assise, sans demande de conversion comme le réclama l’Ange aux enfants de Fatima, sont un outrage au Ciel !

Sous couvert de démocratie, de science ou bien de terrorisme islamiste, c’est toujours Satan qui se déchaîne, menteur et homicide. Mais frère Bruno nous dévoile certains signes qui annoncent sa défaite...

Malgré la consolation du retour du petit roi Louis XVII dans la basilique Saint-Denis, la nécessité d’une Contre-Réforme pour remédier à l’impiété du monde et de l’Église est d’une actualité toujours plus criante.

À étudier scientifiquement le Coran, avec une méthode nouvelle, frère Bruno balaye les légendes et révèle un texte juif et profondément antichrétien. Mais comment expliquer alors l’expansion arabe ?

Frère Bruno expose ici son travail sur les origines de l’islam en expliquant d’abord sa méthode, puis en tirant d’une traduction scientifique du Coran des conclusions historiques.

Dans cette seconde conférence, frère Bruno développe les résultats obtenus dans la première et nous montre la folle volonté de l’islam de dominer le monde.

Avec ce premier volet de la série “ Sur les pas des Apôtres ”, entrez dans cette période mal connue du Moyen Testament, et suivez les esséniens dans leur attente messianique des deux derniers siècles avant notre ère, à Qumrân et à Jérusalem.

Par sa traduction scientifique du Coran, frère Bruno établit d’une manière certaine que les sources du Coran sont bibliques, Ancien et NouveauTestament.

Frère Bruno partage les fruits savoureux de son travail d’exégète sur le Coran, mené selon les règles scientifiques critiques : le résultat en est passionnant, totalement nouveau et constructif !

Ce montage sur le Saint Suaire a été réalisé pour répondre à une demande de la chaîne de télévision Direct 8, pour son émission “ Dieu merci ! ” diffusée le dimanche de Pâques 16 avril 2006.

Ce montage sur le Saint Suaire a été réalisé pour répondre à une demande de la chaîne de télévision Direct 8, pour son émission “ Dieu merci ! ” diffusée le dimanche de Pâques 16 avril 2006.

Ce montage sur le Saint Suaire a été réalisé pour répondre à une demande de la chaîne de télévision Direct 8, pour son émission “ Dieu merci ! ” diffusée le dimanche de Pâques 16 avril 2006.

En interrogeant le frère Bruno Bonnet-Eymard, La Religion en vrai vous fait découvrir le Coran... en vrai ! Une émission tout à fait d’actualité, bien documentée, et dans l’esprit du Père de Foucauld qui aspirait à la conversion des musulmans.

Quelle est l’origine véritable du Coran ? Quel rapport adopter avec l’islam contemporain ? Peut-on convertir les musulmans ? Réponse par la doctrine CRC en trois entretiens.

Le Saint Suaire nous raconte en détail la Passion du Christ, comme un cinquième Évangile. Mais il est surtout la preuve de la Résurrection de Celui qui y a imprimé la brûlure de sa gloire divine !

Les actualités se résument à l’apostasie dans l’Église, à laquelle le dernier livre de Benoît XVI, “ L’Enfance de Jésus ”, met un comble ; et à la subversion du principe d’autorité qui en résulte dans le monde, notamment contre Bachar-el-Assad en Syrie.

Frère Bruno nous apprend, dans un résumé saisissant, que de la Genèse à l’Apocalypse, la Bible raconte le combat de la Femme et de sa semence contre le Serpent.

Libérant les descendants d’Abraham d’Égypte, Dieu se constitue un peuple qu’il se consacre par les liens religieux d’une alliance. La religion de l’Ancien Testament est née, historique et divine.

De l’Ancien au Nouveau Testament, la religion de l’Alliance repose sur une foi, une loi, un roi. C’est la “ religion royale ” de Samuel et de David, réalisée parfaitement par Jésus-Christ, prolongée par nos saints rois de France.

Les mille ans de la conquête et de la colonisation de la Terre promise furent une succession d’infidélités, de châtiments et de délivrances d’Israël, par la mains de “ juges ” envoyés de Dieu, sauveurs de leur peuple et dictateurs.

Laïcisation, mariage gay : la franc-maçonnerie gouverne et corrompt la France. Mais ces désordres sociaux et moraux ne sont que le salaire du culte de l’homme et du mépris de l’Immaculée de Paul VI et Benoît XVI.

Quel prodigieux parti la France pourrait tirer de l’opération “ Serval ” au Mali ! Avec l’alliance de la Russie, car nos deux nations ont tout pour s’entraider et lutter ensemble contre la révolution dans le monde.

Saint Jean-Baptiste personnifie le plus pur judaïsme dont l’Église est l’héritière légitime, celui des Pauvres de Yahweh de la fin de l’Ancien Testament, pétris des prophéties de Daniel et marqués par l’esprit des esséniens.

Au retour de l’Exil, les chronistes annoncent une restauration du peuple de Dieu, comme une communauté sainte rassemblée autour du Temple où Dieu réside, où prêtres et lévites dirigent sa vie cultuelle.

La démarche romaine contre le CEC, et celle de frère Bruno qui la doublait auprès de la Secrétairerie d’État traduisent l’angor Ecclesiæ du Père, qui ne l’a pas quitté depuis 1944... Récits palpitants.

Dans le Décaloque de Moïse, Dieu parle aux hommes et commande. Dans celui d’Assise, c’est l’homme qui parle et s’engage ! Saint Pie X a magistralement dénoncé et réfuté cette apostasie dans la Lettre sur le Sillon.

Frère Bruno présente le quatrième tome de Toute la vérité sur Fatima. C’est le récit de quarante années de combat des ténèbres contre le Cœur Imaculée de Marie.

Sœur Lucie, messagère de l’Immaculée, est établie gardienne de la foi catholique sans laquelle nul ne peut être sauvé.

L’ouvrage de sœur Lucie, Les Appels du Message de Fatima, offre matière à un catéchisme complet que nous pourrions intituler « le Cœur Immaculé de Marie, chemin de divinisation ».

Sœur Lucie est morte à 97 ans, ayant accompli sa vocation, reçue à l’âge de dix ans de la bouche même de la Sainte Vierge : « Jésus veut se servir de toi afin de me faire connaître et aimer… »

Nous sommes, grâce au Ciel, sous la houlette d’un Pape catholique qui fait son devoir. Notre devoir est donc double : d’abord le lui laisser faire, et puis le lui faciliter.

Sous les pontificats de Jean-Paul I^er et Jean-Paul II, notre Père a mené le combat de Contre-Réforme contre la réforme de l’Église, dans un esprit filial et en gardant le souci de la réconciliation.

Face à Jean-Paul II, notre Père mène de front le combat de Contre-Réforme, qui culmine avec son deuxième Liber, et la préparation de la Renaissance de l’Église par son œuvre doctrinale positive, fondée sur sa métaphysique totale.

Tandis que s’ouvre le procès de Jean-Paul II, où sera enfin examinée la pureté de sa doctrine, Benoît XVI donne raison à l’abbé de Nantes en abjurant l’erreur capitale du CEC !

Le psaume 109, l’un des seuls cités littéralement dans l’Évangile, révèle la transposition opérée par Jésus de l’Ancien au Nouveau Testament. Il annonce toutes les grandeurs du Christ, mais à travers une épreuve mystérieuse...

À certains hommes précis, en certains lieux bien repérés, Dieu apparaît aux hommes dès les origines : c’est ce que nous enseigne le Pentateuque.

Par ces livres, Dieu nous manifeste qu’il veut avoir toute l’initiative du salut de l’homme. Il décide de tenir parole et de donner à son Peuple cette Terre promise, cette terre de Canaan.

La décadence du royaume de David est racontée par une suite de livres historiques qui donnent l’explication de cette chute terrible, du retour d’exil et de l’ultime tentative de restauration qui échouera, pour en arriver au temps de Jésus.

Les prophètes sont les successeurs de Moïse et vont tonner pendant plusieurs siècles contre les infidélités que font les rois à l’Alliance avec Yahweh. La lignée des prophètes commence avec Élie et Élisée, Isaïe en sera le plus grand.

Le prophète Jérémie pleure sur Jérusalem dont il annonce le châtiment. Il assiste à l’invasion, la déportation du peuple juif. Malgrès tout, Yahweh, par la bouche de son prophète, annonce le retour d’exil et la restauration du trône de David.

Le prophète Jérémie meurt dans des persécutions qui préfigurent la Passion du Christ. Ézéchiel prend la suite, et par ses grandes visions annonce ce que Yahweh réserve à son peuple.

Toute la sagesse du Livre des Proverbes est fondée sur la crainte de Yahweh, et promet toutes les bénédictions à celui qui obéira à la Loi. Les vertus du sage en Israël sont dessinées, Jésus en sera la figure parfaite.

De retour d’Exil, les Israélites trouvent leur pays au main de leurs ennemis. Leur malheur est figuré par Job, l’homme juste écrasé de souffrances, mais dont l’histoire dévoile un peu plus la Sagesse de Dieu.

Les livres poétiques et sapientiaux révèlent que l’homme vit en présence de Dieu et reçoit tout de sa main. Toute cette attention de Dieu pour sa créature vient de l’amour d’un Époux pour son épouse...

Frère Bruno lance contre Hans Küng une controverse qui veut éprouver la solidité de l’argument vrai en la confrontant à l’erreur moderne très séduisante exposée dans son livre.

Après l’exposé de la théorie de Hans Küng, vient sa réfutation, par les grands noms de la philosophie contemporaine, qui font tomber de son piédestal ce faux grand homme !

Pour Hans Küng, Jésus est unique ; il est venu sur terre pour l’annonce d’un Royaume qui n’est pas du tout ce que vous croyiez jusque là ! …

Pour découvrir le message de Jésus, commençons par le Royaume, annoncé par les Écritures qui aboutissent à Jésus, établissant son Règne par l’Église dont la gloire ne paraîtra qu’au Ciel !

Le Jésus de Hans Küng a provoqué le conflit avec les autorités jusqu’à sa mort, point final de sa vie. Il ne reste plus rien de notre Credo. Mais en a-t-il fait la preuve ?

Après les ténèbres, un flot de lumières jailli des Prophètes et des Évangiles sur tous les points niés par Hans Küng et qui nous fait aimer, adorer et remercier notre Sauveur !

Si vous voulez savoir comment les hommes ont mythifié la mort et la naissance de Jésus, la Vierge Marie et l’Église, vous écouterez l’exposé d’un serpent et d’un apostat...

Une très belle leçon d’exégèse selon l’école française, qui démonte les préjugés d’Hans Küng et nous restitue dans toute leur vérité les récits évangéliques fondant notre Credo !

À la praxis indigente de Küng, le frère oppose le programme CRC de notre Père qui nous transporte dans les hauteurs de l’esthétique mystique, récapitulant le dessein divin dans notre histoire, centrée sur la Croix du Christ !

L’anti-mal français :
Pendant deux mille ans, l’Église répandit l’Évangile par la Croisade, l’Inquisition et la monarchie très chrétienne. Les frères le prouveront !

C’est Rome qui a lancé les croisades, cette « grande aventure d’une vie rachetée », modèle d’assimilation et de colonisation chrétienne, sans racisme ni spoliations au profit des vainqueurs !

N’exagérons pas à plaisir la brutalité des croisés ! Leur esprit chevaleresque dans les combats et courtois envers la femme – image de la Vierge Marie ! – reflète la douceur évangélique.

La vérité sur l’hérésie albigeoise ?
Une véritable guerre de sécession entre la France du Sud, protectrice de l’hérésie, et la Chrétienté, n’en déplaise à Alain Peyrefitte !

Les Templiers ! Mystère irritant touchant à trois thèmes controversés : Croisades, Albigeois et Inquisition !
Loin des partis-pris fanatiques, il faut savoir « toujours raison garder » et ainsi découvrir la vérité !

L’Inquisition médiévale fut débonnaire parce que légitime.
Le terrorisme, c’est du côté de Calvin – car sans légitimité – qu’on le trouvera.
Conférence décapante !

Qu’est-ce que le protestantisme ? « L’insurrection de l’individu contre l’espèce » (Auguste Comte).

L’Église fait bien tout ce qu’elle fait, même en condamnant Galilée ! Preuves à l’appui, comment peut-on le défendre et accuser l’Église ? Mystère d’iniquité !

Un conte fabuleux inspiré annonçant en énigme cachée la victoire de l’Immaculée contre Satan !

Le Père transpose de façon magistrale le Livre d’Esther, donc le combat de Mardochée contre Aman, à l’actualité de notre Église conciliaire, attaquée par Aman mais que sa Reine au Cœur Immaculé sauvera !

Le témoignage du grand rabbin de Rome, Eugenio Zolli, passeur des Hébreux de la Synagogue à l’Église de Rome.

Les manuscrits de Qumrân nous révèlent ce que furent les esséniens et leur doctrine. Issus d’un mouvement de “ contre-réforme ” juive, ils seront les premiers à se convertir au christianisme.

Née dans la religion juive, philosophe assoiffée de vérité, elle se convertit au catholicisme et devient carmélite pour s’offrir en victime d’expiation pour le salut de son peuple.

Commentaire littéral de l’oratorio par frère Bruno.

Commentaire littéral de l’oratorio par frère Bruno.

Commentaire littéral de l’oratorio par frère Bruno.

C’est en aimant son papa que sainte Thérèse de Lisieux a appris à aimer Dieu le Père. La voie d’enfance spirituelle consiste avant tout à s’abandonner à Dieu le Père comme un enfant.

De Jeanne, instrument de l’Immaculée pour sauver la France d’une perte certaine, frère Bruno nous fait revivre les mystères joyeux si proches de ceux de Jésus, de Domrémy à Chinon !

Les nombreux rapprochements dans la geste de Jeanne et de Bernadette les mettent au rang des plus grands saints !

Épée miraculeuse, étendards et colombe sont les armes de Jeanne, sous lesquelles il faut nous enrôler pour obtenir la victoire !

Jeanne posséda en perfection les sept dons du Saint-Esprit, preuves à l’appui ! Qu’avec l’Immaculée, elle nous les obtienne !

Le Père a fondé la Phalange pour garder notre Foi, pure de toute hérésie. Frère Bruno nous détaille son Credo !

De la profession catholique de notre Credo phalangiste découle d’abord une fidélité religieuse, à Jésus-Christ et son Église, dans la dévotion à Notre Dame de Fatima, gage de prédestination !

En politique, le phalangiste est fidèle à la France catholique et royale. Frère Bruno en expose toutes les implications, dictées par la noblesse de la mission divine de la France !

Prier pour la France, c’est prier pour qu’elle revienne à sa mission, voulue par Dieu et la Vierge, pour l’extension de leur Règne !

Présentation du tome II de frère Pascal sur Mgr Freppel : il créa l’Université catholique d’Angers pour régénérer la France par l’éducation chrétienne de la jeunesse afin de la prémunir contre les idées révolutionnaires.

Au sermon de la messe, frère Bruno appliqua à la Phalange de l’Immaculée une homélie composée par sainte Édith Stein sur “ la Croix, notre unique espérance ”.

Châtiée de son laïcisme, la France est envahie par l’islam. Quand la France renaîtra, elle retrouvera sa vocation missionnaire auprès de ces millions de musulmans que la Providence lui a confiés.

Il y a cinquante ans, nos frères Bruno et Gérard rencontraient l’abbé de Nantes au collège Saint-Martin de Pontoise. L’aventure commençait... elle n’est pas achevée.

Les péripéties du combat de notre Père deviennent haletantes : appel à Rome, suspense, dénonciation de la Réforme qui se répand dans l’Église comme un cancer, ouverture du procès en mai 1968.

Pour le service de l’Église, notre Père n’hésita pas à compromettre son projet de fondation monastique. Les années 1970 furent néanmoins très fécondes, en étroite convergence avec le Secret de Notre-Dame.

Notre Père fut marqué par la Providence pour mener le combat de la foi contre la Réforme conciliaire. Après l’intermède de Jean-Paul I^er, il reprit la lutte, contre l’humanisme gnostique de Jean-Paul II.

