Les évêques du synode pour la « nouvelle évangélisation » ont trouvé de bons mots pour constater sans juger la réalité (tsunami au lieu d’apostasie ; modernité au lieu de modernisme, etc.) alors que frère Bruno montre, lumineuses citations à l’appui, que notre Père avait tout prévu des calamités qui allaient ruiner la Chrétienté (exemples de l’Afrique et de la Chine) en raison des principes faux du Concile.
L’Europe rechigne à collaborer économiquement avec la Russie, bien à tort comme le prouvera un témoignage de première main, mais elle se laisse envahir par la Chine !
Il faut revenir aux textes de Vatican II qui doit être plus que jamais une “ boussole ”, demande Benoît XVI. Mais pourquoi ni lui, ni le père Zanotti, ni les autres ne parlent-ils jamais des fins dernières et du salut des âmes ? C’est la faute à la “ boussole ” !