C’est comme un “ suppliant ” que notre Père s’est rendu à Rome le 13 mai 1993 accompagné de deux cent cinquante amis afin de déposer son livre d’accusation contre le prétendu catéchisme de l’Église catholique (C.E.C.). Un accueil “ soviétique ” fut réservé au suppliant catholique tandis qu’au même moment Jean-Paul II annonçait la « canonisation » (sic) de Paul VI, dialoguait avec un communiste russe sur l’union des religions, rendait aux catholiques italiens la pleine liberté de leurs choix politiques.
Le 21 mai suivant, l’entretien de frère Bruno avec Mgr Sandri fut très révélateur de la forfaiture romaine : « Si nous commencions à examiner (ouvrir le procès doctrinal), cela voudrait déjà dire que vous avez raison. Nous ne pouvons le faire… »