Le mystère du Maréchal Pétain présenté sous la forme d’un procès, en dix audiences, au cours desquelles sont appelés à la barre des témoins irrécusables, pour que la vérité, officiellement occultée, éclate au grand jour.

Vous voulez restaurer la nation française ? Commencez par vous préoccuper des familles, et en premier lieu de la vôtre !

L’effort de la Corporation paysanne, pivot de la Révolution nationale, sauve l’agriculture française malgré l’occupation. Voilà une doctrine d’avenir !

Le Maréchal, très tôt, promut une politique hardie de corporations, servie par des ministres fidèles, dont les résultats furent concluants, avant le retour des forces hostiles... Mais l’expérience reste !

Réuni autour d’Henri Boegner, le Cercle Fustel de Coulanges développe dès les années 1920 une doctrine de réforme de l’enseignement en France, pour faire prévaloir une solution « classique, chrétienne et française ».

Le procès du maréchal Pétain furt un simulacre. Pourtant, l’innocence du Maréchal éclate à toutes les pages de la minute du procès. Sa condamnation demeure un péché sur la conscience de la France.

Engagé dans les Chantiers de jeunesse, Georges de Nantes participa au redressement de la Révolution nationale : rude apprentissage ! L’Église prit le relais, maternelle, lors de son entrée au séminaire : il en est le fils légitime !

Le 6 février 1922, le pape Pie XI succède à Benoît XV et continue la politique de ralliement de l’Église à la Révolution. En 1939, divine surprise, le Maréchal rend à l’Église ses biens et son influence.

Les deux clés d’analyse des adversaires, universellement acceptées, permettent de comprendre les faits et gestes de l’Église. Devant le désastre, il faut contraindre Rome à retrouver la foi et travailler à l’idée monarchique.

Léon XIII contre le Roi, Pie XI contre l’Action française, l’Action catholique contre la France et la Révolution nationale : c’est le péché de l’Église...

Le discours de Le Pen le 1^er mai comporte une nouveauté et une justesse que le Père salue, que frère Bruno analyse et qui pourraient bien être le début du salut !

De retour d’exil pour sauver la CRC, le Père engage le fer contre l’Autorité. Ni lui ni les communautés ne céderont : il en va de la foi de l’Église !

Qui nierait aujourd’hui le fiasco de l’Éducation nationale de la République ? Les voies du salut sont heureusement bien repérées, pour le renouveau de l’école et, par suite, de l’âme de la France !

Les points 86 à 100 tracent les grands axes d’une restauration catholique et royale de la nation et de son gouvernement.

Témoin de l’effervescence de l’Église de France de l’entre-deux-guerres à la veille du Concile, notre Père a dénoncé une hérésie nouvelle et plus grave que les pires du temps passé : le progressisme.