Notre Père s’y préparait depuis longtemps, l’heure du sacrifice a sonné, authentifiant ainsi toute son œuvre de contre-réforme. Frère Bruno nous montre la descente de notre Père dans l’abjection en ces années 1999-2000 : une déréliction physique et intellectuelle grandissante qu’il accepte, mimant ainsi l’agonie de l’Église, tout en conservant pour lui et ceux qui le suivent, le fil orthodromique de la volonté divine.
En butte à la maladie et aux persécutions, notre Père, accablé mais non vaincu, met ses pas dans ceux de Mère Marie du Divin Cœur, attentif aux volontés et au dessein de notre très chéri Père Céleste manifestés pour notre XXe siècle. Fatima est l’aboutissement de cette orthodromie : ayant passé la main à l’Immaculée, notre Père s’efface devant son élu pour la résurrection de l’Église, Jean-Paul Ier, entrevu dans la lumière du troisième Secret, lumière qui ne le quittera plus.
Nantes (abbé Georges de) - Abjection - Jean-Paul Ier (bienheureux Albino Luciani, pape) - Secret de Fatima