Georges de Nantes eut très tôt le pressentiment du fondement métaphysique de la Royauté universelle de Jésus-Christ : la personne humaine se définit, non par sa substance autonome selon la doctrine classique, mais par sa relation de création à Notre Père, ce qui conduit à une morale et une politique fondés sur les liens vitaux de paternité et de filiation ! Les études du jeune séminariste puis du jeune prêtre, son intelligence, en ont fait un des grands esprits de notre temps, qui a compris les enjeux formidables des débats en cours et y a apporté des lumières fulgurantes.
Charles de Foucauld (saint) - Nantes (abbé Georges de) - Retraite de communauté - Carmes (Maison des, Paris) - Collège Saint-Martin de Pontoise - Concile Vatican II - Duns Scot (Bienheureux Jean) - Existence - Guilbeau (Monsieur) - Incarnation - Intuition de l’être - Issy-les-Moulineaux - Laberthonnière (Père) - Lallement (chanoine) - Maritain (Jacques) - Personne - Philosophie-Métaphysique - Relation créatrice - Sainte Trinité - Substance