Le modernisme pontifical est le principal objet du deuxième livre d’accusation de notre Père, dont le labeur acharné de docteur de l’Église a préparé les voies à sa renaissance.

Notre Père identifia la “ gnose unanimiste ” de Jean-Paul II, imposée à l’Église par le Catéchisme de l’Église catholique, à l’encontre duquel il déposa à Rome le 13 mai 1993 un troisième livre d’accusation.

Charles de Foucauld est mort seul, comme un grain de blé et de faux disciples ont travesti son image. Mais notre Père, parfait disciple, a porté son héritage à sa plénitude par son œuvre et sa doctrine totale.

Une présentation de la situation de notre communauté et de celle de notre Père, à l’abri du bouclier du droit de l’Église. Nous sommes à la dernière place, mais libre de garder notre foi catholique.

Comme Saul de Tarse ou Charles de Foucauld, notre Père a été “ mis à part pour l’Évangile ”.

Frère Bruno rappelle combien est nécessaire la rédemption de la France, mystère de grâce que nous obtiendra le cœur du jeune Louis XVII.

Récit des trois longues années de labeur de prison du petit roi Louis XVII, ponctuées par un pressentiment des mystères glorieux, encore à venir, dans une ressemblance presque jamais égalée avec la vie de Notre-Seigneur.

Au cours de notre journée de Jeanne d’Arc à Paris, frère Bruno nous expliqua magistralement la nécessité de restaurer notre sainte religion dans notre Patrie.

Notre religion est un amour, sous la forme d’un contrat d’Alliance inégale entre Dieu notre Père et sa pauvre créature, qu’il pose dans l’être, qu’il aime et qu’il veut faire entrer dans son grand dessein divin.

Trois découvertes de l’année touchent à l’actualité brûlante de l’Église et du monde : l’archéologie biblique, la reprise de la guerre islamique, enfin la Russie de Poutine !

L’anniversaire des accords d’Évian, les USA dans la guerre israélo-palestinienne avec l’offensive imminente en Irak, la France en élections : tous les signaux au rouge sauf chez les Latins !

Aucun avion ne s’est écrasé sur le Pentagone, le 11 septembre 2001 ! Une annonce-choc dont la démonstration implacable remet en cause la légitimité de la riposte américaine contre l’Axe du Mal !

L’Église court à la ruine par la main de Jean-Paul II, mais frère Bruno invite à espérer. Moure, le Saint Suaire, Jean-Paul I^er sont autant de signes indubitables que notre foi est vraie, qu’« Il est ressuscité ! ».

La politique étrangère des USA passe par la domination du Moyen-Orient, donc par une guerre en Irak. Le monde entier plonge dans la révolution et le chaos à l’exception de la Russie, qui défend son identité.

Jésus est trahi par les catholiques eux-mêmes, en Italie, en France, au nom de la laïcité, tandis que le Pape exclut la Sainte Vierge en l’ignorant volontairement et en détruisant le chapelet.

Frère Bruno évoque l’assassinat de Roberto Calvi puis la situation de la France, mal dirigée, mercenaire des États-Unis, et celle de la Russie, qui possède l’avenir, nous dit Notre-Dame de Fatima.

L’Église se décompose ! Ratzinger l’avoue lui-même, et La Promesse de Lustiger le prouve. Frère Bruno réfute l’ouvrage et son auteur pour nous indiquer la seule promesse qui tienne : celle de Fatima !

Le secret de Fatima s’accomplit en conséquence du culte de l’homme : les erreurs de la Russie se répandent, provoquant une prochaine guerre en Irak et des persécutions dans le monde contre l’Église.

Pendant que la Russie lutte efficacement contre l’islam en Tchétchénie, l’Europe chrétienne sympathise avec l’islam “ modéré ” et les États-Unis alimentent les courants islamiques par leurs interventions au Proche-Orient.

Après 40 ans de réforme conciliaire, conformément aux prévisions de l’abbé de Nantes, l’Église s’est abîmée dans l’hérésie et le schisme, dont le fruit est toujours le scandale.

Quarante après Vatican II, l’Église défaillante ne lutte plus contre les fanatismes, mais pour la liberté religieuse : le monde court à sa ruine.

Le monde, sous la domination américaine, s’enfonce progressivement dans le chaos. Seule la Russie de Poutine se relève, dans l’attente de sa conversion...

Impossible d’avoir la paix tant que les hommes refuseront de se tourner vers Dieu et le Cœur Immaculé de Marie pour construire plutôt la “ tour de Babel ” révolutionnaire.

Frère Bruno analyse la situation au Moyen-Orient après trois semaines de conflit : rien n’est réglé. La véritable clé n’est ni à Bagdad, ni même à Jérusalem, mais à Rome !

Le bilan du pontificat de Jean-Paul II dressé par frère Bruno est désastreux. La cause ? Les retards dans l’exécution des demandes de Notre-Dame de Fatima.

Portraits opposés des États-Unis, hégémoniques, mercantilistes, mais perdants du terrain face à la Russie, puissance montante reposant sur le nationalisme russe et l’Orthodoxie, hélas ! faute de consécration au Cœur Immaculé de Marie.

Les déclarations du père Dupuy comme la vie de Mère Teresa illustrent les fruits du Concile après vingt-cinq ans de pontificat de Jean-Paul II : le passage de la foi catholique à l’apostasie.

La paix est impossible en Israël, en Irak, en Afghanistan... Pour garder l’espérance, nous tournons une fois de plus nos regards vers Jean-Paul I^er, que son procès de béatification commence à ressusciter !

Le triomphe universel des hérésies – modernisme, indifférentisme religieux – dans une Église en voie d’extinction est le signe que notre délivrance approche, comme en témoigne le relèvement de la Russie.

Alors que les fléaux du libéralisme, du laïcisme et de l’humanisme athée dévorent le monde, on assiste, plein d’espérance, à une Contre-Réforme et une Contre-Révolution spontanées !

Le chaos et la peur : deux titres de La Croix qui, pour une fois, dit vrai ! C’est aussi le bilan d’un pontificat inauguré par ces mots : « N’ayez pas peur ! » Ouvrons donc les dossiers de l’Église, du monde et de la France.

L’Église a prétendu épouser le monde au Concile. 40 ans après, les fruits sont là, pourris... La vérité cependant brille encore pour qui veut voir ! La Passion du Christ de Mel Gibson, par exemple, nous la donne à contempler.

Une fois encore, le Secret de Fatima permet à frère Bruno d’exposer la situation dans le monde et l’Église : la terre entière est menacée d’embrasement, faute de pénitence.

Tandis que les foyers d’incendie se multiplient, notre espérance est dans une vigoureuse Contre-Réforme qui lèvera l’obstacle conciliaire à la conversion de la Russie.

L’Europe est devenue une machine de guerre antichrétienne tandis que le monde oscille entre une hégémonie américaine à relent protestant et un fanatisme musulman entretenu par la même super-grande puissance.

Le 13 mai 1983, l’abbé de Nantes convoquait le Pape au tribunal de la Très Sainte Vierge. Le samedi 2 avril 2005, c’est Elle-même qui l’a cité à comparaître devant le Souverain Juge.

Benoît XVI se révèle au fil des jours un nouveau Jean-Paul I^er qui s’ignore, “ évêque vêtu de blanc ”. Serait-il aussi un abbé de Nantes qui s’ignore ?

La laïcité et son corollaire conciliaire, la liberté religieuse, ont accumulé les ruines. Il est temps de promouvoir une authentique Contre-Réforme !

Frère Bruno dresse un bilan accablant des cinq dernières années du pontificat de Benoît XVI. Sa nouvelle religion, celle de Vatican II, plus luthérienne que catholique, fut l’unique objet de ses travaux.

La démission de Benoît XVI manifeste la faillite du concile Vatican II qui est la cause des scandales dans l’Église et des guerres dans le monde. Préparons Vatican III !

Ce pèlerinage inoubliable, décidé par notre Père pour obéir aux demandes de Notre-Dame est l’aboutissement des trois années de notre croisade eucharistique et mariale.

À la veille de la béatification de notre vénéré Père, il nous est bon de revenir sur son existence qui reproduit, de manière inouïe dans l’histoire de l’Église, celle de Notre-Seigneur.

Frère Bruno nous fait visiter la crèche de la maison Saint-Joseph et nous fait méditer sur les montagnes de trésors de notre sainte religion. Notre Père prend ensuite le relais en nous conduisant à la Grande Chartreuse.

Frère Bruno nous fait visiter la crèche de la maison Saint-Joseph et nous fait méditer sur les montagnes de trésors de notre sainte religion. Notre Père prend ensuite le relais en nous conduisant à la Grande Chartreuse.

Comment résoudre cette prétendue contradiction entre le fait que les espèces du pain et du vin subsistent, et que pourtant Jésus est l’Hostie ? Seule la métaphysique de notre Père donne une réponse !

En ce 150^e anniversaire des apparitions de Lourdes, frère Bruno vous emmène visiter la crèche de la Maison Saint-Joseph pour méditer les richesses du Cœur Immaculé de Marie.

En ce 150^e anniversaire des apparitions de Lourdes, frère Bruno vous emmène visiter la crèche de la Maison Saint-Joseph pour méditer les richesses du Cœur Immaculé de Marie.

À l’école de l’abbé de Nantes notre Père, frère Bruno montre que les Apparitions de la Sainte Vierge en France étaient déjà préfigurées dans la Bible.

Cette année encore frère Bruno nous emmène visiter la crèche de la maison Saint-Joseph, qui est une belle illustration de la retraite prêchée par notre Père en 1987, sur “ Les trois âges de la vie religieuse ”.

Cette année encore frère Bruno nous emmène visiter la crèche de la maison Saint-Joseph, qui est une belle illustration de la retraite prêchée par notre Père en 1987, sur “ Les trois âges de la vie religieuse ”.

L’ostension prochaine du Saint Suaire de Turin mobilise toutes nos pensées. C’est donc tout le mystère de la Rédemption qui est figuré dans la crèche et que frère Bruno nous fait méditer : richesse savoureuse et solidité scientifique !

En ce premier samedi du premier mois de l’an de grâce 2011, frère Bruno et frère Gérard nous montrèrent à quel point il est beau et bon pour nous de nous réfugier dans le Cœur Immaculé de Marie, notre Mère à tous à jamais.

La crèche a été cette année située dans son contexte orthodromique. Dans ce divin déploiement d’amour rédempteur, la Vierge Marie est présente à toutes les étapes !

La crèche a été cette année située dans son contexte orthodromique. Dans ce divin déploiement d’amour rédempteur, la Vierge Marie est présente à toutes les étapes !

Le Saint-Père a célébré à sa façon l’anniversaire de la conclusion du concile Vatican II...

« Dieu est Amour ! » Benoît XVI s’évertue à rassembler les chrétiens par une exhortation à répondre à notre vocation à l’amour total.

Même avec un Pape catholique, il n’y a pas moyen de faire l’économie d’une nécessaire Contre-Réforme.

La seconde partie est consacrée à la circumincessante charité traduite dans les œuvres. Il manque cependant la volonté de « tout instaurer dans le Christ ».

La royauté en Israël : dictature humaine ou gouvernement divin ?
Dans la faillite de la dynastie davidique, les prophètes annonceront les châtiments de Dieu et la venue du Messie, sauveur de son peuple.

Sous le regard de saint Joseph, les cadres et patrons phalangistes canadiens travaillent à la mise en œuvre des principes écologiques des 150 Points de la Phalange, pour la survie des PME.

Jean-Paul I^er est le seul pape depuis 1917 qui ait voulu répondre aux demandes pressantes de Notre-Dame à Fatima, relayées par Lucie, François et Jacinthe !

Cette évocation de la vie exemplaire de ce Bon Pasteur renouvelle notre indéfectible attachement à l’Église catholique romaine et nous presse de le suivre, en souriant, jusqu’au sacrifice suprême.

Le pontificat de Jean-Paul I^er, son martyre dont frère Bruno nous rappelle les circonstances et la consomption de l’Église à laquelle nous assistons depuis accomplissent le troisième Secret de Fatima.

Frère Bruno nous communique son enthousiasme pour notre bon pape François : il est sur le chemin d’une salutaire Contre-Réforme catholique ! Il faut plus que jamais prier pour lui Notre-Dame de Fatima.

Frère Bruno nous fait admirer et méditer les principales œuvres de la peinture religieuse du Grand Siècle exposées au Musée Carnavalet : un beau témoignage de la religion mystique de nos pères !

Frère Bruno nous fait admirer et méditer les principales œuvres de la peinture religieuse du Grand Siècle exposées au Musée Carnavalet : un beau témoignage de la religion mystique de nos pères !

Notre pape François est le saint que Dieu nous a donné pour confirmer ses frères dans la foi, présider dans la charité toutes les Églises et guider chacun dans les voies de la sainteté.

Dans la joie du pontificat commençant du pape François, trois jours de pèlerinages en Anjou sur les traces des saints martyrs vendéens, de Mgr Freppel et de la bienheureuse Marie du Divin Cœur.

Dans la joie du pontificat commençant du pape François, trois jours de pèlerinages en Anjou sur les traces des saints martyrs vendéens, de Mgr Freppel et de la bienheureuse Marie du Divin Cœur.

Dans la joie du pontificat commençant du pape François, trois jours de pèlerinages en Anjou sur les traces des saints martyrs vendéens, de Mgr Freppel et de la bienheureuse Marie du Divin Cœur.

L’actualité ? Ce n’est pas la “ manif pour tous ”, mais le pape François qui la crée, en dirigeant prudemment et courageusement l’Église et le monde même dans les voies de la Contre-Réforme. Prions pour lui !

L’analyse de frère Bruno, nourrie de la doctrine totale de notre Père et illustrée de séquences vidéo nous fait voir, entendre et comprendre notre pape François, le « saint » que notre Père avait discerné en 2003.

Saint Matthieu, en calquant le plan de son Évangile sur celui du Deutéronome, démontre que Jésus est plus grand que Moïse. Il est le Messie qui conduit son peuple vers la véritable Terre promise qui est le Royaume des Cieux.

Les païens, avec la foi chrétienne, doivent-ils adopter aussi le judaïsme ? Notre-Seigneur n’avait pas répondu à cette question. Ce sont les Apôtres qui achèveront le passage de l’Église de l’Ancienne à la Nouvelle Alliance, dans les persécutions.

Frère Bruno dresse le bilan enthousiasmant, nuancé et vrai, du pontificat du pape François, nouveau saint Pie X, qui ne cesse de prêcher l’Évangile et agit en instrument de Notre-Dame. Malgré des lacunes certaines…

Un commentaire indispensable pour mieux goûter la musique de l’oratorio de notre frère Henry et mieux pénétrer ce drame biblique tellement actuel, à l’heure où notre fidélité est semblablement mise à l’épreuve.

En puisant dans le prochain livre de frère François, frère Bruno nous découvre une sœur Lucie d’une obéissance héroïque, mais persévérant toujours dans sa mission de faire connaître et aimer le Cœur Immaculé de Marie.

C’est la compréhension du Cœur de Jésus pressé de « donner sa vie en rançon pour la multitude » qui poussa notre frère à reprendre une hypothèse déjà formulée par certains Pères de l’Église, et à nous démontrer que la vie publique de Jésus ne dura pas trois ans, mais un an.

Si vous voulez en finir avec la catéchèse moderniste qui a fait perdre la foi à tant de gens, et convaincre vos enfants, vos amis de l’historicité des Évangiles et de la véracité de notre religion, il faut regarder cette originale et très agréable présentation de la découverte du 7Q5.

L’islam sous la toise de la raison, et la raison sous la toise... du dogme de la foi.

Si le pape semble vouloir fixer la foi sur laquelle seront restaurées la liturgie et la vie chrétienne, fruit de l’Eucharistie il conserve toutes les erreurs modernistes et conciliaires.

Un sanctuaire consacré à Notre-Dame de Fatima se trouve perdu dans la périphérie de Paris. Nous nous y sommes rendus avec beaucoup de Portugais les 12 et 13 mai 2007 pour le 90^e anniversaire des apparitions.

