Voici le récit d’événements cruciaux dans l’histoire de l’Église : l’abbé de Nantes ayant obtenu de la Sacrée Congrégation pour la doctrine de la Foi l’examen doctrinal de ses écrits, ce tribunal suprême de la foi était acculé à se prononcer sur... la réforme conciliaire ! Face à un requérant sans peur et sans reproche, les juges romains ne purent que recourir au mensonge, à la diffamation, aux sanctions arbitraires : telle la fameuse disqualification (sic !) notifiée à la presse le 9 août 1969. Or cette impuissance à prendre en défaut l’abbé de Nantes constitue une éclatante disqualification… du concile Vatican II !
Le cas de l’abbé de Nantes. Une analyse de droit pénal canonique (abbé Jean-Eudes Coulomb) - Droit canonique - Nantes (abbé Georges de) - Notification du 9 août 1969 (Sacrée Congrégation pour la doctrine de la foi) - Congrégation pour la doctrine de la foi - Diffamation - Disqualification - Lefebvre (cardinal) - Lefebvre (Mgr Marcel) - Procès de l’abbé de Nantes (1968) - Profession de foi du 16 juillet 1969 - Rétractation - Seper (cardinal) - Soumission au Pape