Dans les années 1960-1970, Satan se déchaine dans l’Église : au Concile, en France, partout. Et toujours, il s’en prend à la Sainte Vierge : entre Vatican II et Fatima, l’opposition est totale ! Défenseur de la foi, notre Père devient donc du même mouvement défenseur de la Vierge Marie. Il confond ses adversaires et met en lumière ses privilèges :
« En défendant votre honneur je le célèbre, en démasquant les mensonges qui atteignent votre pudeur, je la rends plus chère, plus précieuse à nos cœurs. C’est mon labeur de théologien, c’est ma joie de vous louer, ô Marie, ma Souveraine et ma Mère. »