Frère Bruno est sans doute le seul théologien à dresser un bilan objectif des deux années de pontificat de Benoît XVI. Objectif parce qu’il le fait à la lumière de Fatima.

Frère Bruno analyse pour nous ce livre à la lumière de l’enseignement de notre Père, en décèle les erreurs dues à l’esprit conciliaire et nous en donne le contrepoison.

Frère Bruno expose la chronologie “ longue ” de la Passion du Christ, découverte par Annie Jaubert, et livre toute la méditation de notre Père sur les événements rapportés par saint Marc dans son Évangile.

Frère Bruno analyse ici l’encyclique Spe salvi et rappelle d’abord que le véritable objet de l’Espérance chrétienne est “ le Ciel ” où est Dieu.

En conséquence du refus du pape François de consacrer la Russie au Cœur Immaculé de Marie, le 13 octobre dernier, le troisième Secret de Fatima se réalise…

À la lumière de cette analyse, on ne voit pas ce qui pourrait amener Benoît XVI à remettre en cause les « acquis du Concile ».

Quand Benoît XVI reconnaît l’héroïcité des vertus de Jean-Paul II et ouvre les portes de l’Église aux anglicans qui adhèrent au CEC, seule la CRC peut nous redonner la foi et l’espérance en l’Église !

L’état présent de la France est le salaire de son iniquité, 60 ans après avoir crucifié le maréchal Pétain et rejeté son « Travail, Famille, Patrie » !

Le mal actuel n’est pas l’islam mais la démocratie, avec le laïcisme qui défait la France catholique.

À l’occasion de la parution de l’autobiographie d’Hans Küng, frère Bruno compare la vie de ce dernier et celle du cardinal Ratzinger : l’un a fait naufrage dans la foi, l’autre s’interroge sur les fruits du Concile.

Si Benoît XVI avait dit qu’il « ferait face aux loups », son cœur est en fait l’enjeu d’un combat diabolique dans lequel philosophie des Lumières, droits de l’homme et liberté religieuse l’emportent sur les demandes de Notre-Dame.

La désorientation diabolique est omniprésente, que ce soit dans l’Église ou dans la société. Pour y remédier, avant toute chose, une Contre-Réforme catholique est nécessaire.

Frère Bruno montre la perversité du pacte conciliaire, asservi aux États apostats. Il nous présente ensuite une leçon de politique internationale de Poutine prônant le retour à un monde multipolaire.

En reniant Dieu pour servir l’homme, la France et l’Église suivent le même chemin vers la décadence ! Le remède est simple : obéir à Notre-Dame !

Dans ces actualités, frère Bruno nous rappelle notre doctrine catholique, royale et communautaire, pour ensuite prendre l’exemple de la Russie nationaliste de Poutine.

Dans ces actualités, frère Bruno montre grâce à trois documents pontificaux que Benoît XVI ne cède rien sur sa volonté de faire prévaloir l’esprit et la lettre du concile Vatican II.

Poutine a réussi en dix ans à redresser son pays. Bien sûr, puisque le nationalisme russe ne doit rien à la démocratie ! D’où la haine de l’Occident... Quand le Saint-Père se résoudra-t-il à consacrer ce peuple au Cœur Immaculé de Marie ?

Le Concile croyait l’opinion des peuples directement mûrie dans les consciences individuelles, alors qu’elles sont éduquées par l’adversaire, la franc-maçonnerie...

Les erreurs de la Russie se sont bel et bien répandues dans le monde, jusque dans l’esprit de Benoît XVI ! Ces actualités nous persuadent de l’urgence de la consécration de la Russie.

Benoît XVI, par sa volonté d’instaurer la liberté religieuse, contribue à refroidir l’esprit missionnaire de l’Église et à attiser le djihad, au lieu de tourner les âmes vers le Ciel.

Frère Bruno décrit ici l’actualité avec la renaissance de la Russie, un chapitre sur la pauvreté salut du monde, puis le voyage du Pape en France et sa rencontre avec Nicolas Sarkozy.

Frère Bruno fait le tour des actualités avec les fins des rêves américains et polonais et le synode qu’il qualifie de synode du MASDU.

Frère Bruno tire une leçon géopolitique de la guerre en Afghanistan : un cours magistral de stratégie nationaliste et catholique, résultat d’une application serrée des principes posés par notre Père en des occasions similaires !

Le salut du monde ne passera que par la conversion de la Russie grâce à sa consécration au Cœur Immaculé de Marie. En attendant, c’est le judaïsme et l’islamisme qui progressent.

L’islamisation est le fruit de la “ déchristianisation ” instaurée par Vatican II, avec le clergé et la démocratie française qui comme catalyseurs !

Pour résoudre la crise, il faudrait d’abord instaurer une autorité dictatoriale et royale puis reconstituer un réseau d’entraide pour plus petitement pérenniser nos familles et nos entreprises.

Benoît XVI doit comprendre que la paix ne s’instaurera que par Jésus-Christ, et non pas par l’œcuménisme qui ne fait qu’aggraver les maux de l’humanité.

La preuve que le pacifisme et la démocratie prêchés par Vatican II mènent le monde à sa perte ? C’est leur inobservance qui permet au travail, à l’ordre et à la nation de prévaloir en Russie et en Hongrie !

Commentaire du “ pèlerinage ” de Benoît XVI en Terre Sainte qui se résume dans le reniement de la religion catholique pour une nouvelle religion pour la paix...

La crise traversée n’est que la conséquence d’un capitalisme libéral conduisant à l’abîme un monde impie.

Au lieu d’obéir à la Sainte Vierge, Benoît XVI continue de vouloir faire triompher le Concile dans l’Église en prônant la réconciliation.

Pour rétablir la situation, il suffit de demander l’aide de Notre-Dame, elle seule peut nous secourir ; en attendant, le monde et l’Église s’embourbent dans les catastrophes.

Si le pape semble vouloir fixer la foi sur laquelle seront restaurées la liturgie et la vie chrétienne, fruit de l’Eucharistie il conserve toutes les erreurs modernistes et conciliaires.

L’exhortation du pape François, Evangelii Gaudium, la joie de l’Évangile est un programme de Renaissance catholique pour l’Église, qui s’accorde remarquablement à nos 150 Points de la Phalange.

Cette année, nos frères ont installé la Sainte Famille dans une Église à moitié en ruine, mais ne vous y méprenez pas, elle est déjà en cours de reconstruction, selon les directives de notre bon pape François, dans la joie par conséquent, et avec les encouragements d’une multitude de saints, les préférés de notre bien-aimé Père.

Frère Bruno nous montre que le pape François, ministre de la miséricorde de Jésus, est conduit par le Saint-Esprit, à contre-courant de Vatican II, d’une manière qui séduit le monde lui-même.
La France est de retour en Afrique, par la force des choses, en première ligne d’une mission pacificatrice, au contact avec un islam persécuteur des chrétiens.

Depuis son baptême, véritable sacre de Roi-Messie, frère Bruno nous montre que Jésus est pressé de lutter contre le démon et d’en libérer les âmes.

La vision du troisième Secret de Fatima se réalise sous nos yeux : l’incendie des guerres et des persécutions contre les chrétiens au Moyen-Orient et en Afrique ; un Saint-Père vacillant désireux de promouvoir la paix, mais pas toujours avec les bons principes d’action.

 Pour satisfaire nos amis qui sont mal informés sur le pape François, notre frère Bruno a improvisé une conférence. En une petite heure passionnante, il nous l’a fait aimer en nous prouvant, citations à l’appui, à quel point le Saint-Père nous prêchait sans cesse un Évangile radical, vivant, rédempteur. Notre communion avec lui est totale sur cet unique nécessaire de notre foi.

Une émission toute à la gloire du Prince des Apôtres et de l’Église catholique, puisqu’elle retrace la prodigieuse découverte, par l’archéologue Margherita Guarducci, de la tombe et des ossements de saint Pierre.

Pour présenter la merveille du XII^e siècle, frère Bruno se livre à une vaste fresque orthodromique de notre France afin d’en fixer la source : sa foi mystique et royale !

La Croisade est attaquée de toutes parts. Mais le récit de cette sainte épopée qui souleva toute la Chrétienté pour sauver le tombeau du Christ puis établit un royaume franc pour deux siècles, force l’admiration !

« Il faut beaucoup aimer le Moyen Âge », disait le Père, parce que nous y trouvons le charme et les richesses de la Grèce et de la Bible. La gerbe qu’en noue frère Bruno nous en convainc amplement !

Le XIII^e siècle français est le siècle de la grâce qui se manifeste en fruits de beauté, de vertus et de raison : il n’est que de visiter la cathédrale de Chartres avec frère Bruno pour s’en convaincre !

Après le succès de la Première Croisade qui fonda l’empire du Levant, les luttes et rivalités intestines provoquèrent son effondrement, entraînant des croisades de reconquête sans lendemain... Mais l’histoire ne s’arrête pas là !

Au sommet de civilisation où était parvenu le XIII^e siècle, succède une décadence, en Occident et en Orient. C’est cette fresque que nous retrace frère Bruno en conclusion du camp.

Le pape François n’est pas connu, aimé comme il devrait l’être. Frère Bruno remédie à cette désinformation de nos médias, même catholiques ; il lui donne la parole et le montre en pleine action.

Le pape François est le pape du troisième secret, « vacillant », mais c’est le Saint-Père que nous aimons et pour qui il faut beaucoup prier.

Magistrale conférence qui présente le prochain livre de sœur Muriel, sur la vie et la mission de la bienheureuse Marie du Divin Cœur.

Au cours de son ministère en Galilée, Notre-Seigneur révèle sa mission de « législateur par excellence », confondant la science et la mauvaise foi des scribes et des pharisiens.

Notre-Seigneur n’est plus en sécurité en Galilée et, pour échapper au complot qui se noue contre lui, va et vient entre Galilée et pays païens, qui bénéficient eux aussi de sa miséricorde, par une “ ouverture aux gentils ” anticipée.

Avec Louis-Marie Grignion de Montfort, nous trouvons l’orthodromie d’un siècle si riche : ce prophète des derniers temps annonce le message de Fatima, la dévotion au Cœur Immaculé de Marie !

Par le refus de Louis XIV d’ancrer sa gloire dans celle du Sacré-Cœur, l’Europe protestante et anglo-saxonne se substitue à l’Europe latine, chrétienne et française.

 Aujourd’hui, deux autorités morales et politiques font victorieusement obstacle à la révolution : le Saint-Père et le président de la Fédération de Russie. C’est ce que montre frère Bruno en s’appuyant sur un large éventail d’analystes sérieux, de Luc Ferry à Frédéric Pons, tout en suivant le fil rouge de la politique de la Sainte Vierge.

Paris, 27 avril 2014. Pendant qu’à Rome on célèbre les deux saints que le Concile s’est donnés dans les personnes de Jean-Paul II et Jean XXIII, frère Bruno nous révèle le cœur de flamme, l’âme de pauvre et le sourire du Saint que Dieu nous a donné.

 Saint Luc a choisi d’écarter tout ce qui pourrait détourner le lecteur de la grande résolution du Cœur de Notre-Seigneur : la montée de Jésus vers Jérusalem, où tout a commencé et où tout doit s’accomplir.

Dans l’Évangile selon saint Jean, Notre-Seigneur prononce de longs discours qui expriment une seule grande pensée : Il est l’Envoyé du Père, celui qui croit en Lui a la Vie éternelle.

Toujours en suivant sa synopse, frère Bruno nous montre Notre-Seigneur s’engager résolument dans Sa Passion.

S’appuyant sur les quatre Évangiles et le Saint Suaire, frère Bruno montre comment Jésus a disposé toutes choses pour donner sa vie au moment même où les agneaux seraient immolés dans le Temple pour la Pâque.

Faut-il voir pour croire ? Dans cette émission scientifique consacrée au Saint Suaire, frère Bruno revient sur le combat mené sous la guide de l’Abbé de Nantes depuis 1978 pour l’honneur de Notre-Seigneur et du Signe qu’Il nous a laissé de sa Résurrection.

La guerre est aux portes de l’Europe. Dans une remarquable interview accordée à TF1 et Europe 1, Vladimir Poutine fait encore une fois la preuve de sa sagesse politique et de sa maîtrise des évènements. Quant au pèlerinage du Pape en Terre sainte, il montre tout simplement l’urgence de faire appel au Cœur Immaculé.

Saviez-vous que la vénération des fidèles chrétiens pour la Très Sainte Vierge remonte aux temps apostoliques ? Dans cette nouvelle émission, frère Bruno de Jésus-Marie montre combien les découvertes archéologiques les plus récentes viennent confirmer les manifestations de la plus antique dévotion à la Reine des Apôtres.

La Résurrection est un fait historique et scientifique. Tout en suivant les ɐvangiles, frère Bruno retrace le déroulement des événements, de la découverte du tombeau vide à la rencontre de Jésus avec ses disciples en Galilée.

Frère Bruno a décidé de ne pas ménager ce gredin impie de Voltaire, qui jeta les semences de la Révolution, mais qui passe, même chez les bons auteurs, pour incarner “ l’esprit français ”.

La tendre dévotion au Sacré-Cœur fut le fil d’or qui unit le remarquable clergé de Contre-Réforme au XVIII^e siècle et lui valut le martyre à la Révolution.

Frère Bruno, guidé par la foi, répond à la négation de l’existence d’Abraham et d’Isaac par Arte, sur le terrain exégétique et archéologique.

Le pontificat de Pie IX fut accompagné de la présence grandissante de saint Joseph, « la plus sûre espérance après la Sainte Vierge. »

De cette déclaration, la première partie est maçonnique et la deuxième tente de la raccrocher à la Révélation.

« La multiplication des erreurs ne divise pas la Vérité » (Abbé de Nantes). L’Église catholique est Une.

Ce décret qui prétend rendre hommage aux uniates efface en fait la frontière avec les schismatiques.

Vatican II instaure la gnose du MASDU comme la nouvelle doctrine chrétienne, doctrine non pas catholique, mais humaniste.

Vatican II instaure la gnose du MASDU comme la nouvelle doctrine chrétienne, doctrine non pas catholique, mais humaniste.

La religion catholique est remplacée par une religion humaniste mondiale basée sur le culte de l’homme.

Cet essor de la solidarité humaine allant à son accomplissement parfait est une misérable rêverie antichrist, qui mena un Lammenais à l’apostasie et l’excommunication... C’est fou, c’est monstrueux !

L’homme moderne élève la science au-dessus de la foi et identifie la cité terrestre avec le Royaume de Dieu. Le Concile approuve !

L’Église se fait la servante du monde pour parvenir à l’avènement du genre humain.

Traitant du mariage et de la famille, le Concile renouvelle son erreur fondamentale : jusque dans le sacrement, l’individu passe avant tout !

Ici, l’Église s’enthousiasme pour la culture moderne qui permet à chacun d’atteindre la plénitude de son humanité.

Nous assistons à l’avènement dans l’Église de l’individualisme qui remplace le si nécessaire bien commun !

Chateaubriand fut un mauvais maître par son Génie du christianisme qui exalte un catholicisme sentimental et par son action politique qui précipita la chute de Charles X !

La présentation de ces grands auteurs romantiques, Lamartine, Vigny et Hugo, sous l’angle de leurs pensées politiques, ressort de leur œuvre, nous les fait redécouvrir ! Passionnant !

Balzac se distingue par la pensée puissante qui l’habite : découvrir les principes d’explication de la société de son temps et s’en faire l’historien par le roman !

Frère Bruno dissipe les miasmes de la critique moderniste et rationaliste et nous prépare à savourer le mystère de Fatima.

Fatima et la CRC, une étonnante convergence ! Le troisième Secret décrit en termes d’Écriture Sainte ce que l’abbé de Nantes démontre depuis près de cinquante ans d’une vie parallèle à celle de sœur Lucie.

Comment le jeune Maurras, bien représentatif de son époque, va-t-il passer de l’anarchisme libertaire à la solution monarchique, en opposition avec le romantisme littéraire et politique ambiant ?

