La troisième conférence, consacrée aux constitutions Lumen Gentium et Gaudium et spes, est présentée par le dominicain Benoît-Dominique de La Soujeole et par M. Michel Camdessus, ancien directeur du FMI. Le premier affuble l’Église de plusieurs erreurs protestantes, et le second, disciple de Marc Sangnier et de Teilhard de Chardin, fait preuve d’un messianisme criminel à la suite du Concile selon lequel l’Église parle du monde comme « de son cœur même, en solidarité de destin avec lui. »
Dans une quatrième conférence, le P. Matthieu Rougé s’interroge : Réformer la liturgie ? Selon lui, l’Église ne cesse de “ réformer ” la liturgie depuis deux mille ans, et Vatican II poursuit ce travail. Mais il demeure obstinément aveugle à la réalité : le désordre et la désaffection des fidèles. Il aborde la question de la messe mais passe à côté du mystère réel du Saint Sacrifice.
Concile Vatican II - Gaudium et Spes - Lumen Gentium - Camdessus (Michel) - La Soujeole (Père Benoît-Dominique, o.p.) - Liturgie - Messe - Rougé (Mgr Matthieu)