Au lendemain de la Révolution, c’est le clergé – admirable – qui a sauvé l’Église. Le portrait qu’en trace le Père – avec sa soutane, son bréviaire et son chapelet dans son église et au confessionnal – en fait un autre Christ au milieu de ses ouailles. Au prix d’un règlement de vie qui forge sa vie surnaturelle en vue de l’apostolat. D’où la vénération qui l’entoure ! Que d’exemples, du curé d’Ars au Père Chevrier ! À se moquer de tels modèles et des conditions qui les ont permis, on a détruit l’Église.
Dix-neuvième siècle - Piété populaire - Religion de nos pères - Religion du dix-neuvième siècle - Retraite de communauté - Chevrier (bienheureux Père) - Curé - Messe - Moreau (bienheureux Mgr) - Prêtre - Règlement de vie - Sacrements