Le Saint-Sacrifice de la messe : force agissante dans l’Église attaquée par la réforme de Paul VI. Le Père nous guide en bon théologien dans cette lutte apocalyptique.

Étude sur la doctrine catholique du Saint Sacrifice de la Messe.

Les modernistes du concile Vatican II ont corrompu le mouvement liturgique. Faut-il pour autant condamner le principe même d’une réforme de la Messe ?

Le Concile a brisé l’unité de l’Église sur la foi en l’Eucharistie. Le Père prépare l’avenir en dégageant la richesse la plus profonde du dogme et de la liturgie !

Restituons à la Messe son vrai, son plus beau nom et son mystère essentiel : la Messe est le sacrifice du Christ perpétué, le Saint-Sacrifice.

Chapitre 33 : Le Saint-Sacrifice de la Messe – Chapitre 34 : La Sainte Communion – Chapitre 35 : Manière de bien communier.

C’est la grâce d’une savoureuse explication de la sainte Messe à la lumière de l’Évangile que l’abbé de Nantes offre aux enfants. C’est tout son cœur de prêtre de la Sainte Église, son âme d’épouse du Christ, qui nous dévoile et fait aimer le plus beau mystère de notre sainte religion.

Le pape François explique la Messe en omettant son mystère central : le Saint-Sacrifice !
50 ans après l’imposition de la messe de Paul VI, le complément de la théologie de notre Père est indispensable.

À la messe, la Vierge Marie est auprès de son Fils : elle est l’Église, la première des fidèles pour les aider à participer à l’Action !

Après la Révolution et l’Empire, l’Église s’est relevée par la messe, la confession et la communion !

La force qui agit dans l’Église, c’est la Messe dont le cœur est le Sacrifice du Christ. Transformés par Lui en victimes, les chrétiens sont facteurs de progrès !

Pour ce sujet délicat, le Père étudie le mouvement liturgique avant Vatican II, puis analyse les propositions de réforme de la messe par des liturgistes d'une foi catholique exacte. Quelque peu déroutant, mais très éclairant !

Au concile Vatican II, le schéma traitant de la liturgie fut le premier présenté et discuté. Truffé d’erreurs théologiques, ce texte ne serait pas passé sans la complicité du Pape avec les réformateurs.

Au fil des Heures monastiques qui rythment le jour, notre Père nous révèle le secret de sa vocation de moine-missionnaire : la présence de Jésus, qui culmine à la messe et envahit tout son univers !

Notre Père a toujours gardé une profonde foi en l’Église, lui permettant de comprendre le mal du schisme intégriste et d’aider à la restauration de l’Église par la fondation de la CRC.

Dans un débat agité, l’abbé Georges de Nantes répond magistralement aux questions sur la politique, le Pape, Fatima, la CRC et principalement sur la nouvelle messe... En tout domaine, il propose une solution équilibrée et constructive.

Il faut être un bon théologien pour discerner dans la nouvelle messe les éléments qui permettent de la dire valide et licite, quoique dangereuse, et guider les fidèles dans cette bataille formidable !

Sur la Croix, Jésus fonde une nouvelle et éternelle Alliance. À chaque messe, il la renouvelle, répandant ses grâces dans l’Église, son Épouse. Voilà quel est le moteur de l’histoire !

Chaque célébration du Saint-Sacrifice de Jésus-Christ augmente la gloire de son Épouse !

L’important dans l’Église, c’est la Messe et, dans la Messe, le Saint-Sacrifice de Jésus auquel nous nous unissons par la Communion !

Dans cette conférence consacrée aux années 1974 à 1978, frère Bruno nous montre comment notre Père, dans son “ traditionalisme intelligent ” et mystique, tout en s’opposant au schisme commençant de Mgr Lefebvre, ne cessa d’œuvrer pour la réconciliation.

En ignorant Notre-Dame de Fatima, François rend vain son zèle pastoral ; il tombe dans des hérésies dénoncées naguère par notre Père ; il est le premier responsable de la guerre qui menace. Prions beaucoup pour le Saint-Père !

