L’état présent de la France est le salaire de son iniquité. Il y a soixante ans, elle crucifiait de nouveau son Sauveur en la personne du maréchal Pétain. Nous détourner des folles idées qui ont causé la mort et le déshonneur de ce héros et chef légitime et qui conduisent aujourd’hui la France au chaos, c’est revenir aux trois “ amours ” et services qu’il proposait aux Français en 1940, et que le pape Benoît XVI lui-même recommande au début de son encyclique Deus caritas est : l’amour du travail, de la famille, de la patrie.
Mais l’Église de France qui devrait y aider, est malade : ce n’est pas avec des “ bulles ” pour catéchèse, ou en invitant des agnostiques à prêcher dans la chaire de Notre-Dame, qu’on évangélisera les 25 % de Français qui se disent “ sans religion ”, qu’on affermira la foi des 64 % qui se disent encore catholiques, qu’on combattra les convulsions de Satan et qu’on démontera la fumisterie des savants d’Arte prétendant “ dévoiler ” la Bible. Tournons-nous vers Rome, où Benoît XVI poursuit, sous le signe de la Vierge Marie, « pur reflet de la lumière du Christ », son œuvre de restauration de la foi catholique intégrale.
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