« Persuadé qu’il y a un monde à mener et à construire à sa fin », le Concile, pour incarner ce rêve, aborde « les problèmes les plus urgents » de notre temps. Non pas en rappelant la loi morale pour la faire respecter, mais en donnant des idées pour que « les choses changent. » Ainsi du mariage, de la fécondité des familles et de la contraception. À chaque fois, fidèle à sa méthode naturaliste et démocratique, le Concile écoute l’opinion mondiale puis veut ériger le modèle sacré chrétien, mais en mettant en premier l’amour, l’engagement mutuel et l’individu, et seulement après ! le sacrement, quand il faudrait inverser l’ordre. Dans sa critique générale de ce chapitre, le Père stigmatise la funeste erreur, toujours la même : l’individu, centre et sommet de l’univers !
Autodafé (Georges de Nantes) - Concile Vatican II - Dignitatis Humanæ (Déclaration) - Gaudium et Spes - Anthropologie wojtylienne - Catéchisme anti-Freud - Engagement mutuel - Égalité Homme/femme - Épître aux Ephésiens - Famille - Mariage - Respect de la vie - Rousseau (Jean-Jacques) - Sacrements