En ouverture de camp, frère Bruno nous présente les Mémoires et Récits de notre Père, pour nous faire comprendre la naissance d’une vocation au sein d’une Église et d’une France naguère si belles !

Le culte eucharistique nous ramène infailliblement à la contemplation du Crucifix. Comprenons mieux l’angoisse de la créature dont le salut éternel est incertain et confions-nous en notre Sauveur.

« Le prêtre est un homme dépouillé, crucifié, mangé. » Telle fut la vie de notre Père, à l’imitation de son Maître, dans la crèche, sur la croix et au tabernacle, pour ne plus faire avec lui qu’une victime, un seul Cœur.

Témoin de l’effervescence de l’Église de France de l’entre-deux-guerres à la veille du Concile, notre Père a dénoncé une hérésie nouvelle et plus grave que les pires du temps passé : le progressisme.

Pas d’union au Cœur de Jésus sans rappeler qu’elle a été payée de son Sang sur la Croix !

N’avez-vous jamais été séduit par le Renouveau charismatique, ce mouvement jeune, dynamique, créatif, spontané ? La religion de nos pères ne serait-elle pas dépassée, exténuée ? Entre les deux, faisons le bon choix.

Le synode sur l’Amazonie ? Idolâtrie, théologie de la libération et écologie, le tout commandé par la gnose du pape François... Un seul recours, le Cœur Immaculé de Marie, en qui Dieu a résumé son écologie intégrale !

Le motu proprio Traditionis Custodes de François, qui prétend abolir l’antique messe romaine, impose irrésistiblement la Réforme conciliaire. À moins de suivre l’abbé de Nantes sur sa ligne de crête.

Mgr Joly, membre de la commission doctrinale de la CEF, est nommé évêque de Troyes. Il importe de lui faire connaître en toute vérité “ l’affaire de Nantes ” que nos évêques s’ingénient à éluder.

Deux conférences de Carême à Notre-Dame consacrées, la première aux constitutions conciliaires : Lumen Gentium et Gaudium et Spes, la seconde à la réforme liturgique de Vatican II.

Pendant l’été, en plus de la messe dominicale, aimons les touchantes dévotions associant Jésus et Marie proposées par l’Église pour être fervents !

Après la victoire de Jésus par ses controverses contre les pharisiens, vient le temps du Sacrifice librement consenti où il est Prêtre et Victime. Pour la rémission de nos péchés.

Après le défilé en hommage à sainte Jeanne d’Arc, frère Bruno expose les conditions de la renaissance de l’Église et de la France. C’est urgent, car « lorsque l’Église renaîtra, la paix reviendra » !

Si vous voulez savoir comment les hommes ont mythifié la mort et la naissance de Jésus, la Vierge Marie et l’Église, vous écouterez l’exposé d’un serpent et d’un apostat...

Notre conviction intime de la vérité de la Croix plonge ses racines dans l’histoire de l’humanité par de nombreuses preuves !

Le prêtre du XIX^e siècle, par sa dignité et son dévouement à ses ouailles, a fait la grandeur de l’Église : un autre Christ dans sa paroisse !

La théologie de l’abbé de Nantes est existentielle : enrichie de toutes nos expériences humaines, relationnelles, voulues par Dieu afin que nous Le connaissions et L’aimions.

Une très belle leçon d’exégèse selon l’école française, qui démonte les préjugés d’Hans Küng et nous restitue dans toute leur vérité les récits évangéliques fondant notre Credo !

C’est le trésor de la vie sacerdotale du Père ! Cette dévotion enflamme notre Croisade eucharistique et mariale, qui nous conduira jusqu’à Fatima en 1996.

L’amour de Marie-Madeleine se résume en trois mots : Amour, Sacrifice et Maternité spirituelle !

Les rites de l’Église nous font entrer dans le grand Mystère de la chute et du relèvement du pécheur.