Frère Bruno reprend la série des Lettres sur “ Le mystère de l’Église et l’Antichrist ”, dans lesquelles notre Père, curé de Villemaur, voyait dès avant le Concile « le mal dans sa profondeur » : il s’agit « d’une doctrine apparemment inspirée par la foi mais qui en est la corruption, le PROGRESSISME, hérésie nouvelle plus grave que les pires du passé ». L’abandon du latin, de la soutane et des images saintes, une transposition de la foi en messianisme charnel, à l’instar du judaïsme, de l’islam et du marxisme, ont habitué les catholiques « à une religion qui n’est plus celle de Jésus-Christ ».
« Qui pourra résister sinon les amants de Jésus et de sa Croix ? » Ces pages ruissellent d’amour de l’Église : « La seule pensée d’appartenir à l’Église suffit à renouveler la jubilation de notre âme... » Notre Père dit son désir ardent de mourir d’amour pour cette Mère admirable. Que tout cela est actuel !
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