« Quelle signification dernière donner à l’activité humaine ? »

À cet homme sûr de sa puissance, enfiévré de progrès, l’Église conciliaire offre la lumière de la Révélation... assumant le lien entre progrès technique et œuvre du Créateur dans une vocation purement terrestre, naturelle, reconnaissant toute autonomie aux réalités terrestres, sciences et techniques avec allusion perfide à ceux qui prétendent soumettre la science à la foi !

Le rappel de la doctrine antéconciliaire sur le péché – pour calmer les intégristes – n’entache en rien l’humanisme optimiste qui pousse à la divinisation de la terre : la construction de la cité terrestre est identifiée à l’avènement du Royaume de Dieu. Monstrueuse impiété qu’une salutaire leçon de catéchisme de contre-réforme vient contrebalancer !