Toutes les désorientations qui mèneront un jour l’Église à la ruine, notre Père les a rencontrées dès son séminaire. Frère Bruno montre cette fois comment ce « fils de l’Église », assisté par le Saint-Esprit en son don de Conseil, a évité quatre pièges.
1. Celui de la Cité catholique voulant fonder son projet de restauration politique sur l’enseignement des Papes modernes et démocrates.
2. Celui de la Pensée catholique et de son intégrisme satisfait.
3. En s’opposant vigoureusement à l’hérésie baïaniste de Monsieur Callon, Georges de Nantes défendit victorieusement les prérogatives de la grâce divine contre cette première manifestation du culte de l’homme. C’est la « grande affaire de sa vie » qui commence, car ce culte de l’homme s’imposant au concile Vatican II, notre Père ne cessera de s’y opposer.
4. Dernier piège évité, odieux, celui de son confesseur...
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