Dans cette série de conférences au camp d’été CRC, frère Bruno initie nos jeunes phalangistes à l’Évangile, et leur apprend à lire la vie de Jésus avec la synopse du Père Lavergne, petit livre qui permet d’embrasser d’un seul regard les quatre Évangélistes.

À l’école de notre Père et fort de l’exégèse la plus rigoureuse, frère Bruno nous fait lire l’Évangile : lecture vivante et religieuse, qui fixe nos regards sur Jésus afin d’en goûter la divine révélation.

L’encyclopédie “ Jésus ” publiée sous la direction de Joseph Doré ouvre une tribune libre à tous les ennemis de Jésus-Christ. Contre tout modernisme, frère Bruno, à l’école de notre Père, nous met en présence de son mystère.

Voici l’authentique théologie catholique sur la Royauté du Christ, son institution de l’Ordre et de l’Eucharistie, son œuvre de Rédemption, la poignante description de son procès et de sa mort, voulus, décidés et obtenus par les Juifs.

Notre Père prête sa voix, mais s’efface pour laisser parler Notre-Seigneur. Quel merveilleux conteur ! d’une simplicité confondante, pour révéler aux petits les mystères du Royaume de Dieu.

Un vaste commentaire du Notre Père, pour pénétrer plus profondément l’Évangile et l’âme de Jésus, à la lumière les psaumes qui constituaient le fond de sa prière.

Frère Bruno analyse le livre de Benoît XVI. puis expose la chronologie “ longue ” de la Passion du Christ, découverte par Annie Jaubert et livre toute la méditation de notre Père sur l’Évangile de saint Marc.

Retraite de Semaine sainte sur les mystères joyeux, douloureux et glorieux du saint roi David, figurant admirablement ceux de Jésus et de Marie, au Cœur doux et humble comme le sien.

Chapitre 11 et 12 : L’Évangile de Jésus-Christ – Chapitre 13 : Jésus-Christ est le Fils de Dieu fait homme.

Contre l’arianisme, la foi catholique établit qu’un Dieu unique, bien vivant, bien concret, est aussi Trinité vraie, bien vivante, bien concrète, sans contradiction. Là est le Mystère...
Nous avons d’étonnantes leçons à recevoir des rares confesseurs de la foi de Nicée, dans le revirement de l’épiscopat universel et la chute du Pape au IV^e siècle !

Que l’Église des siècles à venir restaure la vision cyrillienne et l’accorde enfin au dogme romain ! Qu’ainsi soient rétablies la symphonie et la paix entre les deux moitiés de la Chrétienté désunie !

Jésus annonce et réalise son Royaume – l’utopie messianique des prophètes –, contesté et refusé par les autorités, mais définitivement installé dans sa forme parfaite par sa mort et sa résurrection !

Nous aimons Jésus pour ses perfections de Force, de Sagesse et de Supplication !

Le Nom de Jésus est porteur de son mystère : Dieu est notre Sauveur. Aimons à l’invoquer avec tendresse.

Le film “ La Passion ” de Mel Gibson met en scène, avec une rare intensité, le mystère du Messie crucifié par son peuple, mais offrant sa vie en expiation dans un sacrifice rédempteur.

Pour que nous soyons saisis par le mystère du Fils de Dieu fait homme, saint Jean nous transmet le témoignage sublime de la Vierge Marie sur la double génération de son Enfant !

Dans les Psaumes, le Royaume, c’est Israël ; avec Jésus, c’est son Corps, et avec Paul ce sont les Églises qui forment le Corps du Christ : Jésus, dans la vision de Damas, s’est identifié aux chrétiens persécutés.

Oui, les infidèles peuvent être sanctifiés et sauvés, parce que Jésus est le Verbe de Dieu répandu sur toute la terre, loin de tout œcuménisme, et dans l’Église !

Dieu le Père veut donner une Épouse à son Fils : c’est le fil directeur de toute l’Histoire sainte, tendue vers la fondation de l’Église.

L’objet de la kérygmatique est l’étude des vérités de la Révélation telles que les ont prêchées les Apôtres, et telles que la Tradition nous les a rapportées. Bref, c’est l’annonce franche, brutale du Salut évangélique.

Pour Hans Küng, Jésus est unique ; il est venu sur terre pour l’annonce d’un Royaume qui n’est pas du tout ce que vous croyiez jusque là ! …

« Si aujourd’hui je vis sans que cette vie me soit un désespoir et une mort, c’est que je vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et s’est livré pour moi. » (Gal 2, 20)

Les maximes de Paul ? « Je meurs chaque jour », pour être capable de dire au dernier jour : je meurs avec le Christ dans l’espérance de ressusciter avec Lui !

Dans cette présentation des premiers versets de l’Apocalypse, se dégage déjà toute la matière de cette révélation ultime : « une vision chrétienne de l’histoire, passée, présente et à venir, objet de notre espérance et de notre amour ».

Le christianisme, en accomplissant les Promesses du judaïsme biblique en une forme spirituelle et non plus charnelle, continue la poussée axiale initiale, alors que le judaïsme talmudique s’est sclérosé.

