Dès sa jeunesse et jusqu’à la veille du Concile, l’abbé de Nantes s’est trouvé mêlé de près au renouveau de l’apostolat catholique, à tous les mouvements de masse qui prétendaient partir à l’assaut du monde moderne pour le ramener au Christ. C’est en témoin véridique et fidèle de cette effervescence de l’Église de France que notre Père a parlé et écrit, y discernant une hérésie nouvelle plus grave que les pires du temps passé : le progressisme. Entre 1959 et 1963, il va le caractériser et le dénoncer dans une série de “ Lettres à mes amis ” intitulée Le Mystère de l’Église et l’Antichrist. Ce progressisme, notre Père l’a vu naître et grandir jusqu’à tout emporter...
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