À partir de 1996, les attaques odieuses de Mgr Daucourt, puis les nouvelles forfaitures de Rome furent pour notre Père le prix à payer pour parachever son œuvre de Contre-Réforme.
Ayant rédigé son Autodafé, conclusion de sa dénonciation du Concile, il lui restait à souffrir le “ martyre ” d’une longue et pénible maladie, jusqu’à sa mort, le 15 février 2010, sous les effets d’aucune sanction canonique régulière. À sa suite, nous sommes fondés à nous maintenir en état de suspicion légitime et de soustraction d’obédience vis-à-vis des réformateurs, jusqu’au triomphe du Cœur Immaculé de Marie !