Par l’étude de l’Écriture Sainte, le drame de l’union des sexes est transfiguré : l’union conjugale devient le mime de l’union avec Dieu, sur le modèle de l’union de Jésus et Marie.
En attente du face à face céleste : conjugal !

Pour comprendre l’abbé de Nantes, c’est par Elle qu’il faut commencer ! Guidé par les ardeurs toujours plus vives de son amour, il ne cessa de progresser dans la compréhension du mystère de l’Immaculée qui devint le tout de sa vie.

Saviez-vous que la vénération des fidèles chrétiens pour la Très Sainte Vierge remonte aux temps apostoliques ? Dans cette nouvelle émission, frère Bruno de Jésus-Marie montre combien les découvertes archéologiques les plus récentes viennent confirmer les manifestations de la plus antique dévotion à la Reine des Apôtres.

Aller à Jésus par Marie, telle est la leçon du XIX^e siècle dont témoignent à l’envie tant de saints et tant d’apparitions aux répercussions mondiales !

De notre vie précaire sur terre dépend notre vie éternelle : sentons-nous enfants de Marie qui, elle aussi, vécut cette vie passagère !

Frère Bruno livre le secret intime du Cœur sacré de Jésus : un ardent désir de nous voir aimer avec Lui le Cœur Immaculé de Marie.

Et si aucun remède n’est efficace, reste toujours le chapelet aux « pauvres pécheurs » pour demander cette confiance dans le Christ et la Vierge.

En servante docile du Seigneur, la Vierge Marie suit Jésus dans le drame et, au pied de la Croix, sa volonté de pâtir avec Lui pour nous est son sentiment le plus profond !

Vivons entre Marie et Joseph à Nazareth, puis Jérusalem et Bethléem, recueillons-nous et méditons sur ce Signe de notre Nativité éternelle !

L’Immaculée Corédemptrice, Médiatrice de toutes grâces, a été constituée par son Fils crucifié notre Mère, pour reconquérir les pécheurs ! Mystère savoureux, sel de la Sagesse divine à goûter ici-bas pour nous préparer au Ciel...

La Vierge du Bel Amour est notre modèle pour préparer notre ascension !

Marie Reine ou Médiatrice ? Épouse, Mère et Fille ? Le Père montre, avec saint Pierre Canisius et saint Jean Eudes, la richesse de la Vierge Marie, à qui nous demandons la victoire !

Les Évangiles de l’Enfance, rigoureusement historiques, nous font goûter le charme des mystères de notre sainte religion : l’Incarnation et, déjà, la Rédemption, par la Médiation de la Vierge Marie.

Avec saint Bède le Vénérable, débordons d’enthousiasme pour la Vierge Marie, créature plus divine qu’humaine !

Frère Bruno présente les points 16 à 31 de la doctrine phalangiste, qui traitent des ennemis de Jésus et de Marie puis de la ligne de crête fixée par notre Père pour rester fidèle.

Dans les ténèbres de l’exil, le chapelet fut le recours constant du Père, décidé à redevenir petit enfant dans les bras de Marie pour l’ultime combat pour la Vérité.

À la suite de la Sainte Vierge recueillant la dépouille mortelle de son Enfant, contemplons et adorons les Plaies sacrées du Corps du Christ dont l’image nous est révélée par le Saint Suaire.

Au baptême de Jésus, la colombe figure la présence spirituelle de la Vierge Marie, temple du Saint-Esprit !

Récitons notre chapelet durant notre pèlerinage à Rome : on voit la Vierge, on respire le Saint-Esprit qui habite en Elle !

Dominus tecum, dit l’Ange à la Vierge : c’est son secret, qui la rend créature plus divine qu’humaine et nous jette à ses pieds, inlassablement !

Pour nous introduire dans le Cœur tout aimant du Père, du Fils et de l’Esprit-Saint, le Père use d’une parabole très suggestive des relations d’amour unissant ciel et terre ! Savoureux.

Saint François de Sales prêche la béatitude commencée ici-bas par l’immersion dans le mystère de l’amour circulant entre Jésus, Marie, Joseph et le prochain ! Joie !

La Vierge Marie se considérait tellement petite dans son admiration et son amour de Dieu, que son humilité même a ravi le Cœur de Dieu.

Saint Léon nous introduit dans sa contemplation d’un Dieu naissant d’une Femme et d’une Femme unissant à Dieu ceux qu’Elle sépare du monde !

Frère Bruno nous dévoile la source de la force surnaturelle du Père dans son combat pour Dieu et l’Église : sa vie mystique.

Suivons le récit de la première semaine de la vie publique de Jésus, qui s’achève sur le miracle de Cana établissant la Vierge Marie souveraine de l’univers !

