Tout concile, parti de Dieu, doit s’achever par un retour en gloire à Dieu ! Mais Vatican II s’arrête à l’Homme, dans un humanisme intégral. Pourtant en son sein les deux religions se côtoient. Parlerons-nous d’incohérence ? Hélas ! non, car même les meilleures pages sont infiltrées de réformisme, d’obsession de cité terrestre à construire, empêchant la religion de se développer : les résultats sont là.
Deux textes et les discours pontificaux, analysés minutieusement, fournissent les preuves de cet empoisonnement des plus hautes réalités.
Vatican III retrouvera les voies de la sainteté catholique, se souvenant que l’homme ne peut servir deux maîtres...