Réagissant au naturalisme du XIXe siècle, Paul Bourget illustre les drames provoqués par les idées fausses, combattues par Maurras et Pie X. Dans une trame romanesque très tendue et prenante...

Un autre Charles de Foucauld ramené à l’amour de la France et du Christ par la mystique militaire ! Une âme splendide retrouvant les fidélités de ses pères par-delà l’apostasie de son père !

Charles de Foucauld a reçu de Dieu, le 1^er décembre 1916, la mort qu’il avait demandée toute sa vie : le martyre, pour l’amour de Jésus. Frère Bruno en relate les circonstances et rappelle sa doctrine coloniale incomparable.

La guerre est l’état constant des sociétés dominées par Satan ; la paix est une réussite fragile de la vertu des hommes. Le soldat chrétien en est l’artisan par excellence, mais seule la grâce de Dieu la rend possible.

En ouverture de camp, frère Bruno nous présente les Mémoires et Récits de notre Père, pour nous faire comprendre la naissance d’une vocation au sein d’une Église et d’une France naguère si belles !

Cette émission télévisée manque à la vérité historique si habilement qu’elle peut faire perdre la foi : il faut réfuter !

Non ! l’Église n’est pas une invention de Paul ! Non ! elle n’est pas antisémite ! Non ! les Évangiles ne sont pas des affabulations ! Écoutez-en la réfutation historique et scientifique !

Oui ! Jésus est le Messie annoncé par la Bible juive, fils unique d’une Vierge toujours vierge, fondant son Royaume et lui donnant sa Loi. En contradiction avec les cuistres d’Arte !

La lecture commentée de la Pentecôte et de ses suites, conversions et persécutions, prouve à l’envi l’absolue continuité de l’Église avec Jésus !

Par l’effusion du Saint-Esprit, l’Église est la famille de Dieu !

À partir de la Pentecôte, l’alternance des temps de communion et des persécutions – la loi de l’Église – va être semence de chrétiens, poussant Pierre de Jérusalem à Rome !

Sans la Croix de Jésus, le miracle permanent de l’Église ne se conçoit pas !

Le souvenir inoubliable d’une retraite de fin d’année où saint Paul empoigna le jeune Georges de Nantes !

Saint Clément l’affirmera : Pierre et Paul ont été livrés au martyre par leurs propres (faux) frères... Gardons-nous de la haine fratricide !

Loin d’être antisémite, Paul prépare la conversion des juifs en leur révélant que la colère de Dieu tombe sur toute impiété, des païens comme des juifs !

Le premier témoin appelé à la barre est un témoin privilégié : Georges de Nantes qui, à la déclaration de guerre, en septembre 1939, a tout juste quinze ans. Récits d’un jeune de France, fils ardent de l’Église.

« Tous les Français fiers de la France, la France fière de chaque Français, tel est l’ordre que nous voulons instaurer. » Et Dieu ? Face aux mythes subversifs, la Révolution nationale manquait, hélas ! de mystique.

C’est un innocent qui fut condamné à mort, à l’aube du 15 août 1945, au terme d’un procès inique. Cherchant l’orthodromie divine de ce drame, il faut y voir l’accomplissement du Secret de Fatima : « Les bons seront martyrisés ».

C’est à la lumière du troisième Secret de Fatima que frère Bruno décrypte ici l’actualité de ces derniers mois. Le djihad au Moyen-Orient et la guerre civile en Ukraine cachent mal la lutte que mènent les États-Unis et leurs alliés d’Europe et du Golfe contre la Russie.

En 2013 parait la biographie “ officielle ” de Sœur Lucie : en corrigeant les omissions et les mensonges de cet ouvrage les uns après les autres, frère Bruno fait apparaître ce qui fut l’extraordinaire vocation de sœur Lucie : annoncer les clauses de cette “ nouvelle Alliance ” riche de merveilleuses promesses dans le Cœur Immaculé de Marie.

Frère Bruno ayant assisté au revival de Vatican II à Lourdes pour son cinquantenaire, réfute les hérésies conciliaires qui y ont été proclamées et trace la voie du salut pour l’Église, à l’école de notre Père et de l’Immaculée.

Frère Bruno démontre, textes à l’appui, et réfute les cinq reniements d’un pape Benoît XVI poursuivant le rêve gnostique et l’apostasie de son prédécesseur.

L’analyse du dernier livre de Benoît XVI, “ Lumière du monde ” est une nouvelle preuve de son modernisme et de son mépris de Fatima.

Les deux premières conférences justifient Vatican II comme « inspiré » et présentent un modernisme immanentiste... condamné par saint Pie X !

Deux conférences de Carême à Notre-Dame consacrées, la première aux constitutions conciliaires : Lumen Gentium et Gaudium et Spes, la seconde à la réforme liturgique de Vatican II.

La première conférence commentée par frère Bruno est un retour au judaïsme au prix du reniement de Notre-Seigneur, la seconde conclut sur les acquis du Concile... acquis hérétiques !

Frère Bruno établit ici des parallèles éclairants entre le pape François et saint Pie X. Mais si les ressemblances sont nombreuses, il ne faut pas cacher ce qui manque au pape François, de bonne volonté et dévôt de Notre-Dame, mais encore “ vacillant ”.

Guidés par frère Bruno, vous pourrez revoir cette œuvre de notre frère Henry, pour en savourer la substantifique moëlle : la pureté positive, à l’école de notre Père, de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, de saint François de Sales... et de sainte Cécile.

Notre foi fermement établie sur la science archéologique et exégétique la plus sûre, suivons Moïse, de la théophanie du buisson ardent sur le mont Sinaï (Har Karkom), à la traversée de la mer des Roseaux et du désert.

Suivons Moïse puis Josué, du mont Sinaï à la Terre Promise, en puisant dans les richesses exégétiques et archéologiques accumulées par frère Bruno.

Har Karkom, montagne sacrée depuis les origines, est le Sinaï des temps bibliques. L’archéologie permet de confirmer l’historicité du livre de l’Exode, à condition de reculer d’un millénaire la chronologie habituellement admise !

Commentaire littéral de l’oratorio par frère Bruno.

Dans ce premier volet, nous revisitons la geste souveraine du Dieu d’Israël depuis Adam jusqu’au patriarche Joseph.

Frère Bruno applique ici les découvertes archéologiques d’Emmanuel Anati au Livre de l’Exode, et répond à toutes les questions qui se posent sur la véracité des évènements.

Frère Bruno poursuit son étude historique de la Bible en traitant de la conquête de la Terre promise contenue dans le Livre de Josué.

Dans cette conférence, frère Bruno démontre que la conquête du pays de Canaan n’a pas été une “ guerre éclair ” : chaque tribu israélite lutta pour son territoire pendant des siècles.

Commentaire littéral de l’oratorio par frère Bruno.

Commentaire littéral de l’oratorio par frère Bruno.

Frère Bruno fait ici le commentaire de l’oratorio composé par frère Henry de la Croix sur l’histoire de Joseph, fils de Jacob, racontée dans le livre de la Genèse.

Le pape François a-t-il été influencé par le jugement du P. de Lubac sur l’Abbé de Nantes à propos des accusations de ce dernier contre Paul VI ? Une chose est sûre, c’est que s’il regardait ces actualités, il comprendrait pourquoi notre Père, en plus d’être un puissant théologien, est un grand écrivain.

Écoutez frère Bruno relire et commenter l’encyclique de saint Pie X contre le modernisme et vous y reconnaîtrez toute l’apostasie actuelle, installée par Vatican II.

La Pentecôte, naissance de l’Église. Par de savants rapprochements entre les Évangiles et les Actes, frère Bruno nous montre que la descente du Saint-Esprit dans l’Église est un pur parallèle à la descente de Jésus dans le sein de la Très Sainte Vierge Marie.

Frère Bruno nous fait comprendre, à la lumière de la Révélation de l’Ancien Testament, la grande énigme de la mort des hommes et son stupéfiant corollaire : leur résurrection.

Notre frère Bruno résume très clairement l’enseignement des Apôtres sur la Résurrection du Christ, fait physique, et sur la vie éternelle.

Frère Bruno nous fait entrer dans le cœur très aimant, religieux et relationnel de David, si cher à notre bien-aimé Père, et que frère Henry a su mettre en musique.

Une merveilleuse méditation des événements de la Nativité, à partir des œuvres du bienheureux Fra Angelico. Frère Bruno nous permet de communier à sa grande intelligence des Écritures et à sa tendre dévotion.

Une merveilleuse méditation des événements de la Nativité, à partir des œuvres du bienheureux Fra Angelico. Frère Bruno nous permet de communier à sa grande intelligence des Écritures et à sa tendre dévotion.

Les œuvres du bienheureux Fra Angelico illustrent merveilleusement la méditation des mystères du Rosaire.

Les œuvres du bienheureux Fra Angelico illustrent merveilleusement la méditation des mystères du Rosaire.

C’est le divin mystère de Fatima héroïquement incarné en la vie sacrifiée de François, Jacinthe, et surtout de Lucie, que frère Henry a mis en musique dans son oratorio qui nous est ici expliqué.

Par le charme de la musique et la simplicité de la mise en scène, cet oratorio de notre frère Henry nous fait communier au mystère de Fatima, la plus grande apparition mariale de tous les temps.

Notre Saint-Père vient d’ouvrir une année de la vie consacrée. Il n’en faut pas plus à frère Bruno pour rappeler ce qu’est notre vocation, à l’école de notre Père et du Père de Foucauld... À Istanbul, le Pape prie dans la Mosquée Bleue... C'est l’occasion pour frère Bruno de se livrer à une lecture chrétienne, donc scientifique du Coran, livre antichrist et donc antichrétien.

L’année 1945 vit une avancée spectaculaire des « erreurs de la Russie ». Staline fut le grand vainqueur de la guerre, non seulement en Europe de l’Est, mais aussi, idéologiquement, en France et jusque dans l’Église.

En suivant les Actes de près, frère Bruno de Jésus-Marie montre que l’Église primitive fut tout de suite une, sainte, catholique et apostolique, et non pas composée d’une diversité d’églises à la sauce protestante, comme certains aimeraient le faire croire...

C’est notre Saint-Père le pape François qui fait toute l’actualité de ce mois de janvier, sur fond de guerre au Moyen-Orient, contre les chrétiens et en Occident... contre lui-même ?

D’où est issu le judaïsme tel que nous le connaissons actuellement ? Pour répondre à cette question, frère Bruno de Jésus-Marie revient sur les premiers affrontements entre la toute jeune Église de Jésus-Christ et un judaïsme devenu antichrist.

Sainte Jeanne d’Arc, vierge... et martyre ! Dans cette conférence, frère Bruno retrace la vie et la mission de la Sainte de la Patrie à partir du livre écrit par sœur Hélène de Jésus.

Pour cette traditionnelle visite à la crèche, frère Bruno vous entraîne à la suite des bergers sur le chemin des pauvres de Yahweh jusqu’à la grotte de Bethléem.

C’est le jeune abbé de Nantes qui nous permet de conclure cette étude. Dans l’orage, il tenait tête à la subversion révolutionnaire et progressiste, préparant la pleine restauration de la Chrétienté.

La grande apostasie en ce début d’année se manifeste par l’odieux ridicule du Père Zanotti-Sorkine “ canonisant ” des blasphémateurs de Jésus-Marie et par la révélation de l’abjuration pratique de son christianisme par le Père Christian de Chergé.

Frère Bruno réussit ici le tour de force de dégager des 2500 ans d’histoire de cette terre d’Afrique du Nord le dessein du Ciel : Le Bon Dieu veut que cette terre soit chrétienne et française. La vérité des faits nous le prouve.

Frère Bruno reçoit la mission d’ouvrir une école dans une oasis du Sahara et d’en “ apprivoiser ” la pauvre population. Les musulmans attendaient tout de la France au moment même où de Gaulle les livrait aux démons de l’islam et de la révolution !

Frère Bruno tire les leçons de l’étude de la Guerre d’Algérie en citant abondamment notre Père. La cause principale de ce drame vient “ des erreurs de la Russie ”, car Pie XII n’avait pas répondu aux demandes de Notre-Dame de Fatima.

Frère Bruno présente ici les deux années de préparation du Concile et le mois d’octobre 1962, qui l’ouvre. Que de manœuvres occultes ! Disséquées par le scalpel du théologien catholique Georges de Nantes.

Cette Constitution permit aux progressistes d’écraser la minorité traditionaliste : le Concile affirmait être inspiré directement par le Saint-Esprit, tandis que la Tradition de l’Église n’était pas fiable !

Frère Bruno analyse le discours de clôture du Concile de Paul VI exaltant le « culte de l’homme » : à la suite de notre Père, nous gardant du schisme et de l’hérésie, nous en appelons au magistère infaillible du Pape.

Cette conférence relate les circonstances du procès de l'abbé de Nantes au Saint-Office en mai 1968 qui aboutit à un triomphe... de la Contre-Réforme !

Ce film présente les images d’archives de la démarche de l’abbé Georges de Nantes qui vint remettre au pape Paul VI une plainte pour hérésie, schisme et scandale, en vue d’ouvrir un procès canonique.

La connaissance de la vérité catholique et la pratique des sacrements s’achèvent dans la sainteté d’une union et assimilation parfaite à Dieu dans l’amour, union qui trouve sa voie dans la beauté.

Frère Bruno nous raconte la vie de Jean-Paul I^er, sa ressemblance avec saint Pie X, sa foi pure et son attitude vis-à-vis du Concile, qui inauguraient une renaissance catholique spontanée.

Voici un montage sur la vie d’Albino Luciani qui témoigne de la vie exemplaire qu’il a menée, avec humilité, dans un parfait attachement à l’Église et à sa Tradition.

Frère Bruno met en parallèle la vie de Jean-Paul II et celle de l’abbé de Nantes en montrant leurs volontés opposées : d’ambitieux pour l’un, de défenseur de l’Église pour l’autre.

L’actualité du secret de Notre-Dame en ce mois de mars 2015 ? C’est la réalisation des prophéties. Dans cette conférence, frère Bruno nous dévoile un peu plus le portrait du président russe et nous montre le Pape affronté à la contradiction au sein du Vatican.

En disciple du Docteur incomparable qu’est notre Père, Frère Bruno explique les trois Mystères de notre sainte religion en consacrant un développement particulier à celui de la Rédemption, aujourd’hui presque occulté.

La Phalange, fondée par l'abbé de Nantes, est un mouvement religieux, mystique, qui cherche à instaurer le royaume du Christ en tout domaine.

Pendant le camp de la Phalange, nos jeunes gens ont étudié comment à l’hérésie totale de Jean-Paul II idolâtrant l’Homme, notre Père à opposé une doctrine totale, incomparable.

Notre Père voulut sanctifier 1989 en réparation de la fausse datation du Saint Suaire. Il mena sous l’égide de cette Sainte Face une croisade victorieuse de dévotion et de contre-révolution.

La démarche de notre Père à Rome en 1993 pour y déposer son livre d’accusation contre le CEC se solda par une forfaiture des autorités de l’Église : « Si nous commencions à examiner, cela voudrait déjà dire que vous avez raison. » (Mgr Sandri)

Le XX^e siècle fut le théâtre de nombreuses découvertes scientifiques qui démontrent que la religion catholique est la seule vraie religion !

La situation de la communauté et celle du Père sont irréprochables à l’abri du bouclier de l’Église : le procès de Père n’a jamais abouti à une quelconque condamnation !

Au milieu de toutes ses épreuves, notre Père se consacre avec sa Phalange à l’Immaculée Conception, son ultime recours et son souverain amour. C’est le secret de sa sainteté !

Un survol des treize dernières années de la vie de notre Père, toutes consacrées à l’Immaculée, qui fait réaliser le caractère prodigieux de sa vocation de témoin de la vérité.
Oui, il fut “ l’homme de Dieu ” de sa génération !

Frère Bruno démontre et réfute, textes à l’appui, les cinq reniements du pape Benoît XVI qui poursuit le rêve gnostique de son prédécesseur.

Témoin de la vérité, notre Père mène son ultime combat contre la grande apostasie : un dur chemin de croix, dans une totale consécration à l’Immaculée.

