Le Saint Suaire est un cinquième Évangile. Et comme les quatre autres, il demande à être sans cesse expliqué. Frère Bruno est intarissable sur ce sujet, parce qu’il n’a d’autre ambition, à l’école de notre Père, que de se faire l’écho de la tradition de l’Église, qui conserve et vénère depuis deux mille ans ce Linge sacré où apparaissent les authentiques vestiges des souffrances de son Époux divin en sa douloureuse Passion.
Non seulement les fidèles, mais aussi les artistes savent depuis des temps immémoriaux que l’image “ non faite de main d’homme ”, visible sur le Saint Suaire, est l’authentique portrait du Christ. C’est pourquoi ils en multiplièrent les copies qui, chose remarquable, firent à leur tour des miracles : le Mandylion d’Édesse, le voile de Véronique, la “ gardienne du Linceul du Seigneur ”, l’umbella de Jean VII...
Histoire de l’Église - Saint Suaire - Sindonologie - Acheiropoiétique (“ non fait de main d’homme ”) - Mandylion (Image d’Édesse) - Umbella de Jean VII - Véronique (sainte) - Véronique (voile)