Voici l’authentique théologie catholique sur la Royauté du Christ, son institution de l’Ordre et de l’Eucharistie, son œuvre de Rédemption, la poignante description de son procès et de sa mort, voulus, décidés et obtenus par les Juifs.
« Si quelqu’un veut marcher derrière moi, qu’il se renonce, qu’il se charge de sa croix chaque jour et qu’il me suive ! »
Jésus est venu sur terre pour convaincre les Juifs qu’ils ont trahi l’Alliance – la dernière semaine en est l’ultime preuve – et pour sauver ceux qui Le reconnaissent.
Le moderne a perdu le sens du prêtre : personne sacrée au langage et aux gestes mystérieux. Pourtant Jésus, ce soir, agit en Grand-Prêtre, pour les siècles, pour notre Rédemption !
Quel prix infini de la Messe : Jésus revient à chaque messe nous laver les pieds...
Cette conversation de Notre-Seigneur est à la fois très haute et spéculative, tout en restant pratique, nous plongeant tour à tour dans l’angoisse et la confiance.
Au moment même où Juifs et Romains jugent Jésus, c’est Lui qui les juge, pour l’éternité...
Le récit si précis et si sobre de la Passion par les Évangélistes nous conduit à méditer sur l’océan de souffrances physiques, morales, mystiques subies par Jésus et sa Mère...
Il faut aller au fond du Cœur de Jésus, là où est l’offrande de sa vie très consciente dans cette intention très précise partagée avec son Père : notre rédemption.
Avec les deux larrons, c’est l’opposition immortelle de l’Esprit des Ténèbres et de la Lumière, au Calvaire comme aujourd’hui.
C’est un honneur, en ces temps si troubles, de renouveler nos engagements d’attachement au Christ et de renoncement à Satan.
Jésus ressuscité reste parmi nous jusqu’à la fin des temps, « d’une présence sous mode d’absence ».
« Mon Seigneur et mon Dieu ! » Voilà l’affirmation de la Foi que Jésus voulait obtenir de Thomas incrédule pour les siècles à venir !
Jésus est plein d’affection pour chacun de nous et nous donne la grâce nécessaire à notre rôle.