L’abbé de Nantes est mort d’amour après une longue agonie du cœur et du corps dans une sainteté toujours exemplaire.

Les dernières épreuves de notre Père furent une grâce pour ce « Témoin » de la Vérité qui est ainsi, au même titre que sœur Lucie, une semence jetée en terre.

En ce jeudi après-midi, vous êtes monté jusqu’au Colle Don Bosco pour retrouver les Becchi, lieux de l’enfance de saint Jean Bosco. Mais vous entendrez aussi la deuxième grande conférence de notre frère Bruno qui vous dévoilera l’actualité politique et religieuse, à la lumière des songes de Don Bosco jadis commentés par notre Père.

Jeudi 30 avril, premier rassemblement de tous nos pèlerins au Duomo de Chieri. Assistez à la messe et laissez-vous préparer au Face à face du lendemain par frère Bruno.

Dans cette émission de La Religion en vrai, voyez qui est l’anti-saint Paul et qui en est le véritable héritier ! Un entretien avec le frère Bruno de Jésus-Marie à ne pas manquer.

Plus que jamais, notre Saint-Père est le seul à pouvoir rendre la paix au monde, tant en Ukraine qu’au Moyen-Orient et cela non par son prestige, mais par la satisfaction des demandes du Cœur Immaculé.

 Examiner sans préjugés la “ doctrine ” de Vladimir Poutine ? C’est ce que fait frère Bruno dans cette conférence d’actualités où il montre comment le président russe pallie les tares de la démocratie libérale en exerçant sa fonction avec une liberté souveraine, pour le plus grand bien de son pays, mais aussi pour empêcher le monde de basculer dans le chaos...

Après le commentaire du premier chapitre de l’encyclique Laudato si  ’, frère Bruno aborde une deuxième partie intitulée “ L’Évangile de la Création ” où le pape François propose les bases d’une restauration de l’harmonie avec notre Créateur, entre nous, et avec la Création.

Entrez à la suite de notre Père et frère Bruno dans l’épaisseur de la mission de sainte Jeanne d’Arc, scène après scène d’un drame catholique, royal et communautaire.

Vladimir Poutine et le Saint-Père font encore l’actualité de cet automne. La France aussi, à l’occasion de la parution du livre de François Fillon : “ Faire ”, commenté par frère Bruno dans cette conférence.

Qu’est-ce qui retient notre bien-aimé pape François de répondre aux demandes de Notre-Dame de Fatima, gage de la paix dans le monde, sinon cette solidarité avec ses prédécesseurs... qu’il canonise. C’est sœur Lucie qu’il faut canoniser, et Jean-Paul II qu’il faut décanoniser... de toute urgence !

Dans cette présentation des premiers versets de l’Apocalypse, se dégage déjà toute la matière de cette révélation ultime : « une vision chrétienne de l’histoire, passée, présente et à venir, objet de notre espérance et de notre amour ».

Dans cette deuxième conférence sur l’Apocalypse, frère Bruno suit saint Jean dans le “ présent ” de l’Église : ce sont les lettres aux sept Églises, toutes destinataires d’un avertissement de Notre-Seigneur, de tenir bon dans les persécutions avec patience et courage ou d’avoir à se garder (ou se convertir) du danger de l’hérésie.

Le discours prononcé par le cardinal Re à Fatima reflète-t-il la pensée du Pape au sujet des apparitions et du message ? C’est dans cette éventualité que frère Bruno réfute vigoureusement les erreurs de ce discours, ne se lassant pas, à la suite de notre Père, de répéter les paroles de Jacinthe à Lucie : Dieu a confié la paix au Cœur Immaculé de Marie.

Après le présent, l’avenir ! L’Agneau déroule le grand rouleau de l’Ancien Testament, en en brisant les sept sceaux les uns après les autres.

Après les sept sceaux, les sept trompettes, après la miséricorde, les châtiments et le jugement. Le refus par les habitants de la Terre de l’avertissement constitué par les quatre fléaux, déclenche les trois malheurs...

Qui ramènera les juifs dans l’unique Église du Christ ? Qui triomphera de l’islam dont le jihad ensanglante l’Orient et l’Occident ? Qui convertira notre pays en nous délivrant du régime démocratique ? La Très Sainte Vierge Marie, divine Sophie, lorsque notre Pape daignera lui consacrer la Russie et répandre la dévotion à son Cœur Immaculé.

Frère Bruno vous offre une visite guidée de notre crèche de la maison Saint-Joseph. À la suite des bergers et des mages, allez contempler l’Enfant et sa Mère avant de méditer sur notre unique espérance : le triomphe du Cœur Immaculé de Marie.

Dans le chapitre douzième de l’Apocalypse, le Ciel qui s’ouvre aux yeux de saint Jean lui révèle, non pas Notre-Seigneur, mais sa Mère, victorieuse et glorieuse, dans le grand combat contre le Dragon. C’est la naissance de l’Église, fruit du sacrifice de Notre-Seigneur et de la médiation du Cœur Immaculé de Marie.

L’Évangile éternel, c’est la longue orthodromie qui se développe depuis les premiers chapitres de la Genèse jusqu’à l’Apocalypse : le salut de ceux qui ont observé les commandements de Dieu et gardé leur foi en Jésus, et la punition éternelle des mauvais, figurés par la moisson et la vendange.

Notre Père est un grand saint et sans le chercher aucunement, il a déjà instruit son propre procès de béatification ! Dans cette conférence, frère Bruno retrace cette période de la vie de notre Père, de son installation à Villemaur en septembre 1958, jusqu’à son procès au Tribunal du Saint-Office.

Frère Bruno de Jésus-Marie dresse le portrait d’un “ historien ” patenté du I^er siècle de notre ère. Opportuniste et libéral, le pharisien Josèphe, devenu citoyen de Rome, apparaît surtout comme un homme résolument opposé à Notre-Seigneur et à son Église.

Notre Saint-Père professe une foi catholique ferme, même si sa pastorale, elle, est vacillante : dans ses rencontres aves les juifs ou les protestants de Rome. Le remède ? L’analyse de notre Père des textes conciliaires et surtout le sang des vrais martyrs.

Après une rétrospective sur les premiers chapitres de l’Apocalypse, frère Bruno nous présente la vision saisissante de la « prostituée fameuse » que l’Ange montre à saint Jean : la Rome païenne et décadente, personnifiée par la femme assise sur la Bête, qui s’effondrera au cinquième siècle, en châtiment de ses persécutions contre les chrétiens, comme il était écrit.

Notre angoisse en ce mois de mars 2016, c’est qu’en dépit de sa tendre dévotion pour la Sainte Vierge ( loin de toute gnose wojtylienne), notre Saint-Père semble rester sourd aux demandes du Cœur Immaculé. C’est vraiment le Pape vacillant du troisième Secret, comme en témoigne sa prise de position sur la peine de mort.

Entre hérésie conciliaire et schisme intégriste, notre Père a voulu “ tenir la ligne de crête ” : c’est ce que frère Bruno relate ici, à travers les premières campagnes menées par notre Père, au sein de la ligue de Contre-Réforme catholique, fondée en 1971.

Dans cette conférence consacrée aux années 1974 à 1978, frère Bruno nous montre comment notre Père, dans son “ traditionalisme intelligent ” et mystique, tout en s’opposant au schisme commençant de Mgr Lefebvre, ne cessa d’œuvrer pour la réconciliation.

La vocation des Petits frères du Sacré-Cœur, c’est la louange de la gloire de Dieu ! Mais encore ? Frère Bruno de Jésus-Marie a bien voulu répondre aux questions de La Religion en vrai, en compagnie des frères Gérard de la Vierge et Christian du Mont Calvaire.

Heureux les invités au festin des noces de l’Agneau ! La Rome païenne a été jetée bas, elle est remplacée par la Cité sainte, épouse de l’Agneau, le Verbe de Dieu. C’est la grande victoire de Dieu, vainqueur par sa Parole de toute idolâtrie et de l’orgueil des hommes.

C’en est fait ! Nous assistons avec saint Jean à l’accomplissement du grand dessin de Dieu, conçu dès l’origine : l’établissement de l’Église sur la terre. C’est la consommation de l’intimité de l’alliance de Dieu avec son peuple, comme d’un époux avec son épouse, que frère Bruno nous explique dans ces derniers chapitres de l’Apocalypse.

Notre Père fut conduit à prononcer ses vœux perpétuels sous le lumineux et bref pontificat du saint Pape Jean-Paul I^er. Entre le Saint-Père et la Contre-Réforme Catholique demeurait l’erreur conciliaire, mais la porte de la réconciliation s’ouvrait, sous la houlette de ce pape doux et humble, nouveau saint Pie X.

Depuis 1944, c’est le règne de l’étranger en France, alors comment s’étonner des maux qui assaillent notre pays ? Et depuis le Concile Vatican II, c’est la désorientation diabolique dans l’Église, alors comment être surpris de voir notre Saint-Père “ vacillant ” ?

L’introduction de cet ouvrage qui reprend toutes les études de l’abbé de Nantes sur Charles de Foucauld vise à rétablir la vérité sur lui : fondateur de Chrétienté, moine-missionnaire et martyr.

Le Père de Foucauld trouve dans sa tradition familiale contre-révolutionnaire les bienfaits du devoir social de l’aristocratie au sein de la paysannerie et d’une éducation loin du laïcisme et de la légèreté parisienne.

Un pèlerinage en Terre Sainte déterminant pour Charles de Foucauld !

Le plus grand sacrifice auquel il consent – celui de Marie de Bondy – ne s’accompagne d’aucun dessèchement du cœur !

Après sept ans de vie monastique passés dans l’obéissance, frère Marie-Albéric, toujours dans l’obéissance, part pour l’Orient !

Frère Charles de Jésus – c’est son nouveau nom – embrasse « l’existence humble et obscure de Dieu, ouvrier de Nazareth » !

Toute la spiritualité de frère Charles de Jésus se développe là, dans une extraordinaire intimité avec Jésus vivant à Nazareth, jusqu’à son désir du martyre...

Après le mariage spirituel, voici la paternité spirituelle : devenir prêtre pour sauver les âmes !

Devenu prêtre de Jésus-Christ, le Père choisit l’Afrique pour convertir au Christ les âmes les plus abandonnées.

Devenu le “ père du bled ” dès son arrivée, en recevant tous les pauvres dans sa khaoua, le Père de Foucauld n’oublie pas le Maroc où il voudrait envoyer des prêtres-apôtres en avant-garde !

Le Père abandonne momentanément Béni-Abbès pour suivre Laperrine dans sa tournée d’apprivoisement des Touareg : avec le moine, nous retrouvons l’officier français !

Au Hoggar, sa deuxième “ paroisse ” avec Béni-Abbès, le Père vit dans une solitude terrible, mais travaille au règne de Jésus sur ces populations misérables : pas question d’inculturation !

Une série de morts des êtres les plus chers s’abat sur le jeune enfant à quelques mois de distance. L’enfant se renferme et le lycée le rendra incrédule.

Il faut une bonne philosophie : Charles de Foucauld, pour en avoir eu une mauvaise qui l’a éloigné douze ans de l’Église, en témoigne.

Charles, l’orphelin incrédule et l’étudiant débauché, devient officier et trouve enfin le cadre dont il a besoin.

Au point de départ de la reconnaissance au Maroc, qui situe Foucauld parmi les plus grands explorateurs, il y a une certitude d’ordre militaire : assurer l’Empire colonial français !

Comment le service de l’officier français œuvrant pour la civilisation de populations misérables, va le conduire à retrouver la plénitude de la foi catholique.

La conversion de Charles ou le mystère de la Visitation.

Après sa conversion, une nouvelle vie commence, avec l’enseignement de l’abbé Huvelin !

L’aveuglement du Pape sur la conversion des orthodoxes, sur la restauration de la famille et la montée de l’islam vient de son refus du message de Fatima.

Il faut christianiser ces musulmans, enfants de la France ! Pour cela, conscientiser les chrétiens de France. À trois reprises, le Père viendra en France dans ce but.

Les trois voyages en France pour le développement de l’Union coloniale se solderont par autant de déceptions... Mais la doctrine est élaborée !

Au désert, le Père a retrouvé une famille spirituelle : l’armée, qui l’a le mieux compris. Il élabore une doctrine coloniale complète : pacification militaire, gouvernement direct et administration civilisatrice !

Le Père de Foucauld envisage le sort de l’Algérie et de la France, si la vraie colonisation n’a pas lieu : une leçon d’empirisme organisateur ! L’avenir lui a – hélas ! – donné raison.

Le programme du Père de Foucauld pour notre terre d’Afrique : la franciser pour la christianiser ! C’est notre devoir !

Les avertissements prophétiques à la France par le Père de Foucauld sont au cœur de notre terrible actualité...

Son analyse de la guerre de 1914 traduit son esprit réactionnaire fidèlement recueilli et transmis par notre Père !

Retenu au Hoggar pour y maintenir la paix, le Père de Foucauld se tient très informé de la guerre, y voyant de plus en plus une Croisade contre la barbarie allemande et pour le salut de la France !

Nos poilus ont lutté jusqu’à la mort « dans une vraie Croisade contre un paganisme nouveau ». Prions-les en ce Salut du Saint Sacrement !

Devant l’insurrection senoussiste qui conduira à l’assassinat du Père, celui-ci se montre un vrai stratège et son bordj devient le bastion de la Chrétienté !

En programmant l’assassinat du Père, les senoussistes armés par les Turco-allemands savaient qu’ils supprimaient l’âme de la résistance française. Celui-ci est mort martyr de la foi.

Les preuves d’une mort de martyr, par amour et par charité, désirée depuis 1897 et obtenue par grâce en 1916...

Les faux disciples du Père de Foucauld – souvent de saintes âmes, apparemment, mais passant d’une fausse mystique à la révolution – ont pullulé : les Massignon, Voillaume, Peyriguère et les autres...

Au lendemain de l’assassinat de Jean-Paul I^er, il fallut reprendre la lutte, ce que notre Père fit avec le courage de David, se dressant devant Jean-Paul II, pape des droits de l’homme, nouveau Goliath. À la consolidation de l’humanisme conciliaire voulue et entreprise par Jean-Paul II, notre Père opposa la seule et unique Volonté de notre Père du Ciel : l’établissement de la dévotion au Cœur Immaculé de Marie.

Né de parents pauvres, mais riche de tous les dons de la nature et de la grâce, Joseph Sarto fut le modèle des curés, des évêques et des papes.

Quelles leçons tirer de ces trois ans et demi de pontificat de notre pape François ? Frère Bruno dresse un bilan en demi-teinte dû aux “ chutes conciliaires ” du Saint-Père dont la dernière, la canonisation de Mère Teresa, personnifie bien l’apostasie de l’Église, tout comme la dernière réunion interreligieuse à Assise.

Entouré d’une petite phalange d’amis, frère François s’est rendu à Fatima en septembre pour assister au congrès organisé par l’Académie Pontificale Mariale Internationale. Au gré des conférences et des groupes de travail, voici le récit du combat contre les adversaires de l’Immaculée, à l’intérieur même de son sanctuaire !

Au fil de l’explication de notre frère Bruno, retrouvez le déroulement orthodromique de notre Histoire sainte, tel qu’il fut chanté par nos plus grands mystiques, entrez dans le dessein de miséricorde de notre Très Chéri Père Céleste et goûtez les intimes secrets de son Cœur.

Les faux disciples sont passés de la fausse mystique à la révolution, en total désaccord avec leur maître...

Au vu de la trahison de ses faux disciples, quelle valeur prend la béatification du Père, privé de sa mort de martyr et cantonné dans une sphère purement spirituelle ?

Après les faux disciples, les vrais ! Après l’historique de la fondation et l’élaboration de la Règle des Petits frères !

Comment devenir petit frère du Père de Foucauld ? La Règle y répond. Et le dévouement de frère Bruno auprès des pauvres du Sahara en fut une première expérience !

