« La République est bien malade, constatait Mgr Freppel le 26 juin 1882, et si, au lieu de se diviser, les légitimistes avaient agi de concert depuis quelques années, la partie serait belle pour nous. » Hélas ! Les orléanistes et autres libéraux-catholiques, rêvant d’une république conservatrice et bourgeoise, entretiennent cette division.
Pour y remédier, Mgr Freppel s’efforce d’imposer sa “ ligne de crête ” : sans transiger avec la Révolution, travailler au retour du Prince en lui constituant un soutien populaire massif. Comment cela ? En multipliant les conférences contradictoires publiques et en partant à la conquête de la classe ouvrière en développant de nombreuses œuvres de charité.
Titre du chapitre | Temps | |
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1. |
Un inextricable imbroglio politique. |
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2. |
La ligne de crête de Mgr Freppel. |
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Mgr Freppel, tome III, « Dieu ne nous demande pas de vaincre mais de combattre » (frère Pascal du Saint-Sacrement) - Angers - Assemblée nationale (Chambre des députés) - Dix-neuvième siècle - Freppel (Mgr Charles-Émile) - Histoire de France - Léon XIII (pape) - Libéralisme - Libéraux-catholiques - République (IIIe) - Royalisme - Temporalisme - Classe ouvrière - Question sociale