Après l’Évangile de David et celui de Jésus, voici l’Évangile, non pas selon Paul mais de Paul ! Titre audacieux que le prédicateur justifiera amplement par l’étude comparative de ces trois Évangiles.

Sur la Croix, Jésus fonde une nouvelle et éternelle Alliance. À chaque messe, il la renouvelle, répandant ses grâces dans l’Église, son Épouse. Voilà quel est le moteur de l’histoire !

Oui, nous ressusciterons puisque le Christ est ressuscité. Mais pour Paul, le chrétien ressuscite déjà quand il rompt avec le péché par le baptême ! Il vit déjà cette vie immortelle dans le Christ !

Laissons-nous guider et enseigner par cette vaste rétrospective de la vie de David, qui nous saisit dans tous les aspects de notre propre vie et s'achève en beauté dans le cœur de l’Immaculée !

Frère Bruno se sert de la gnose du “ Christ oméga ” de Teilhard pour mettre en valeur la doctrine de notre Père, totale et vraie, expression plénière de la religion de Jésus-Christ, Fils de Marie.

La guerre en Palestine est le salaire de la révolte du peuple juif, renouvelée par l’apostasie de l’Église. La Bible et Fatima éclairent l’actualité : notre péché, notre châtiment, et le salut que nous espérons !

Nouveau chapitre : la justification par la Foi au Christ et la grâce, et non par les œuvres de la Loi. Saint Paul tranche le problème formidable du passage de l’Ancien au Nouveau Testament.

Entrons dans les sentiments de Marie-Madeleine, la pécheresse convertie, auprès de Jésus en sa Passion, se rappelant toute sa vie, pour regretter, aimer, adorer et suivre jusqu’à la mort dans une totale compassion !

Comprenons, par la Révélation, que Dieu est suprêmement Père, avec une âme de Père, engendrant de toute éternité un Fils. Nos existences ne s’expliquent que par cette vie intime !

Oratorio de frère Henry de la Croix.

Frère Bruno a décidé que la Permanence étudierait cette année les vérités de notre Credo. Et pourquoi pas vous-mêmes dans vos cercles, dans vos familles, dans votre solitude ?

Le fruit du sacrifice du roi martyr, mort au Temple, aurait dû advenir dès sa mort... si les Français étaient revenus de leur culte de la liberté... Vénérons notre petit Roi !

En cherchant la poussée axiale qui donne le sens de la création de l’homme, l’apologète trouve le judaïsme, seule religion subsistante jusqu’à Jésus-Christ où intervient la cassure.

Le peuple juif, peuple ordinaire, n’est fort que par son élection divine, conditionnelle : c’est le secret de ses succès et de ses échecs ! En attente des temps messianiques !

Quelle merveilleuse doctrine de confiance en Dieu dans l’épreuve que de méditer les psaumes en les appliquant à la vie de Jésus, Marie, et à l’Église !

Frère Bruno partage les fruits savoureux de son travail d’exégète sur le Coran, mené selon les règles scientifiques critiques : le résultat en est passionnant, totalement nouveau et constructif !

La puissance de figuration de la Bible est immense ! Suivons Jésus lisant la Bible et méditant sur la figure de David, le roi oint par Samuel !

Une bonne méthode pour aimer Jésus : en aimant David, son ancêtre et sa figure, dont la Bible nous détaille les sentiments, les vertus dans les âges de sa vie ! D’abord, dans l’âge heureux.

Qu’est-ce que la Révolution ? C’est l’idée d’un renversement violent du pouvoir entraînant un changement total de vie, une accession à une forme de société supposée supérieure. Alors, sommes-nous pour ou contre la Révolution ?

Le Ciel de sainte Thérèse : « Aimer, être aimée et revenir sur terre pour faire aimer l’Amour ! »
Quel génie métaphysique et mystique !

Deux amours nourrissent la vocation du jeune Georges de Nantes : l’Église de ses maîtres et du bon curé de Chônas, et la France du Maréchal Pétain. Ils se rejoignent dans celui de Jésus-Christ.

L’Église est le tout de notre vie parce qu’elle est la suite corporelle de Jésus !

Jésus lit le livre de Samuel : le peuple demande un roi. Et il médite : voilà l’affrontement des pouvoirs temporel et spirituel, pages capitales pour toute l’histoire de l’Église.

Quelle connaissance approfondie du Cœur de Jésus par celle du cœur de David, révélée dans une vie si parallèle d’épreuves, d’humiliations et d’abandon à Dieu, préfigurant notre rédemption !

La première conférence commentée par frère Bruno est un retour au judaïsme au prix du reniement de Notre-Seigneur, la seconde conclut sur les acquis du Concile... acquis hérétiques !

La vierge consacrée – nouveauté du christianisme – s’explique parce que Jésus est son Époux, comblant sa nature féminine !

Admirons et méditons le récit incomparable de Jésus apparaissant à Marie-Madeleine !

Dans sa lecture commentée de l’histoire de David, de son élection jusqu’au début de sa vie errante, le Père nous fait goûter les parallèles avec celle de Jésus : savoureux !

