Notre Père écrivit à Hauterive la plus salubre des œuvres théologiques du XXe siècle : l’Autodafé, pour éradiquer “ la cause de la ruine de l’Église ”, en vrai mystique qui unit à la douceur de l’oraison la vigueur de l’action. Notre Père en revint pour la défense de l’Église, avec la perspective d’un dur chemin de croix.
Telles furent en effet les années 1997 et 1998, marquées par une aggravation de l’état de l’Église et du monde. Accablé de soucis, en butte aux attaques et malgré la maladie qui le gagne, notre Père fait face à la tête de nos communautés et de la Phalange. Il “ déménage ” alors chez la Sainte Vierge, s’en remettant en tout et pour tout à son Cœur Immaculé, dans l’espérance surnaturelle et la certitude de son triomphe.
Nantes (abbé Georges de) - Autodafé (Georges de Nantes) - Hauterive