Même s’il ne peut se résoudre à abandonner ses enfants au milieu des malheurs de la sainte Église, la vie de Georges de Nantes est toute tendue vers l’éternité. La dernière partie de ses pages mystiques, à partir de 1975, exprime sa riche méditation du Ciel où nous serons « comme des dieux à la table de Dieu ».

Notre Père anticipe les rencontres ineffables qui le conduiront jusqu’au sein du Père, comme une cascade de médiations jalonnant sa remontée vers sa Source : s’abîmer sur le Cœur de la divine Marie ! être métamorphosé par l’infusion du Saint-Esprit ! contempler enfin la Sainte Face de Jésus !