Rejeté de l’État et de l’Église, l’abbé de Nantes, tel un autre Père de Foucauld, travaillera à l’extension du règne de l’Église par la fondation de la Contre-Réforme Catholique !

Traduction du Coran, création de la Ligue et de la Phalange de l’Immaculée : tous les désirs du Père de Foucauld ont été réalisés par son vrai disciple ! En vue de la Croisade !

Tandis qu’au Nigéria, le chapelet vainc la secte islamiste Boko Haram et qu’au Pérou, un président consacre son pays au Sacré-Cœur et au Cœur Immaculé, le Saint-Père continue à miser sur la liberté religieuse pour obtenir la paix... Et en France, nos évêques en appellent à Jean-Jacques Rousseau pour donner un nouveau souffle à la politique... Quel remède ? Tomber à genoux devant le Cœur Immaculé de Marie et... ouvrir les 150 Points de la Phalange !

Frère Bruno nous fait entrer dans l’esprit du camp d’une manière impressionnante en évoquant le martyre du Père Jacques Hamel.

L’Histoire sainte, des origines à l’Apocalypse, est une “ histoire de famille ”. Et c’est ce que frère Bruno nous retrace en nous faisant entrer dans les desseins de miséricorde de notre très chéri Père Céleste entreprenant la laborieuse reconquête de ses enfants révoltés. C’est le drame et la beauté de l’histoire du Salut par la Vierge Immaculée de qui a voulu naître Jésus-Christ, le Fils de Dieu, pour lutter contre Satan et nous sauver du feu de l’enfer.

Mgr Freppel est choisi par les catholiques légitimistes bretons pour être leur candidat pour le siège de député de la troisième circonscription du Finistère. À la grande fureur des libéraux-catholiques !

À peine élu, Mgr Freppel prend la défense des jésuites expulsés par la république, dans son diocèse et à la Chambre. Et tant pis si cela dérange la politique de compromis des libéraux !

Du débat sur l’inamovibilité des magistrats jusqu’aux lois scolaires Ferry, en passant par l’expulsion des congrégations religieuse, Mgr Freppel défend l’Église et la France à la tribune de l’Assemblée nationale.

Pour lutter contre l’incendie allumé par le Concile Vatican II dans l’Église et entretenu par Jean-Paul II, notre Père allume lui-même plusieurs contre-feux ; contre le charismatisme complice du modernisme ravageur, c’est la création de la Phalange en 1984. Contre le “ revival ” du Concile au synode de 1985, une supplique pour la liberté de l’Église et des controverses portées dans les réunions célébrant “ l’expérience ” du Concile.

Les actualités de cette fin d’année sont sous le signe du Cœur Immaculé de Marie, pourtant dramatiquement absent des préoccupations du Saint-Père, comme en témoigne son voyage en Suède luthérienne, et sa lettre apostolique sur la Miséricorde, touchante, mais où la Très Sainte Vierge a le dernier rôle.

Il a été donné à l’abbé de Nantes, de comprendre la figure et l’œuvre d’un des plus grands saints du XX^e siècle, le frère Charles de Jésus. À son école, frère Bruno fait ressurgir l’étonnante actualité de ce moine-missionnaire et officier colonial de génie !

Dans cette conférence, frère Bruno explique les ressorts d’une histoire embrouillée par le “ religieusement correct ”. En effet, l’expansion de la religion chrétienne se heurte au judaïsme antichrist, inspirant persécutions romaines puis hérésies et schismes.

Dans ce sermon prononcé en août 2002, frère Bruno nous explique qu’au-delà de la puissance d’évocation des vers de Corneille à laquelle notre Père était si sensible, rien de mieux que cette pièce ne peut raviver la foi de notre baptême et nous exhorter au martyre en ces temps d’apostasie.

En nous commentant la crèche de ce Noël 2016, frère Bruno accueille deux postulants et nous entraîne tous derrière eux au désert, il y a cent ans, alors que le Père de Foucauld versait son sang pour l’amour de Notre-Seigneur et la conversion des infidèles.

Faisant fi du “ nouvel ordre mondial ” institué au début des années 90, la Sainte Vierge rebat les cartes par la Russie, maîtresse du jeu au Moyen-Orient, et ramène les États-Unis à leurs dimensions réelles.

« La politique c’est l’application des principes de la morale chrétienne dans le gouvernement des États. » (Mgr Freppel)

Mgr Bellot des Minières, jeune évêque libéral, entend gagner la faveur du gouvernement. Mgr Freppel dissipe ses illusions : « La république, c’est la guerre à l’extérieur et la persécution à l’intérieur. »

Quand le comte Albert de Mun proclame que seul le Roi pourra sauver la France chrétienne, les libéraux l’accusent d’exploiter au profit de sa politique la défense du catholicisme.

Malgré la virulence croissante de la république et la duplicité de Léon XIII, les francs-catholiques préparent le retour de la monarchie en la personne du comte de Chambord.

Au plus loin des libéraux prêts à toutes les compromissions, Mgr Freppel appelle à une levée de chrétiens militants et de missionnaires, une Phalange d’athlètes pour la restauration de la Monarchie et de la Chrétienté.

Mgr Freppel est réélu député, au milieu d’une droite désarmée par l’indifférentisme du Pape dont le libéralisme se dévoile de plus en plus, implacable, notamment dans son désaveu de Charles Périn, en Belgique.

De l’Alsace à l’Anjou, dans l’hémicycle comme dans les couloirs de l’Assemblée nationale, Mgr Freppel poursuit le combat : « Reculer n’est ni français ni chrétien ! »

La république athée veut abroger le Concordat et laïciser les enterrements. Inlassablement, Mgr Freppel se dresse contre le persécuteur, pour l’honneur de Dieu et le salut de la France.

Quel usage faire de l’argent pour lui faire servir la cause catholique ? De grandes banques capitalistes ? Mgr Freppel leur préfère des coopératives chrétiennes au profit de la classe ouvrière.

Le rayonnement de l’évêque d’Angers et de ses œuvres fut immense. Il inspira notamment Mgr Laflèche, au Canada français, engagé dans une lutte semblable contre les libéraux-catholiques soutenus par Léon XIII.

Quand la république expulse les bénédictins de Solesmes, Mgr Freppel se dresse, raffermissant les courages chancelants et mettant en déroute le ministère lui-même par une protestation magistrale et d’une ironie mordante.

“ L’homme ingouvernable ”. Telle est la plaie, dénoncée par notre Père, obstacle aux volontés signifiées des Cœurs de Jésus et Marie. En réaction, notre Père voulut « Sanctifier 89 » et mit nos communautés et notre Phalange “ aux ordres du Ciel ”.

Les actualités de ce mois de février sont dans la suite de celles de janvier : sous le signe du Cœur Immaculé et de sa messagère, sœur Lucie, fille chérie de l’Église. C’est elle que l’Église devrait écouter à l’occasion du prochain synode sur les vocations et François Fillon gagnerait à la connaître.

Quand la république veut laïciser l’école, les catholiques sont incapables de s’unir pour lui résister efficacement : beau résultat de la politique de complaisance de Léon XIII !

Dans la persécution, tandis que Mgr Freppel convainc ses amis de servir l’intérêt de la Patrie et de la Religion, les libéraux-catholiques, eux, intriguent pour réconcilier la monarchie légitime et la révolution.

Au lendemain du 14 juillet 1882, La presse républicaine ne décolère pas contre Mgr Freppel, « prêt à prêcher quelques croisades là-bas en terre vendéenne ou en pays breton ». De fait, il est le seul véritable opposant à la république !

« Il faut que l’Église et la France retrouvent la fermeté de caractère, la noble indépendance, le courage et l’esprit de sacrifice qui ont fait l’honneur et la gloire de vos pères. » Résistant pied à pied à la république, Mgr Freppel est un modèle de ces vertus !

S’ils veulent restaurer un jour la Monarchie, les royalistes doivent enfin unir leurs efforts et s’occuper de la question sociale, afin d’assurer un soutien populaire massif au Prince !

Pas à pas, frère Bruno nous entraîne dans la montée du Calvaire de notre Père marquée par son offrande en victime en juillet 1993 et le sommet de l’exil à Hauterive en 1996, dans le plus “ pur souci de l’Église ”.

Les prophéties de Jacinthe de Fatima s’accomplissent, mais aussi celles de notre Père, qui annonçait il y a cinquante ans cette consomption de l’Église. Quant au Monde, il est plongé dans une situation inextricable à laquelle seul peut remédier le Cœur Immaculé.

Tandis que les libéraux s’enfoncent toujours plus avant dans la trahison, que les meilleurs esprits, à droite, s’épuisent en de ridicules bravades, Mgr Freppel poursuit, seul, son opposition opiniâtre et efficace à la république.

C’est l’angoisse de la Patrie et de l’Église qui étreint le cœur de frère Bruno à l’approche des élections présidentielles et du pèlerinage du Pape à Fatima.

Les affaires de France vont de mal en pis : face à la persécution républicaine, Léon XIII persiste dans sa trahison et les légitimistes dans leur inertie.
« La France ne périra pas, mais il faut qu’elle se convertisse ! »

Craint par la république, haï par ses confrères libéraux, Mgr Freppel est en revanche très aimé de ses prêtres : « heureux et fiers d’avoir à leur tête un chef aussi vaillant, un guide aussi éclairé, un évêque que tout le monde nous envie. »

En ces temps d’angoisse pour l’Église et nos patries, à moins d’un mois de notre grand pèlerinage de supplication et de réparation au Cœur Immaculé, seule la Lumière de Fatima permet à frère Bruno de comprendre les actualités. Notre-Dame, pitié !

À partir du du XI^e siècle, la Chrétienté s’épanouit merveilleusement : nos nations chrétiennes s’affermissent sous l’influence des grands ordres religieux, grâce à l’action de grands rois et de sages pontifes, jusqu’à connaître l’apogée du treizième siècle, sous le règne de saint Louis.

Tandis que Mgr Freppel résiste avec profit à la république, Léon XIII incite les catholiques à collaborer avec elle, affirmant que la monarchie française n’est plus qu’un cadavre. Or le 24 août 1883, le comte de Chambord meurt...

À la mort du comte de Chambord, faut-il se rallier au très libéral comte de Paris ? Oui, en principe, mais à condition qu’il manifeste son adhésion aux principes de la royauté chrétienne !

« Le comte de Chambord est mort ; mais son programme et ses idées nous restent. Nous devons nous appliquer à les faire prévaloir, car c’est là le salut de la France ; si tant est que la France puisse être sauvée !  »

« Si ceux qui ont servi le Roi pendant tant d’années se retiraient aujourd’hui de la lutte, la Révolution serait à jamais maîtresse du pays. »

Ranimer le courage des royalistes, déjouer les perfidies libérales, résister aux persécutions républicaines. « Dieu veut la lutte, Dieu veut l’épreuve, Il veut la foi surhumaine et désintéressée. Luttons donc ! »

Adoration, Réparation et Consécration. Telles furent les intentions de notre pèlerinage aux pieds du Cœur Immaculé de Marie, dix jours après celui du pape François et tandis qu’en France, le pire est “ en marche ”.

Le miracle de Jeanne est la révélation du mystère permanent de l’alliance de Dieu avec notre patrie, la royauté de Jésus et Marie sur cette nation qu’ils aiment et dont ils conduisent les destinées.

Frère Bruno présente le camp de la Phalange en ses deux composantes : l’oratorio sur le bienheureux Charles de Foucauld et l’étude d’une nouvelle période de l’histoire de l’Église : lorsque Satan est « relâché de sa prison » !

Frère Bruno nous dévoile les richesses de l’oratorio de frère Henry, merveilleuse prière qui fait entrer dans nos têtes et nos cœurs la dévotion au Cœur Immaculé que Dieu veut établir dans le monde.

Notre Père écrivit à Hauterive l’Autodafé, pour éradiquer “ la cause de la ruine de l’Église ”. Il en revint pour la défense de l’Église, s’en remettant en tout et pour tout au Cœur Immaculé de Marie.

La descente de notre Père dans l’abjection des années 1999-2000 : une déréliction physique et intellectuelle qu’il accepte, mimant l’agonie de l’Église. Il conserve néanmoins le fil de l’orthodromie divine, dans la lumière de Fatima.

Notre frère Bruno retrace les dix dernières années de la vie de notre Père comme un long offertoire préludant au plus grand acte d’amour que fut sa mort, le 15 février 2010.

Le tour du monde réalisé par frère Bruno dresse un tableau impressionnant de l’accomplissement des prophéties et visions de Fatima, particulièrement celle du troisième Secret.

En pleine guerre mondiale contre la Russie en Ukraine, l’histoire de Varvara Komaroff montre la prédestination des Russes à devenir des catholiques de Contre-Réforme lorsque le Pape honorera le Cœur Immaculé de Marie !

Le biographe retrace la personnalité explosive de Varvara Tourgueniev, en famille et en société ! De Constantinople à Kiev en passant par Lisbonne, en faisant face à de graves difficultés !

Dans le drame intime de la mésentente conjugale, Varvara se plonge dans une dévotion extrême marquée d’austérités effrayantes et d’interventions diaboliques terrifiantes.

Après son mari, les trois enfants s’écartent d’elle et de la foi... Mais leur retour prélude à la puissance mariale pour convertir la Russie. Commençons par Katia !

Récit captivant d’un pèlerinage à Lourdes, décisif pour cette âme de feu, que le Ciel mène visiblement à l’Église catholique par des signes spectaculaires !

L’abjuration officielle de Varvara déclenche opposition et guerre familiale, qu’elle accepte avec abnégation, soutenue par des grâces étonnantes ! Vingt jours après elle, Katia abjure...

Mère et fille sont conduites par la Providence dans l’abbaye de Dourgne, où, sous le nom de sœur Paula et sœur Eustochie, elles vont goûter la paix bénédictine.

Que de rebondissements dans cette vie ! À peine moniale, Varvara ressort pour soigner son mari malade... Au terme d’une longue lutte, Nicolas revient à Dieu en revenant à sa femme, par l’Immaculée !

Désormais, Varvara peut entrer dans la vie monastique régulière, marquée d’épreuves terribles qu’elle supporte avec grandeur d’âme, avant de s’éteindre paisiblement, toute sa famille convertie !

Frère Bruno nous révèle, à travers les mille détails de la musique et de la mise en scène de l’oratorio de frère Henry, ce que fut la vie du frère Charles de Jésus dont notre Père fut le véritable disciple.

Comment, en ces temps d’apostasie, tout restaurer dans le Christ ? C’est une révélation nouvelle, transmise par sœur Lucie et illustrée par notre Père : par le Cœur Immaculé de Marie !

La Phalange, fondée par l’abbé de Nantes, est un mouvement religieux, mystique, qui cherche à instaurer le royaume du Christ en tout domaine.

Frère Bruno nous fait découvrir les passages les plus remarquables de l’Autodafé avec les commentaires du Père montrant l’opposition flagrante du texte avec la véritable foi catholique.

Cette conférence réfute le personnalisme, fausse philosophie inventée par Jacques Maritain, qui, à la faveur du Concile, a substitué dans l’Église le culte de l’homme au culte de Dieu.

Il y a cinquante ans, la communauté des Petits frères du Sacré-Cœur naissait...

Le premier volet expose les 33 années pendant lesquelles notre Père demanda un jugement doctrinal sur son opposition au concile Vatican II et aux papes Paul VI et Jean-Paul II.

Notre Père a engagé la lutte contre ce « funeste Concile », pour l’honneur de Dieu, sûr de la victoire avec le bon secours de Notre-Dame.

Notre Père, au fur et à mesure de lettres de méditation et de direction spirituelle, en vint à prendre la défense de l’Algérie française et à dénoncer le progressisme à l’œuvre dans l’Église.

Fatima demeure plus que jamais l’unique recours capable d’apaiser nos angoisses pour la patrie et pour l’Église, en portant remède à tant de maux par la grâce du Cœur Immaculé de Marie.

« Le PROGRESSISME, apparemment inspiré par la foi mais qui en est la corruption est une hérésie nouvelle plus grave que les pires du passé. »

Ce deuxième volet retrace l’histoire plus tragique de notre Phalange depuis 1997 et sa consécration à l’Immaculée.

