L’Europe de l’immédiat après-guerre se caractérise par la montée des “ fascismes ”, à l’image de la valeur des nationalismes dont ils sont les créations désespérées, les unes saintes, les autres diaboliques, entreprises pour sauver leur peuple de l’anarchie comme de l’esclavage capitaliste.
La France eut sa poussée nationaliste, soutenue par une forte pensée politique et par une Ligue qui s’imposait dans la presse et dans la rue : l’Action Française. Mais le rétablissement de la monarchie ne fut pas au bout du chemin. Pourquoi ? En raison de la collusion de la franc-maçonnerie, « maîtresse des cadres de la Nation » (Briand) et de la démocratie chrétienne, soutenue par les théodémocrates du Vatican, germanophiles et obsédés de ralliement. Le drame se joua en 1926...
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