Au XIIe siècle, le représentant le plus qualifié de l’Évangile est le croisé, succédant aux martyrs et moines pour défendre et étendre la Chrétienté.
Les croisades ne résultent pas d’une idée, mais d’un élan populaire suscité par les papes au cri de : « Dieu le veult ! »
Avec leurs figures de proue, elles conquirent le Royaume franc de Jérusalem pour deux cents ans, implantant l’Évangile et la douceur des mœurs chrétiennes parmi Turcs et Arabes.
Extraordinaire réussite, que des faiblesses – dont la trahison constante des Byzantins – compromirent, sans effacer notre influence durable !
Croisade - Inquisition - Peyrefitte (Alain) - Antioche - Bagdad - Baudoin Ier de Jérusalem (de Boulogne) - Bethléem - Bohémond Ier d’Antioche (Bohémond de Tarente, le Normand) - Bouillon (Godefroy de) - Byzantins - Chrétienté - Comnène (Alexis Ier) - Concile de Clermont - Croisade (deuxième) - Croisade (première) - Dorylée (bataille, 1098) - Égypte - Francs - Grousset (René) - Guillaume de Tyr - Jérusalem - Jérusalem (prise, 1099) - Musulmans - Pernoud (Régine) - Richard (Jean) - Royaume franc de Jérusalem - Saint-Gilles (Raymond de, comte de Toulouse) - Turcs - Urbain II (Pape bienheureux)