Notre Père est de ceux que la révolution dans l’Église n’a pas trompés un seul instant et de ceux, plus rares encore, qui savent qu’on ne la trompe pas, il faut la combattre et l’abattre. Ce qu’il fit avec le secours de l’Immaculée, en décidant que la Ligue irait à Fatima pour le 13 octobre 1996.
Notre Père est alors au sommet de sa doctrine, prêchant le Cœur eucharistique de Jésus et Marie, communiquant l’attrait de la pureté positive, faisant “ aimer l’amour ”, à l’école des saints François de Sales et Jeanne de Chantal et du Père de Foucauld et tenant le fil d’or de son orthodromie divine : Fatima.
Une formidable offensive combinée de l’État et de l’Église conciliaire tentera d’abattre cette cathédrale de lumière. Pas à pas, frère Bruno nous entraîne dans la montée du Calvaire de notre Père marquée par son offrande en victime en juillet 1993 et le sommet de l’exil à Hauterive en 1996, dans le plus “ pur souci de l’Église ”.
Nantes (abbé Georges de) - Fatima - Hauterive