Marie : on n’en dira jamais assez sur Elle, notre Reine et notre Médiatrice, que nous voulons retrouver à Fatima le 13 octobre 1996 !

Le calvaire subi et accepté par la famille royale au Temple nous permet de mieux nous représenter le calvaire subi par la Vierge pendant la passion de son Fils...

Ne craignons pas d’adorer la Vierge Immaculée. En effet, à la suite de tous les saints, jamais nous ne chanterons assez les louanges de Marie, jamais nous ne pourrons concevoir ses inconcevables perfections.

Faisons plaisir à la Sainte Vierge en nous promenant avec Elle dans le parc et demandons-lui sa protection dans un monde mauvais.

Le laïcisme nous tient éloignés de toute réalité spirituelle. Écoutons donc Lucie-Christine qui nous prouve que Ciel et terre ne sont pas si différents et qu’il est facile de passer de l’un à l’autre !

En comprenant bien le Magnificat et en nous l’appliquant, nous pourrons passer de la ressemblance à l’image de Dieu ! Sur le modèle de saint Étienne !

Oratorio de frère Henry de la Croix.

L’analyse du dernier livre de Benoît XVI, “ Lumière du monde ” est une nouvelle preuve de son modernisme et de son mépris de Fatima.

Oratorio de frère Henry de la Croix.

Notre-Dame de Guadalupe, a façonné la nation mexicaine catholique en captivant les cœurs bien disposés par le seul regard admirable de sa miraculeuse Image.

Frère Bruno a décidé que la Permanence étudierait cette année les vérités de notre Credo. Et pourquoi pas vous-mêmes dans vos cercles, dans vos familles, dans votre solitude ?

Du jeudi 19 au dimanche 22 avril, nos jeunes phalangistes ont eu la grâce de mettre leurs pas dans ceux de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus et de ses admirables parents, « plus dignes du Ciel que de la terre ».

« Vous n’êtes pas seuls. Seriez-vous les derniers fidèles de mon Église dans le monde entier, alors même je serais avec vous ! Vous avez ma Parole, ma Croix et mon Corps ! »

Benoît XVI se révèle au fil des jours un nouveau Jean-Paul I^er qui s’ignore, “ évêque vêtu de blanc ”. Serait-il aussi un abbé de Nantes qui s’ignore ?

Frère Bruno partage les fruits savoureux de son travail d’exégète sur le Coran, mené selon les règles scientifiques critiques : le résultat en est passionnant, totalement nouveau et constructif !

Quelle merveilleuse doctrine de confiance en Dieu dans l’épreuve que de méditer les psaumes en les appliquant à la vie de Jésus, Marie, et à l’Église !

Au lieu de revenir à Dieu, Vatican II s’arrête à l’Homme, dans son obsession de construire la cité terrestre. Vatican III rappellera que l’homme ne peut servir deux maîtres...

Benoîte Rencurel et le pèlerinage du Laus : une histoire singulière, figurative de nos temps d’apostasie, dont la Sainte Vierge et Elle seule triompha !

C’est effrayant ! Le Pape ne veut pas réaliser la consécration de la Russie que la Sainte Vierge veut ! On aura donc le châtiment... Pour notre part, consacrons-nous à son Cœur Immaculé et tâchons de le consoler.

Portraits opposés des États-Unis, hégémoniques, mercantilistes, mais perdants du terrain face à la Russie, puissance montante reposant sur le nationalisme russe et l’Orthodoxie, hélas ! faute de consécration au Cœur Immaculé de Marie.

Les nombreux rapprochements dans la geste de Jeanne et de Bernadette les mettent au rang des plus grands saints !

Le Magnificat, un chant révolutionnaire ? Non pas ! Au contraire, la Vierge Marie, pleine de Force contre Satan, chante la Victoire de son Fils contre ses ennemis d’hier et d’aujourd’hui !

La pureté, la pauvreté et l’obéissance – le secret du Cœur de Marie – ne sont nullement réservées aux religieux ! Prions notre Mère qui nous convertira, affermira et perfectionnera !

Non ! l’Église n’est pas une invention de Paul ! Non ! elle n’est pas antisémite ! Non ! les Évangiles ne sont pas des affabulations ! Écoutez-en la réfutation historique et scientifique !

Angoisse, demande, confiance et action de grâce : voilà tous les sentiments que s’appliqua Marie, et nous à sa suite !

Dieu le Père veut donner une Épouse à son Fils : c’est le fil directeur de toute l’Histoire sainte, tendue vers la fondation de l’Église.

Jusque dans les mystères glorieux, l’inspiration divine des textes est évidente, révélant l’infinie sagesse, matérielle puis spirituelle, de Dieu ! J’aime Jésus parce que j’aime David !

La Crèche illustre tout le Magnificat, secret de Dieu qui n’aime que la petitesse !

