Depuis le concile Vatican II, l’abbé de Nantes se fait un devoir de critiquer ses Constitutions, en particulier celle sur “ le droit social à la liberté religieuse ”. Ce texte est le point focal sur lequel porte son appel au magistère infaillible de l’Église. Notre Père a été marqué par la Providence pour mener ce combat de la foi, depuis son opposition au Père Callon, son professeur de théologie à Issy-lès-Moulineaux, jusqu’au Père Congar, docteur de la Réforme conciliaire. Heureusement, il y eut en 1978 l’intermède de la sainte foi catholique de Jean-Paul Ier, qui nous interdit encore aujourd’hui de désespérer de l’Église notre Mère, et qui donna à notre Père le courage de porter en 1983 une nouvelle remontrance à Rome, à l’encontre de l’humanisme gnostique de Karol Wojtyla devenu le pape Jean-Paul II.
CRC (Contre-Réforme catholique) - Nantes (abbé Georges de) - 13 mai 1983 - Liber accusationis II (livre d'accusation) - Callon (Père) - Congar (Père Yves) - Jean-Paul Ier (bienheureux Albino Luciani, pape) - Jean-Paul II (pape) - Liberté religieuse - Métaphysique relationnelle