Hans Küng, après avoir réduit au maximum son programme, conclut par une critique de l’Église – un véritable abattage – au nom de l’Évangile ! ainsi que par un humanisme d’autonomie dans la théonomie (!), enfin par une définition du vrai christianisme – un humanisme intégral au service de la libération...
À ce théologien apostat, frère Bruno oppose un autre théologien – l’abbé de Nantes – qui répond à cette praxis indigente par son catholicisme absolu : l’Église est notre Mère ; par un royalisme qui découle de notre catholicisme. Et la soumission à notre Roi Jésus inspire à l’Église un ordre politique d’où découle un ordre social ! Avec en son centre la Croix du Christ, expression majeure de la sagesse divine. C’est notre CRC !
La conclusion nous transporte, à la suite de Soloviev, dans les hauteurs de l’esthétique mystique intégrant toutes les nations dans le grand dessein de Dieu dans notre histoire : enthousiasmant !
Être chrétien (Hans Küng) - Küng (Hans) - Modernisme - Lettre sur le sillon (Pie X) - CRC (Contre-Réforme catholique) - Dostoïevski - Esthétique mystique - Église - François d’Assise (saint) - Roi - Soloviev (Vladimir) - Urs von Balthasar (Hans)