Saint Luc établit dans son “ prologue ” un parallèle entre Jean-Baptiste et Jésus. Il présente la Nativité du Christ comme le second volet d’un diptyque dont le premier est la naissance de Jean-Baptiste.

En courant à la Crèche par une décision de leur cœur, les bergers passent de l’Ancien au Nouveau Testament ! Ils croient au Signe contemplé.

En méditant les mystères horriblement douloureux de Jésus, prenons la résolution de ne plus jamais pécher...

Jeanne posséda en perfection les sept dons du Saint-Esprit, preuves à l’appui ! Qu’avec l’Immaculée, elle nous les obtienne !

Le scapulaire est un petit mystère que le Père développe avec bonheur, dans son désir unique et ardent de faire plaisir à la Sainte Vierge !

Dans son errance au désert, un David miséricordieux, épargnant Saül, renonçant à sa légitime vengeance par l’intercession d’Abigaïl, juste avec ses hommes, avant le combat tragique de Gelboé...

Oui, l’Esprit-Saint souffle où Il veut ! Mais toujours de l’Église et vers l’Église ! Qu’on se le dise !

Plutôt excéder que défaillir dans la louange de Marie, reine puissamment dotée par son Fils pour remplir une mission universelle ! Pour toujours ! Et de toujours ? Énigme !

Comme la Sulamite du Cantique des cantiques, Marie-Madeleine désire rejoindre son Époux là où il est !

La gloire de Marie, Mère et Reine puissante, est mise au service de nos travaux et de nos épreuves ! Notre bouclier pour les années qui courent jusqu’en 2000 !

Chaque célébration du Saint-Sacrifice de Jésus-Christ augmente la gloire de son Épouse !

À mesure qu’il révèle son mystère de Fils de Dieu, qu’il prouve en multipliant les miracles, Jésus s’attire la haine des méchants, autant qu’il s’attache les cœurs droits. Quel parti prendra la foule ?

La théologie de l’abbé de Nantes est existentielle : enrichie de toutes nos expériences humaines, relationnelles, voulues par Dieu afin que nous Le connaissions et L’aimions.

La sainte Vierge et saint Joseph n’étaient pas des charismatiques. Ni sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus et le Père de Foucauld ! À leur suite, nous ne voulons pas le clinquant mais le vrai.

Redisons la vérité catholique sur Noël, rejetée par juifs et musulmans : l’Enfant de la crèche est Fils de Dieu, venu pour être Roi et Sauveur du monde.

Le récit si précis et si sobre de la Passion par les Évangélistes nous conduit à méditer sur l’océan de souffrances physiques, morales, mystiques subies par Jésus et sa Mère...

Les Évangélistes, chacun par leur point de vue, nous font entrer dans le mystère des âmes de chacun des protagonistes après la Crucifixion.

Thérèse a désiré vivre avec les impies pour les sauver afin qu’une voix d’amour vers Jésus s’en élève : ce fut sa nuit obscure de 18 mois.

En refusant Fatima, les hommes d’Église se mettent au-dessus de Dieu et sabordent les meilleurs instituts !

Isaïe 53 : texte bouleversant, description prophétique des souffrances de Jésus pour sauver l’humanité ! Puis une démonstration scientifique de la résurrection physique de Jésus, contestée actuellement : imparable !

Notre Père se sent inspiré pour écrire sur le Ciel, avec une facilité étonnante, surnaturelle. Malgré sa pudeur, il nous raconte les merveilles de Dieu en lui, afin de nous Le faire aimer davantage.

Reprenant le texte initial de Lustiger, le Père en récapitule les mensonges et le danger pour les chrétiens renégats d’aujourd’hui. La vie humaine est tragique : restons fidèles !

Notre joie ne serait pas complète si nous ne voyions pas Jésus dans les bras de sa Mère, Elle, la fidélissime !

Apprenons la tendresse de Dieu et la joie promise à ses enfants, si nous suivons Thérèse !

Ces antiennes de la fête de la Circoncision de Notre-Seigneur résument à elles seules tout le mystère que nous célébrons en ces jours de la Nativité de notre Sauveur.

Exultons avec l’Église qui se réjouit de l’admirable échange entre Dieu et l’humanité en ce jour saint !

Laissons-nous guider et enseigner par cette vaste rétrospective de la vie de David, qui nous saisit dans tous les aspects de notre propre vie et s'achève en beauté dans le cœur de l’Immaculée !

La Résurrection de Jésus est un fait historique, attesté par les témoins. La résurrection des corps – refusée par les modernistes – l’est tout autant, pour des raisons expliquées par le prédicateur.

« Mon Seigneur et mon Dieu ! » Voilà l’affirmation de la Foi que Jésus voulait obtenir de Thomas incrédule pour les siècles à venir !

