En s’appuyant sur les pertinentes analyses de Jean-Marie Guénois, (cf. Le Figaro), frère Bruno nous montre que le pape François, ministre de la miséricorde de Jésus, est conduit par le Saint-Esprit, à contre-courant de Vatican II, d’une manière qui séduit le monde lui-même. C’est la Contre-Réforme dans l’Église tandis que dans le monde, la Contre-Révolution et la paix progressent grâce à la collaboration du Saint-Père et d’un Vladimir Poutine « disciple de François » (grâce accordée à Khodorkovski). La France est de retour en Afrique, par la force des choses, en première ligne d’une mission pacificatrice, au contact avec un islam persécuteur des chrétiens. Ce martyre des chrétiens révélé par la vision du troisième Secret, le pape François le dénomme : « l’œcuménisme du sang ».