Dans ce bilan du Concile, frère Bruno s’est attaché à réfuter les mensonges des promoteurs de Vatican II, et surtout du pire, du plus subtil d’entre eux, l’abbé Ratzinger qui, devenu Benoît XVI, est toujours animé de la même animosité contre le catholicisme romain. En conclusion de son analyse, il montre bien, ce qu’on ne dit plus jamais, le lien qui existe entre les problèmes de politique et l’état de l’Église. Toutes ces erreurs théologiques conduisent les âmes en enfer et, en attendant, produisent bien des catastrophes. C’est, dans l’actualité, la réalisation du troisième Secret de Fatima.
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