Le troisième volet rappelle comment en 1997, notre Père plaçait la Sainte Vierge à la tête de la Phalange pour remporter la victoire... et nous connaissons aujourd’hui la défaite.

L’abbé de Nantes est le seul philosophe a opposer une métaphysique vraie, “ relationnelle ”, à la philosophie “ personnaliste ” de Maritain.

Nous aurons la guerre ! C’est la conclusion de l’analyse des actualités à la lumière du troisième Secret. En effet, loin d’obéir aux demandes de la Très Sainte Vierge, le Saint-Père, disciple de Paul VI, est aveuglé... par les erreurs de la Russie !

« Quand le drapeau de la France est régulièrement engagé, il ne s’agit plus pour personne de se demander quelles sont les mains qui le tiennent : c’est le drapeau de la France ; cela suffit, il faut le suivre. »

« Nous devons combattre la Révolution jusqu’au dernier soupir ; c’est le seul moyen de servir le pays et de rester fidèles à nos traditions. Et pour cela, gardons notre idéal de monarchie chrétienne, et restons serrés autour de l’Église. »

Soutenu par l’opinion catholique, Mgr Freppel est pourtant seul à la Chambre. Profitant d’une de ses absences, une loi est votée, à main levée et sans aucune discussion, pour l’expulser de la Chambre. Silence des députés de droite...

Pour conclure ce chapitre, frère Pascal nous offre à lire des lettres et des articles de journaux soutenant Mgr Freppel face à l’opposition venant des députés de droite libéraux et ambitieux !

C’est un message urgent ! Cent ans après les apparitions de Notre-Dame à Fatima, notre frère Bruno se fait à son tour l’écho du cri de Dieu et de la profonde amertume du Cœur Immaculé de Marie.

« Par Marie le salut du monde a commencé et par Marie il doit être consommé. »
« Dieu veut donc révéler et découvrir Marie, chef-d’œuvre de ses mains, dans ces derniers temps. »

À la lumière de Fatima, frère Bruno analyse les menaces actuelles d’une guerre nucléaire et du djihad, jusque sur notre sol, faces auxquelles Pape et évêques sont aveuglés et impuissants.

Benoît XVI et le synode pour la « nouvelle évangélisation » nous aveuglent sur l’apostasie moderne. Mais notre Père avait prévu toutes les calamités qui allaient ruiner la Chrétienté, de la Chine à l’Afrique, en raison des principes faux du Concile.

Rome refusant la vraie foi et la paix que Dieu veut accorder au monde par le Cœur Immaculé de Marie travaille à la révolution démocratique mondiale dont la Russie de Poutine est aujourd’hui le seul obstacle.

La seule manière efficace de s’opposer à la montée en puissance de l’islam est de revenir à la sagesse politique et mystique de sainte Jeanne d’Arc, que notre Père codifia dans nos 150 Points, pour la restauration de la Chrétienté.

Dans ce bilan du Concile, frère Bruno réfute à la suite de notre Père les mensonges des promoteurs de Vatican II et surtout du pire, du plus subtil, l’abbé Ratzinger, qui conserve sa haine du catholicisme romain.

En période électorale, frère Bruno rappelle que le salut politique est avant tout surnaturel et exige la réfutation du culte de l’homme de Vatican II, obstacle à la renaissance des nations chrétiennes et ruine de la vie consacrée.

Au péril de la montée de l’islam et de la Chine s’oppose la Russie, mais aussi la Hongrie, sous l’égide de la couronne de saint Étienne. La France devrait l’imiter en retrouvant sa religion royale révélée par sainte Jeanne d’Arc !

Le commentaire du Te Mariam laudamus de saint Jean Eudes, mis en musique par frère Henry, nous transporte dans le Cœur glorieux de Marie, notre unique Espérance !

Banqueroute, c’est le mot qui récapitule les actualités de ce mois. Elle n’est pas seulement financière, ni uniquement celle de l’Europe, c’est avant tout une faillite spirituelle causée par l’idéologie mondaine et franc-maçonne de Vatican II.

Réhabilitation de Luther, réunion interreligieuse d’Assise... Notre-Dame de la Salette nous avait prévenu : « Rome perdra la foi ». Seul frère Bruno poursuit l’œuvre de Contre-Réforme de notre Père.

Le caractère mensonger et scandaleux de la béatification de Jean-Paul II dûment prouvé, on ne s’étonnera pas d’assister au châtiment d’un monde ravagé par les guerres et les persécutions.

Rêver au spectacle de saint Grégoire le Grand réagissant avec foi et charité face à une catastrophe naturelle aide à comprendre la rupture de Benoît XVI avec cette sainteté évangélique et comment il attire par conséquent la colère de Dieu.

Pour défendre la virginité de la Très Sainte Mère de Dieu, frère Bruno s’appuie sur les évangélistes et sur une page mystique de notre Père !

Ce prologue est la présentation de l’accusé du plus grand procès de l’histoire, dont saint Jean dressera la minute. En voici un commentaire littéral captivant.

Voici un évêque qui ne confesse pas Jésus comme « Celui qui était attendu » par toute la révélation de l’Ancien Testament, comme « le Messie de Dieu » révélé par l’Évangile.

À la suite de l’abbé de Nantes, seul vrai disciple de saint Pie X, nous affirmons et démontrons en opposition aux modernistes que Jésus, fils de David, est bien né à Bethléem !

Saint Luc établit dans son “ prologue ” un parallèle entre Jean-Baptiste et Jésus. Il présente la Nativité du Christ comme le second volet d’un diptyque dont le premier est la naissance de Jean-Baptiste.

Grâce à un manuscrit de Qûmran, nous apprenons que la famille de Zacharie était de service au Temple fin septembre, date traditionnelle de la conception de Jean-Baptiste, d’où découle celle de Jésus. Démonstration éclatante !

En puisant dans ses travaux scientifiques, frère Bruno nous démontre que l’année exacte de la naissance de Jésus est bien l’an 1 avant son ère.

Notre Père a médité toute sa vie “ Les grandeurs de saint Joseph ”... au point de décider un jour de “ déménager ” chez la Sainte Vierge. Comme saint Joseph !

Loin d’un développement du “ merveilleux ”, le Protévangile est au contraire la révélation du mystère inverse de l’abaissement du Fils de Dieu, fait homme par amour, pour nous sauver.

Les deux relations divine et humaine de Jésus sont déjà tout imbriquées l’une en l’autre, dès le jour de la circoncision, dès le jour de la Présentation au Temple, dès le jour de la douce rencontre au Temple de Jérusalem.

Il est absolument certain que c’est le midrash juif, faisant de Moïse le Sauveur, qui est une imitation de saint Matthieu, et non pas l’inverse ! Ce qui établit l’authenticité de la visite des mages.

La fin de l’année 2017 a marqué le 60^e anniversaire de l’entretien de sœur Lucie avec le Père Fuentes, qui forme la trame impressionnante de ces actualités. Tout le monde prépare la guerre qui sera le châtiment de l’Église de Vatican II.

Frère Bruno nous fait visiter notre crèche, ex-voto à Notre-Dame pour notre pèlerinage du centenaire à Fatima. Quelle aimable manière de raconter les apparitions et de consoler le Cœur Immaculé de Marie !

Pour contempler Jésus à Nazareth, il nous suffit de lire les psaumes à l’imitation de la Sainte Famille. Prenons par exemple le psaume 130 qui chante le bonheur et la tranquillité de l’Enfant-Jésus dans les bras de sa Mère... et dans les bras de son Père Céleste.

La scène de la circoncision tient en une ligne en saint Luc. Notre Père en a fait le sujet d’une page d’anthologie qui révèle sa profonde intimité de cœur avec le Cœur Immaculé de Marie.

Dans un parallèle saisissant avec la vie de notre vénéré Père Charles de Jésus, frère Bruno nous montre l’éveil et l’affermissement de la vocation du jeune Georges de Nantes.

Deux amours nourrissent la vocation du jeune Georges de Nantes : l’Église de ses maîtres et du bon curé de Chônas, et la France du Maréchal Pétain. Ils se rejoignent dans celui de Jésus-Christ.

Engagé dans les Chantiers de jeunesse, Georges de Nantes participa au redressement de la Révolution nationale : rude apprentissage ! L’Église prit le relais, maternelle, lors de son entrée au séminaire : il en est le fils légitime !

Merveilleux dévoilement de l’admirable échange de la Vierge et de son Enfant-Dieu ! Le Cœur de Marie bat avec ferveur au contact de ce trésor divin et l’Enfant s’abandonne entre les bras de sa Mère : c’est la première institution de l’Eucharistie.

Ces antiennes de la fête de la Circoncision de Notre-Seigneur résument à elles seules tout le mystère que nous célébrons en ces jours de la Nativité de notre Sauveur.

« Dieu des Armées, jusqu’à quand tarderez-vous à prendre en pitié Jérusalem et les villes de Juda, qui gémissent sous le poids de votre colère depuis soixante-dix ans ? »

Très tôt Georges de Nantes comprend que sur la définition de la personne humaine reposent deux conceptions de la vie : le culte de Dieu ou le culte de l’homme.

À la suite du soutien de Mgr Freppel à Ferry sur la question du Tonkin, des journaux républicains veulent voir dans ses prises de parole une conversion à l’indifférentisme politique et une amende honorable à la République.

Complaisance vis-à-vis de la République, sévérité contre les catholiques intégraux... La conclusion s’impose : « Le Pape est libéral. »

Avec le Concile, commence pour l’abbé de Nantes la longue lutte du fils contre le Père, pour la défense et illustration de la foi catholique.

« L’oppression en haut, la servitude en bas, l’antagonisme partout et l’union nulle part. Telle est la situation que la Révolution française est venue créer à la classe ouvrière. »

Frère Bruno nous fait admirer et méditer les principales œuvres de la peinture religieuse du Grand Siècle exposées au Musée Carnavalet : un beau témoignage de la religion mystique de nos pères !

Notre Père a non seulement démontré depuis longtemps que Vatican II a précipité l’Église et le monde dans le chaos actuel d'impiété révolutionnaire, mais il a de plus préparé un concile Vatican III, marial, contre-révolutionnaire et régénérateur.

L’œil fixé sur l’hérésie de la liberté religieuse et malgré tous les contrecoups que l’Église en reçoit de la part de l’islam, le pape Benoît XVI persévère dans sa chimère conciliaire, au mépris de toute vérité et justice.

« La liberté religieuse, chemin vers la paix » ? Le commentaire de ce message adressé à l’occasion de la 44^e journée mondiale pour la paix prouve, une fois de plus, que le Pape vit dans les hauteurs intellectuelles d’un univers faux et chimérique.

Jésus eut-il des frères et des sœurs ?
Pour réparer les blasphèmes qui outragent son Cœur Immaculé, frère Bruno nous fait tenir compagnie à notre Mère chérie en honorant sa Virginité perpétuelle.

Pour consoler notre Mère Immaculée des outrages lancés contre sa Maternité divine, contemplons le mystère de Dieu fait homme, à l’école de notre Père, disciple de saint Cyrille d’Alexandrie.

Le Cœur Immaculé de Marie est le chemin du Ciel, mais le Pape s’en éloigne de plus en plus, prêchant et promouvant le Masdu. L’Église en meurt, la France se transforme en tour de Babel et la guerre vient.

Le premier tome des Mémoires et Récits révèle en notre Père un incomparable fils de l’Église de France, depuis le jour de son baptême, jusqu’à son entrée au séminaire.

Notre Père n’a jamais cessé de dénoncer le culte de l’homme qu’il voyait s’imposer peu à peu dans l’Église, bien avant Vatican II, prévoyant qu’il mènerait l’Église à l’apostasie et la Chrétienté à la ruine.

Commentant le second tome des Mémoires et Récits, frère Bruno nous fait admirer à quel point notre Père fut au séminaire l’enfant légitime de cette Église fidèle d’avant la Libération-révolution de 1944.

En ces années 1945-1946, notre Père manifeste une humilité et une sagesse surnaturelles qui lui font aimer et défendre les trésors de la tradition de l’Église contre les désorientations d’un réformisme naissant.

Toutes les désorientations qui mèneront un jour l’Église à la ruine, notre Père les a rencontrées dès son séminaire. Assisté par le Saint-Esprit, il évita tous les pièges !

À peine notre Père était-il ordonné prêtre, le 27 mars 1948, qu’il affronta, oint du don de Force, la révolution sous toutes ses facettes. Ce défenseur de l’Église et de la Cité est un homme de progrès et surtout un cœur !

C’est par la grâce de l’amitié de l’abbé Vimal, l’incomparable ami, que le don de Sagesse fit du jeune séminariste Georges de Nantes un fils de l’Église, puis à son tour un incomparable Père...

Curé zélé en même temps que fondateur d’un Ordre de moines-missionnaires, l’abandon de l’Algérie et les progrès de l’apostasie révèlent à notre Père le caractère providentiel et prophétique de sa vocation

Les funérailles furent célébrées le 18 février à la maison Saint-Joseph : cérémonie très émouvante et qui culmina avec l’allocution de frère Bruno clamant notre résolution de poursuivre le combat de notre Père.

Remède à la subversion conciliaire, une lecture vivante et religieuse de l’Évangile nous fait savourer cette divine révélation afin d’aimer, de servir et de nous attacher pour toujours à Jésus Fils de Marie et Verbe de Dieu.

L’Évangile n’est pas une spéculation, mais le témoignage de témoins oculaires, qui nous met tout de suite en présence du mystère de Jésus, Messie accomplissant les prophéties de l’Ancien Testament et Fils de Dieu né de la Vierge Marie.

Comment un Dieu peut-il naître parmi nous ? La Sainte Vierge a révélé ce secret à saint Matthieu, en s’effaçant derrière saint Joseph et, d’une manière beaucoup plus intime, à saint Jean qui l’a rapporté ensuite à saint Luc.

Dès les premiers mois de sa vie publique, avant même sa prédication en Galilée, la messianité royale de Jésus s’est manifestée en plénitude.

Jésus en Galilée conquiert la foule des gens simples par sa bonté suave, par la puissance de ses miracles et l’autorité de son enseignement nouveau qui suscite très vite la haine mortelle des méchants.

La formation des Apôtres sera laborieuse ! Pierre a la foi, mais regimbe quand Jésus lui annonce les souffrances à venir.
Jean est son disciple privilégié, le seul à l’accompagner dans ses terribles controverses à Jérusalem.

L’incompréhension des Galiléens face au miracle de la multiplication des pains n’a d’égal que le génie de Jésus qui annonce par cet événement, et le banquet eucharistique, et le banquet eschatologique de la fin des temps.

Frère Bruno nous fait suivre Jésus pas à pas durant la Semaine sainte de sa Passion, en tout son être filial, obéissant à son Père, et selon une chronologie des événements désormais parfaitement établie.

À la suite des Apôtres et de Marie-Madeleine, frère Bruno nous fait découvrir et aimer le Saint Suaire de Notre-Seigneur. Il redoublera cette preuve de la Résurrection par son exégèse mystique du mot soudarion selon saint Jean.

Exposer le Credo dans toute sa vérité, c’est réfuter tout l’enseignement du Concile, même sans controverse !

Contre les modernistes, il faut dire que la Bible est le fil conducteur définitif de l’histoire des hommes : Georges de Nantes le prouve !

Georges de Nantes poursuit sa présentation magistrale de la Bible, pleine d’enseignements actuels, éternels !

Six années de pontificat ont suffi à saint Pie V, intrépide défenseur de la foi, grand réformateur et organisateur de la croisade contre les Turcs, pour sauver l’Église et la toute la Chrétienté.

La conjonction de la prophétie de Balaam prédisant l’Étoile de Jacob et de celle d’Isaïe annonçant une Vierge enfantant rend manifeste que l’étoile qui a guidé les mages est la figure de Marie.

Le baptême de Jésus marque son entrée dans la vie publique par un véritable sacre. Cet événement nous offre à méditer l’admirable rencontre entre Jean-Baptiste et Jésus.

