En ces années 1945-1946, le Bon Dieu donne à notre Père une humilité et une sagesse qui lui font d’instinct surnaturel aimer et défendre les trésors de la tradition de l’Église contre les désorientations d’un réformisme naissant, qu’elles soient d’ordre politique ou déjà religieuses. Il profite pleinement de l’enseignement ecclésiastique traditionnel de ses professeurs.

Il reçoit surtout la grâce de deux lumières de contemplation, l’une sur le mystère de la Sainte Trinité, principe d’une très féconde définition de la personne humaine qui révolutionnera la philosophie comme la théologie, et l’autre sur le mystère de la Sainte Eucharistie.