Adressée à soixante-dix correspondants qui formaient déjà une famille, presque une phalange, autour de leur père spirituel, la première Lettre à mes amis, datée d’octobre 1956, était tout un programme : « Au soir de la vie une seule chose demeure, l’amour. Il faut tout faire par amour. » Avec ce corollaire, le “ plan de carrière ” que lui-même et ses disciples suivront : « Dieu est bon quand il brise la carrière de quelqu’un... » Au fil des leçons de vie spirituelle données à ses disciples, l’abbé de Nantes en vint à prendre ouvertement la défense de l’Algérie française et à dénoncer le progressisme sournoisement à l’œuvre dans l’Église de France d’abord, puis dans l’Église universelle à la faveur du Concile Vatican II. Combat d’apocalypse, œuvre d’amour, dont les “ lettres ”, de mois en mois, développent la doctrine. Il n’en est pas une dont nous ayons à rougir. Pas une n’a vieilli. Elles semblent écrites pour aujourd’hui.
Lettres à mes amis - Concile Vatican II - Doctrine de Contre-Révolution et de Contre-Réforme - Nantes (abbé Georges de) - Suspens a divinis - Algérie française - Fatima - Le Couëdic (Mgr) - Liberté religieuse - MASDU - Supplique au cardinal Ottaviani (Lettre à mes amis no 231)