Si vous ouvrez l’Encyclopédie “ Jésus ”, vous découvrirez une étude intitulée “ Saint Judas ou le destin d’un traître ”, réhabilitation de Judas injustement « diabolisé » !

« La grande affaire de (sa) vie » fut la lutte contre un concile et une Église proclamant le culte de l’Homme : la troisième tentation de Jésus au désert.

Après avoir combattu sur tous les fronts, il souffrit la longue agonie de son Église pour l’Église, dans la certitude de la victoire de l’Immaculée, dont le culte est le seul antidote au culte diabolique de l’Homme.

En ignorant Notre-Dame de Fatima, François rend vain son zèle pastoral ; il tombe dans des hérésies dénoncées naguère par notre Père ; il est le premier responsable de la guerre qui menace. Prions beaucoup pour le Saint-Père !

La solution de la question sociale n’est pas dans la Révolution, mais dans la Religion !

Le blasphème contre l’Immaculée Conception de la Vierge Marie, mystère ineffable et signe de contradiction, est la première des cinq offenses que doit réparer notre dévotion à son Cœur Immaculé.

Frère Bruno poursuit la méditation du premier samedi sur l’Immaculée Conception en démasquant son adversaire dans cette bataille décisive : le diable, qui se cache dans l’encyclopédie moderniste de Mgr Doré.

« Si M. Paul Bert et ses congénères croyaient en Dieu, ils devraient le bénir d’avoir placé en face d’eux un orateur et un maître qui leur donne de pareilles leçons. » (article du “ Constitutionnel ”)

C’est avec un sermon prononcé le 13 août 1999 par notre Père que frère Bruno nous fait contempler le mystère de Marie, Mère de Dieu, toujours Vierge et Épouse.

Frère Bruno répare avec ferveur l’iconoclasme de Vatican II qui outrage le Cœur Immaculé de Marie en proclamant son « rôle subordonné » et en proscrivant la dévotion pour ses saintes Images.

La comparaison des pèlerinages des papes Paul VI et François à Fatima, à cinquante ans de distance, montre le même refus du message de Notre-Dame...

« La religion et la politique doivent rester unies pour conduire l’homme, l’une directement et l’autre indirectement à ses fins surnaturelles et divines. »

Par le message – exposé en vérité – de la Vierge à Fatima, l’Église détient dans sa main la paix et le salut du monde. À condition que le Pape lui obéisse...

La lettre de la Congrégation pour la doctrine de la Foi veut réaffirmer que Jésus-Christ est le seul Sauveur. Mais de quoi et comment ? Le péché, l’enfer, la Croix en sont absents, pour la plus grande perte des âmes !

Tandis que Poutine fait la grandeur de son pays, Macron fourvoie le sien dans l’illusion européenne et mondialiste. À Rome, un différend entre François et Benoît XVI accuse la ruine conciliaire de l’Église.
Notre-Dame au secours !

Un cri d’angoisse devant la ruine de l’Église, six mois après la clôture du Concile, et qui appelle l’Autorité à opérer un discernement des esprits !

Le procès de l’abbé de Nantes en Cour de Rome se conclut, faute d’erreur doctrinale, sur une forfaiture. Reste à ouvrir celui de la Réforme conciliaire !

Peut-on associer humanisme et christianisme ? Une controverse qui agite les arts, la politique, les sciences, la philosophie, de la Renaissance à Vatican II... et à l’abbé de Nantes qui apporte sa réponse relationnelle à ce grand débat.

Quand la République veut faire de l’athéisme la règle de la vie nationale, l’urgence est de former une union électorale des conservateurs légitimistes et orléanistes.

Une analyse très documentée des événements qui ont conduit aux tirs de missiles sur la Syrie le 14 avril 2018 : la volonté des Occidentaux de faire la guerre est égale à celle des Russes de maintenir la paix.

Une Alliance singulière lie la France, son monarque et son peuple à Notre-Seigneur Jésus-Christ, vrai roi de France.
Mais quand Il voulut la renouveler par ses révélations à sainte Marguerite-Marie, le Sacré-Cœur se heurta au refus de son lieutenant.

L’exhortation “ Gaudete et exsultate ” propose un chemin de sainteté fondé sur l’immanentisme anthropocentrique du Concile et non sur le Cœur Immaculé de Marie : elle restera lettre morte.

Le pape François explique la Messe en omettant son mystère central : le Saint-Sacrifice !
50 ans après l’imposition de la messe de Paul VI, le complément de la théologie de notre Père est indispensable.

L’aveuglement du Pape sur la progression de l’islam et sa volonté de dialogue interreligieux conduisent à la réalisation du troisième Secret de Fatima.

Benoît XVI méprise l’Immaculée et néglige le mal qui ravage le monde, avec comme victimes les martyrs de l’islam.

Notre malheureux pape convoie plus que jamais la ruine de l’Église et de la civilisation en se montrant l’inconditionnel apôtre du Concile. La famine sera le châtiment médicinal de cette impiété.

Voici qu’à propos de la chute du clergé, Benoît XVI parle de reconnaître les « erreurs de notre vie ». Veut-il parler de la première d’entre elles ? Celle du concile Vatican II, cause de tout le mal ? Non, malheureusement !

De Rome à Haïti, de la fraternité Saint-Pie-X à la Synagogue, le monde que traverse Benoît XVI nous offre une image de la « grande ville à moitié en ruine » du Secret de Fatima.

« Il n’y a plus rien à faire ! » se lamentent les catholiques royalistes découragés. L’alacrité de Mgr Freppel dans ses nécessaires combats contre la République démontre le contraire !

Face aux menées de l’anticléricalisme, la droite catholique française est en pleine décomposition. La hiérarchie libérale-catholique veut museler ses adversaires : « C’est avec le Pape vivant que nous devons être » !

« Ménager les personnes tout en combattant l’erreur, voilà notre devise », proclame Mgr Freppel. C’est enthousiasmant ! mais fait grincer des dents les libéraux et anticléricaux associés...

L’Église possède la clé du problème ouvrier créé par le capitalisme et la révolution.

Au moment où Mgr Freppel ferraille contre le libéralisme ostentatoire du nouvel évêque de Langres, le Saint-Père révèle ses préférences en recommandant l’indifférentisme politique.

Tandis qu’à travers la Chine les erreurs de la Russie triomphent à Rome même, le Cœur Immaculé de Marie est de plus en plus le seul recours d’un monde en proie à la guerre et de l’Église impuissante face aux scandales.

Se peut-il que François canonise Paul VI ? Frère Bruno rappelle l’hérésie, le schisme et le scandale manifestés par sa nouvelle religion, le MASDU, origine des scandales où se débat aujourd’hui l’Église.

« Le Cœur Immaculé de Marie aime la Russie », répétait sœur Lucie. Bien, mais pourquoi ? Frère Bruno nous plonge dans l’histoire du peuple russe, enjeu d’une lutte entre Satan et l’Immaculée qui veut le guérir de ses erreurs...

François achève de canoniser le Concile à travers Paul VI et pactise avec Pékin. Quel contraste avec la sainteté de saint Pie X et de Jean-Paul I^er ! Et avec la fidélité de Notre-Dame nous donnant la paix par la Russie !

Au lendemain du refus opposé par Louis XIV au Sacré-Cœur, saint Louis-Marie Grignion de Montfort fut l’instrument choisi par Dieu pour préparer et annoncer le règne de Marie, qui précèdera celui de Jésus-Christ.

L’exposition des chefs-d’œuvre des églises parisiennes au XVIII^e siècle nous montre qu’à l’époque des prétendues “ lumières ” et des philosophes impies, l’inspiration religieuse restait, et fortement, de Contre-Réforme !

Délivrée de la possession diabolique du bolchevisme, la Russie attend aujourd’hui pour se convertir que le Pape la consacre au Cœur Immaculé de Marie. Mais cela suppose que lui-même commence par se convertir de l’apostasie conciliaire !

Notre Père accuse Paul VI de la ruine de l’Église, de l’extinction de la religion et de la trahison de la Chrétienté. Et il a été canonisé sans que ces accusations aient reçu aucune réponse ?!

Benoît XVI “ oublie ” de reconnaître officiellement le Saint Suaire et, en parfait moderniste, laisse chaque conscience juger.

Saint Jean Bosco fut pour notre Père un modèle de Contre-Réforme et de Contre-Révolution. Il puisa dans ses prophéties sa joyeuse espérance du triomphe de Marie-Auxiliatrice.

La Contre-Réforme, engagée par saint François de Sales, reprise par saint Jean Bosco, a été poursuivie par notre Père. La victoire nous est promise si nous restons fidèles.

Ce camp doit nous permettre d’améliorer nos relations avec le Bon Dieu, en obtenant la grâce de la dévotion au Cœur Immaculé de Marie qui est en train de livrer une bataille décisive contre le Dragon.

Qu’attend de nous notre Bont Dieu dans la crise sans précédent que traverse notre Église ? Il nous demande davantage d’amour et que nous lui chantions un cantique plus héroïque !

Louis XIV refusa le Christ-Roi ; Louis XV eut le “ roi Voltaire ”, véritable antichrist-Roi ! Un être satanique imposant son impiété dans une société luxueuse et frivole… qui passe pourtant pour l’incarnation de l’esprit français.

Un saint pasteur au zèle enflammé, un prophète et un docteur intrépide de la foi catholique au seuil de la grande apostasie : saint Pie X est le garant de notre CRC !

Écouter le récit des apparitions de Notre-Dame de Fatima, c’est recevoir une révélation divine pour nos derniers temps : Dieu renouvelle son Alliance avec l’humanité, dans le Cœur Immaculé de Marie.

Le fruit de notre camp doit être de nous ramener à l’essentiel de notre vie : nous mettre sous la protection de la Vierge Marie, pour aller au Ciel par la croix et le sacrifice.

C’est pour consoler Notre-Dame que frère Bruno relaie la révélation et la dénonciation courageuses par Mgr Vigano de la mainmise du lobby homosexuel sur l’Église conciliaire, de haut en bas de sa hiérarchie.

La crèche de cette année illustre le rosaire, vécu par sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, à travers trois tableaux : les mystères joyeux, douloureux et glorieux.

En France, Macron est incapable d’assurer l’ordre. Que ne prend-il exemple sur Vladimir Poutine !
À Rome, le programme du Pape pour 2019 achèvera l’œuvre de Paul VI en détruisant l’Église déjà à moitié en ruine.

Si le Pape entendait l’appel fait au nom de Jésus et Marie par Mgr Vigano à Mgr McCarrick, il aurait tout pouvoir sur le Cœur Immaculé de Marie pour obtenir la paix. Mais l’apostasie de l’Église nous livre à la guerre...

La réaction de Mgr Athanasius Schneider au document d’Abou Dhabi signé par le Pape et l’imam d’El-Azhar, est une divine surprise dans cette apostasie où s’enfonce l’Église.

Le film “ La Passion ” de Mel Gibson met en scène, avec une rare intensité, le mystère du Messie crucifié par son peuple, mais offrant sa vie en expiation dans un sacrifice rédempteur.

« Nous vivons le mystère de Judas », déclare le cardinal Sarah. Mais aujourd’hui, Judas siège sur le trône de Pierre ! La seule solution est proposée par notre Père : faire appel du pape hérétique au Pape infaillible.

« Jésus a-t-il fondé l’Église ? » Cette question est une pierre de touche de notre foi, qui permet à frère Bruno de confondre sous tous ses aspects le modernisme, égout collecteur de toutes les hérésies.

La tendresse et la dévotion pour notre Mère Immaculée sauveront le monde !

Tandis que le monde est suspendu au souffle de Jean-Paul II, une seule question compte : de l’abbé de Nantes ou du Pape, qui a raison dans le formidable procès sur la foi qui les oppose depuis un quart de siècle.

Qui acceptera de comprendre que par le tsunami, le Bon Dieu a châtié l’humanité par où elle pèche et a sauvé par des miracles ceux qu’Il a voulu ?

Quand l’Église romaine est désorientée, le monde entier est désaxé. Le tsunami du 26 décembre, châtiment pour l’apostasie, en est l’image saisissante !

L’appel de notre Père au magistère suprême et infaillible du Pape, auquel nos évêques ne savent pas répondre, est néanmoins l’ultime recours à la mortelle désorientation illustrée par le synode sur l’Amazonie.

Après un somptueux prologue en forme de liturgie orientale en l’honneur de Notre-Dame de Vladimir, le premier acte nous dévoile l’âme russe, que notre Père avait si bien comprise.

La Russie est en proie à de terribles erreurs, mises en scène dans l’acte II, qui la mènent à sa perte. Mais ce peuple est confié à Notre-Dame qui intervient dans l’acte III pour en prendre la régence !

Frère Bruno parcourt toute notre histoire de sainte et doulce France avec notre Père, pour nous faire comprendre et aimer le dessein de Dieu sur notre nation : c’est une histoire volontaire !

« Seules les âmes mystiques vous suivront jusqu’au bout », déclarait un ermite à notre Père. Pour en être, mettons-nous à son école pendant ce camp avec intelligence, afin de mieux aimer Jésus et Marie.

Le concile Vatican II a tout fait pour interrompre l’admirable tradition de sainteté que l’Église perpétuait depuis des siècles. Mais notre Père, a créé une véritable école de sainteté dans laquelle il nous faut nous engager !

La cause de tous les échecs de la droite française ? C’est le secret de Maurras, découvert peu à peu par son disciple, l’abbé de Nantes.

Frère Bruno nous dévoile la source de la force surnaturelle du Père dans son combat pour Dieu et l’Église : sa vie mystique.

Frère Bruno se sert de la gnose du “ Christ oméga ” de Teilhard pour mettre en valeur la doctrine de notre Père, totale et vraie, expression plénière de la religion de Jésus-Christ, Fils de Marie.

Frère Bruno livre le secret intime du Cœur sacré de Jésus : un ardent désir de nous voir aimer avec Lui le Cœur Immaculé de Marie.

Le synode sur l’Amazonie ? Idolâtrie, théologie de la libération et écologie, le tout commandé par la gnose du pape François... Un seul recours, le Cœur Immaculé de Marie, en qui Dieu a résumé son écologie intégrale !

« Notre Père, qui êtes aux Cieux, je vous aime et je souffre. » Ce cri du cœur de Georges de Nantes ouvre un corpus unique dans l’histoire de l’Église, remède à son apostasie moderne.

La Foi, c’est vertigineux ! Georges de Nantes l’a reçue à son baptême et elle a jeté sur toute sa vie et son univers une lumière éblouissante de vérité, entretenue par un colloque intime avec Jésus et Marie.

La Foi est une lumière, mais tant d’ombres subsistent, insinuant le désespoir... Mais l’Espérance, nourrie par des actes répétés, triomphe de toutes les embûches de Satan pour nous mener au Ciel.

Notre Père nous fait ressentir le caractère vertigineux de notre destinée éternelle : suspendue entre le Ciel et l’enfer, enjeu d’un combat dramatique entre Jésus et Satan.

«Vous m’avez donné à mon baptême la plus charmante, la plus sublime, la plus douce et la plus lourde des tâches, pour le temps et pour l’éternité : aimer ! »

Au fil des Heures monastiques qui rythment le jour, notre Père nous révèle le secret de sa vocation de moine-missionnaire : la présence de Jésus, qui culmine à la messe et envahit tout son univers !

Le Sacré-Cœur de Jésus est le symbole de son amour impétueux, assoiffé d’être aimé en retour des pécheurs misérables que nous sommes.

« Si aujourd’hui je vis sans que cette vie me soit un désespoir et une mort, c’est que je vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et s’est livré pour moi. » (Gal 2, 20)

« Pas un seul jour je n’ai cessé de me réjouir d’être enfant de l’Église. » Comment lui rendre amour pour amour ? En lui donnant de nouveaux enfants, en lui restant fidèle dans ses épreuves.

L’Immaculée Corédemptrice, Médiatrice de toutes grâces, a été constituée par son Fils crucifié notre Mère, pour reconquérir les pécheurs ! Mystère savoureux, sel de la Sagesse divine à goûter ici-bas pour nous préparer au Ciel...