Devant le malheur et le mal – qui arrivent par la malice humaine, mais pas toujours –, l’homme se fait juge de Dieu. La Vierge Marie, jamais ! : « Je suis la servante du Seigneur. » Donc en tout elle voit et accepte la volonté de Dieu : elle adore et aime Jésus dans les humiliations de toute sa vie ; elle suit Jésus dans le drame, prête à assumer peines et tourments pour le salut des pécheurs, car ni Jésus ni elle ne se résolvent à l’enfer pour les autres. La volonté de pâtir avec Lui est son sentiment le plus profond au pied de la Croix !
Titre du chapitre | Temps | |
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1. |
Introduction : L’homme face au mal. |
0:00:00 |
2. |
L’humilité de la Vierge Marie. |
0:07:16 |
3. |
Esthétique tragique : La Vierge Marie Corédemptrice. |
0:33:51 |
Josselin - Mystique - Sainte Vierge (Vierge Marie) - Croix (du Christ) - Dante - Enfer - Isaïe 52-53 (4e Poème du Serviteur) - Jésus-Christ - Marie Corédemptrice - Péguy (Charles) - Problème du Mal