Ô Marie, puisque Dieu vous aime tant, aimez-nous de la même manière ! Faites-nous participer à quelques-unes de vos richesses !

La Crèche illustre tout le Magnificat, secret de Dieu qui n’aime que la petitesse !

Le parallélisme entre la vie errante de David et celle de Jésus se poursuit : avec de tels modèles, ne nous attendons pas à mener une vie sans épreuves...

Entre Dieu le Père, souverainement libre, et nous, pécheurs, la douceur de Jésus, image de celle de son Père !

Le Royaume de Dieu est là, Parole de Dieu dans le corps de Jésus ! s’instaurant lentement sous les yeux de ses adversaires !

En servante docile du Seigneur, la Vierge Marie suit Jésus dans le drame et, au pied de la Croix, sa volonté de pâtir avec Lui pour nous est son sentiment le plus profond !

La lecture commentée de la Pentecôte et de ses suites, conversions et persécutions, prouve à l’envi l’absolue continuité de l’Église avec Jésus !

La Parousie suppose un combat dramatique dont elle est le terme, d’où le sérieux extraordinaire de l’existence chrétienne.

Pas de tristesse pour fêter Étienne martyr, le premier à bénéficier des richesses de notre Sauveur qui s’est fait pauvre à la Crèche !

En paroles immortelles, Paul décrit la réalité de la nature humaine, écartelée entre le bien et le mal... « Qui me délivrera de ce corps de mort ? »

Saint Matthieu, en calquant le plan de son Évangile sur celui du Deutéronome, démontre que Jésus est plus grand que Moïse. Il est le Messie qui conduit son peuple vers la véritable Terre promise qui est le Royaume des Cieux.

« Le prêtre est un homme dépouillé, crucifié, mangé. » Telle fut la vie de notre Père, à l’imitation de son Maître, dans la crèche, sur la croix et au tabernacle, pour ne plus faire avec lui qu’une victime, un seul Cœur.

La confiance absolue de Jésus dans sa résurrection par son Père fonde la même confiance de notre Père dans son appel au jugement de Dieu !

Sait Paul explique aux Corinthiens la base de sa foi : les faits historiques de la Résurrection, fondés sur des preuves qui autorisent la croyance en un dogme.

Assurément, les règnes de David et de Salomon diffèrent beaucoup, comme l’Église après Jésus. Reste à expliquer un épisode obscur de la vie de David, qui nous introduit dans le cœur de Dieu !

Attention ! Quand nous méprisons la vie pauvre de notre entourage, c’est celle de Jésus, Marie et Joseph que nous dédaignons...

La grandeur de l’homme chrétien est d’être disciple de son Maître dans la Vérité et l’Amour !

Mystère joyeux, mais tragique : c’est déjà l’Église qui, en Marie, pose sur l’autel l’Agneau sans tache.

Le Mystère, c’est de comprendre comment nous pouvons, tout en restant nous-mêmes distincts de Lui, n’être qu’un corps avec le Christ. Mais c’est cela la vraie divinisation.

Le fruit du sacrifice du roi martyr, mort au Temple, aurait dû advenir dès sa mort... si les Français étaient revenus de leur culte de la liberté... Vénérons notre petit Roi !

L’admirable antienne de procession chante la Vierge portant la Lumière qui, seule, peut nous sauver ! Mais ce sera par la Croix...

« Saint » signifie « séparé ». Pendant le carême, les chrétiens sont appelés à se séparer du monde et lutter contre Satan avec l’aide de Jésus, notre modèle.

Voyons comment nous identifier aux personnages de cette scène et imiter leurs vertus !

Être fidèle à la Vérité, au Bien et à la Justice dans un monde qui méprise la Vérité, déteste le Bien et fuit toute Justice, jusqu’au martyre.

La fête de Pâques représente le type de toutes nos épreuves : passer par la mort pour ressusciter avec le Christ !

Au cours de l’échange plein de noblesse et de courtoisie et même d’humour, Notre-Seigneur se montre un admirable Maître !

L’Église est le tout de notre vie parce qu’elle est la suite corporelle de Jésus !

Devenons l’intime de Marie-Madeleine pour l’admirer, l’aimer et comprendre son amour de compassion pour Jésus.

Méditons le récit ancien de cet Amphion, disciple fictif, témoin de la vie et de la mort de Jésus !

L’homme n’est grand que par le cœur qu’il montre dans ses luttes, comme Jésus sur le Chemin de la Croix : soyons ses disciples !

L’enseignement du CEC sur le Ciel, à côté de très beaux textes, contredit la vérité de la foi et supprime tout désir de ce Ciel que Jésus a évoqué en de si belles images !

Jean-Baptiste : figure fascinante, garant de l’authenticité de Jésus par ses vertus et qui doit nous faire réviser notre vie pour la purifier !

Dans la Visitation, Marie agit en union intime avec son divin Fils !

Il faut aller à Rome dénoncer un catéchisme qui exalte le culte de l'Homme quand Jésus – Homme parfait – est venu pour servir !

Avec sainte Thérèse, écoutons les Voix de Jeanne au Ciel qui l’appellent à revenir sur terre pour sauver la France pénitente !