Octobre nous offre une éblouissante corbeille de saints qui se pressent sous le manteau de la Vierge ! Entrons dans leur communion pour les suivre au Ciel !

Attention ! Quand nous méprisons la vie pauvre de notre entourage, c’est celle de Jésus, Marie et Joseph que nous dédaignons...

La place de Marie-Madeleine dans le Cœur de Jésus est singulière, pour révéler son désir d’être aimé ainsi par des âmes privilégiées dans les siècles à venir !

Le Père prête à Marie ses premières paroles d’amour à la vue de son Fils ressuscité au matin de Pâques. Rejoignons-la et imitons-la !

Mystère joyeux, mais tragique : c’est déjà l’Église qui, en Marie, pose sur l’autel l’Agneau sans tache.

Le fruit de notre camp doit être de nous ramener à l’essentiel de notre vie : nous mettre sous la protection de la Vierge Marie, pour aller au Ciel par la croix et le sacrifice.

En méditant les mystères joyeux de la Vierge, nous apprendrons comment Dieu l’a acheminée vers les mystères douloureux, et nous à sa suite.

L’admirable antienne de procession chante la Vierge portant la Lumière qui, seule, peut nous sauver ! Mais ce sera par la Croix...

Voyons comment nous identifier aux personnages de cette scène et imiter leurs vertus !

Lourdes (avec Fatima) nous jette dans l’intimité des mœurs de la Sainte Vierge, pour nos temps d’Apocalypse !

Comme la Vierge Marie qui savait et souffrait, ayons compassion du Cœur de Jésus, seul à porter son souci de Rédemption...

Le silence du CEC sur Fatima et la révélation des fins dernières est offensante pour le Ciel et désolante pour nous. Consolons le Cœur de Marie en ce premier samedi du mois !

Le Père nous donne dans les deux Joseph les exemples de la pureté négative, dépassée par la pureté positive dont le modèle est Jésus !

Imitons Marie dans sa réponse à l’appel de Dieu !

Avec les explications théologiques et linguistiques données, l’ordre des Trois Personnes dans l’œuvre de l’Incarnation est bien précisé !

Comment ne pas être découragé lorsque nous ne sommes pas exaucés ? Et à qui demander ? Écoutez donc ce sermon !

À travers les joies et peines de tant de mères et d’épouses, Dieu nous introduit dans le mystère du Cœur douloureux de la Vierge Marie dans la Passion. Admirons-la et aimons-la.

Notre-Dame de la Sainte Espérance, convertissez-nous ! Notre conversion est toujours à faire, refaire, parfaire !

Nous revivons avec bonheur tous les faits et gestes des protagonistes du matin de la Résurrection, dans leur psychologie, et nous sommes invités à choisir notre modèle d’amour de Jésus !

Jésus est ressuscité ! Oui, mais n’oublions pas ses mystères douloureux. O Crux ave, spes unica !

L’enseignement du CEC sur le Ciel, à côté de très beaux textes, contredit la vérité de la foi et supprime tout désir de ce Ciel que Jésus a évoqué en de si belles images !

Après l’Ascension, Marie reste près de nous, notre réconfort et notre rempart contre l’Apostasie. Elle est notre Ciel à Lourdes !

Le phalangiste aimera la vertu de pureté : celle de l’intelligence, mais aussi celle du cœur et du corps, puisée dans l’amour généreux de son Créateur !

Pour aimer Jésus-Hostie, demandons à la Vierge de nous donner des sentiments d’amour semblables aux siens !

En ce mois du Sacré-Cœur, désirons comprendre le Cœur eucharistique de Jésus qui voulut la Croix pour l’Eucharistie !

La prière de sainte Bernadette – un vrai traité de théologie ! – nous emporte le cœur vers le Ciel !

Oui, notre foi croit que Jésus se donne à manger et boire dans l’Eucharistie. Beaucoup le nient, même traditionalistes. Pourtant, saint Jean Chrysostome le proclame avec force et réalisme !

Redécouvrons les insondables richesses du Cœur de Jésus et de ses intentions : la Croix pour l’Eucharistie, pour le Cœur de Marie et notre union en Eux et entre nous !

Pourquoi Dieu a-t-il voulu que Jésus s’attache si singulièrement à Marie-Madeleine ? Un mystère d’élection à méditer et savourer...

La fête d’aujourd’hui, commémorant la victoire de la Chrétienté contre les Turcs à Vienne en 1683, nous rappelle que le Nom de Marie est puissant pour vaincre les ennemis, y compris en politique !

Dans la Visitation, Marie agit en union intime avec son divin Fils !

À la suite d’Isaïe, mêlons à notre joie de la compassion pour Marie et Joseph pressentant l’avenir de l’Enfant de la crèche...

Admirable simplicité du récit de saint Luc qui donne à contempler le mystère infini de la Naissance de Jésus !