En conclusion, frère Bruno décrit la France contemporaine, dénaturée et ruinée, mais qui pourrait être le fleuron d’une Chrétienté nouvelle, latine et slave, sous l’égide de Notre-Dame de Fatima.

Communistes et démocrates-chrétiens se donnent la main dans un déchaînement de haine, couvert par l’autorité usurpée de De Gaulle, pour supprimer et remplacer tous les témoins gênants du régime de Vichy.

Reprenant les notes d’une conférence de l’abbé de Nantes en 1952, frère Pascal dévoile les véritables origines et les basses œuvres du Mouvement Républicain Populaire fondé à Paris en 1944.

13^e chapitre de l’histoire volontaire du Canada français, survolant les années 1960-1968, de la victoire de Jean Lesage au provincial à celle de Pierre-Elliot Trudeau au fédéral. Leçon très instructive sur la mécanique révolutionnaire.

Non, notre constitution politique est mauvaise et conduit à l’impasse : le Père la décortique calmement dans la fièvre électorale qui grandit. Il faut supprimer le principe de souveraineté populaire !

Comment répondre à l’angoisse pour notre pays ? En cernant son mal : la démocratie, c’est la mort de la France. Alors, la monarchie ? Il faut suivre cette démonstration très serrée pour en être convaincu et repartir avec le remède et les solutions !

Évitons les pièges des divisions dans l’Église avec les ralliés ; restons les yeux ouverts sur Pinochet et Bush, sur la situation française depuis le retour de la gauche et restons unis dans les épreuves !

Le procès du maréchal Pétain furt un simulacre. Pourtant, l’innocence du Maréchal éclate à toutes les pages de la minute du procès. Sa condamnation demeure un péché sur la conscience de la France.

Étudier les raisons profondes de la perte de l’Indochine française conduit à désigner le premier coupable : de Gaulle et son mythe de la “ Résistance ”, responsable du coup de force japonais en 1945...

Au péril de la montée de l’islam et de la Chine s’oppose la Russie, mais aussi la Hongrie, sous l’égide de la couronne de saint Étienne. La France devrait l’imiter en retrouvant sa religion royale révélée par sainte Jeanne d’Arc !

En disciple de notre Père, Frère Jean Duns retrace toute l’histoire de la Syrie, des origines à nos jours, en discernant le dessein de Dieu sur cette nation.

L’effort de la Corporation paysanne, pivot de la Révolution nationale, sauve l’agriculture française malgré l’occupation. Voilà une doctrine d’avenir !

Avec cette analyse précise de l’essence et de la pratique du socialisme, le résultat est programmé : la France ruinée, les gros hors d’atteinte, les moyens tondus et les petits assistés...

Un tour d’horizon passionnant des grands débats, actualisés ! religieux et politiques qui portent toujours la même leçon démontrée avec une clarté solaire : opposons au désordre conciliaire la CRC, et le nationalisme à la lutte des classes !

Alors que la France possède tous les moyens de sauver la Nouvelle-Calédonie contre une poignée d’agitateurs, elle va la perdre : à cause de la religion des Droits de l’Homme...

Pour y voir clair dans cette période de grandes tribulations constitutionnelles, le Père abat les fausses gloires, détecte les mensonges et réhabilite les innocents écrasés : opération nécessaire pour résoudre les vraies questions !

Le Père réexplique sa décision de voter Chirac dès le premier tour : il s’agit de prolonger le redressement de la France commencé par lui – pas par Le Pen – depuis 1986 et d’assurer la survie de la Nouvelle-Calédonie.

À la nouvelle de la signature du traité de Maastricht, véritable suicide national au profit d’une prétendue Europe dominée par l’Allemagne, notre Père titrait : « Mitterrand après de Gaulle en Haute Cour ! »

La comparaison des pèlerinages des papes Paul VI et François à Fatima, à cinquante ans de distance, montre le même refus du message de Notre-Dame...

Tirant profit en 1992 de trois ouvrages parus sur les amiraux pendant la Révolution nationale, notre Père dresse un portrait psychologique de chacun d’eux : Darlan, Estéva, Platon, de Laborde et Auphan.

Durant tout l’entre-deux-guerres, le maréchal Pétain lutte pour le relèvement de la jeunesse et de l’Armée françaises, contre les hommes de la III^e République, en prévision du conflit qui vient.