Pour dégager l’orthodromie d’un siècle si riche en talents exceptionnels, frère Bruno dresse le portrait de Louis Grignion, qui remplit la seconde moitié du Grand Siècle de ses singularités et pénitences extraordinaires, de ses miracles, et surtout de ses prophéties jugées extravagantes. Pourtant, même si nous sommes en Chrétienté, les dangers menacent quand meurt Louis XIV : les « têtes superbes » que le Sacré-Cœur promettait de vaincre sont là, tapies, par la faute du Roi, et le prophète décrié voit venir les derniers temps, tels que Fatima les décrit, et annonce le Salut, le même ! la dévotion au Cœur Immaculé de Marie qui doit passer première devant son Fils par volonté divine !