Malgré le triomphe du progressisme, notre Père gardait la foi en l’Église et assurait qu’elle se sauverait elle-même et nous avec. Il refusa donc les propositions de prêtres qui, en 1969, voulurent l’entraîner dans le schisme. Une seule chose était nécessaire : en appeler au Pape. La Tête de l’Église était malade, il fallait d’abord la guérir. Quand elle irait mieux, son œil qu’est la liturgie redeviendrait saint. Et pour détourner les traditionalistes du schisme, il fonda la Ligue de Contre-Réforme catholique en 1970. « La CRC, c’est espérer dans l’Église et avoir un projet global, doctrinal en tous domaines. »

Cette année-là, l’abbé de Nantes sauva l’unité de l’Église catholique romaine.