La crise trouve son origine dans le schéma conciliaire qui fait passer le pastoral avant le doctrinal et dans les assemblées collégiales qui ont imposé leur révolution.

Lorsque les évêques prendront pour modèle Mgr Albino Luciani, ses vertus évangéliques, son courage contre les loups ravisseurs, sa dévotion pour Notre-Dame de Fatima, l’Église sera sauvée !

Contre l’intégrisme qui réduit les sacrements à une mécanique, contre le modernisme qui en dilue la réalité objective, l’abbé de Nantes restaure la grandiose vision catholique des sacrements !

Témoin de l’effervescence de l’Église de France de l’entre-deux-guerres à la veille du Concile, notre Père a dénoncé une hérésie nouvelle et plus grave que les pires du temps passé : le progressisme.

En coupant l’Esprit « qui souffle où Il veut » des institutions de l’Église, les modernistes ont repoussé l’action du Christ qui a envoyé à son Église son Épouse, son Esprit pour la faire vivre de Lui et pour Lui.

La riche liturgie du baptême est porteuse d’une profonde théologie. En rénover les rites et la pastorale peut être opportun, à condition de ne pas stériliser ces efforts par une catéchèse frelatée...