À la Noël 1907, les carmélites de Montélimar, exilées par la République, chantèrent leur espérance de la conversion de la France dans une complainte qu’illustre notre crèche.

De l’enfer républicain jusqu’à Bethléem la route est longue, mais jalonnée par tant de saints qui nous rappellent les clauses de l’Alliance avec Jésus et Marie ! À l’école de notre Père, mis à l’honneur lui aussi pour son centenaire, ce commentaire avive notre espérance dans le prochain retour de la France à Jésus et de Jésus en France, par la gracieuse médiation de sa Mère : « Ô mon doux Fils, ne pleurez pas, je vous garde la France ! »