L’analyse du dernier livre de Benoît XVI, Lumière du monde, recueil d’entretiens accordés au journaliste Peter Seewald, nous démontre une fois de plus :
1. que la foi du Pape est plus moderniste et conciliaire que catholique ;
2. que le Pape méprise le grand signe des temps qu’est Fatima : il est si obscurément évoqué que personne ne saura pourquoi Notre-Dame est apparue ni ce qu’elle a demandé au Saint-Père, ni les bienfaits ou châtiments qui résulteront de son obéissance ou désobéissance ;
3. que le salaire d’une telle impiété est une immoralité diabolique, étrangement banalisée par le Pape.