L’abbé de Nantes, fils de l’Église, n’a cessé de contempler sa Mère, de la servir, de la prêcher, de la défendre. La somme de ses enseignements constitue un incomparable traité de l’Église.
L’abbé de Nantes a aimé, servi, défendu l’Église sa Mère avec un tel zèle qu’il en est venu à s’identifier à elle : ce fut sa joie, sa croix et sa gloire !
L’Église est le tout de notre vie parce qu’elle est la suite corporelle de Jésus !
Dieu le Père veut donner une Épouse à son Fils : c’est le fil directeur de toute l’Histoire sainte, tendue vers la fondation de l’Église.
Oui, l’Église est investie de la force divine et avance, fidèle à son Dieu, sans que Celui-ci soit forcé de la rendre éclatante en tout temps : Il a son plan...
Vénérons les saints Apôtres et Rome avec des yeux remplis d’amour et d’admiration !
Sur la Croix, Jésus fonde une nouvelle et éternelle Alliance. À chaque messe, il la renouvelle, répandant ses grâces dans l’Église, son Épouse. Voilà quel est le moteur de l’histoire !
Chaque célébration du Saint-Sacrifice de Jésus-Christ augmente la gloire de son Épouse !
Parler du Père Emmanuel, au Mesnil-Saint-Loup, c’est découvrir un pan du cœur de notre Père, lui aussi curé et moine-missionnaire, tout dévoué à Notre-Dame de la Sainte Espérance !
Deux mille ans d’histoire le démontrent : le progrès de la civilisation suit celui de l’Église et de la Chrétienté ; leur déclin nous ramène à la barbarie.
L’incendie de Notre-Dame de Paris est un figuratif du cataclysme conciliaire, tandis que le combat des pompiers nous évoque celui de notre Père. Avec la certitude de la victoire, par l’Immaculée !
Retraçant deux mille ans d’histoire chaotique des missions, frère Scubilion définit l’idéal de l’Église missionnaire : latine, persécutée, française !
En prononçant ses vœux perpétuels, frère Henry veut suivre l’exemple du Père Henry, héroïquement dévoué à l’évangélisation des Esquimaux, pour les arracher à l’enfer.
Quelle fut l’attitude de l’Église face à la Révolution ? Malgré la trahison des libéraux, une résistance héroïque, sous la bannière de l’Immaculée !
Un splendide montage documentaire pour connaître et aimer ce saint tutélaire de notre CRC, qui fut le phare de l’Église à l’orée de la grande apostasie.
Témoin de l’effervescence de l’Église de France de l’entre-deux-guerres à la veille du Concile, notre Père a dénoncé une hérésie nouvelle et plus grave que les pires du temps passé : le progressisme.
L’exposé implacable et limpide d’une entreprise de réforme de l’Église par une poignée de théologiens et de prélats perfides, qui tourna à la ruine systématique de sa doctrine et de ses institutions.
L’apostasie de l’Église nous plonge dans le désespoir. Les avertissements du Cœur Immaculé de Marie révèlent le sens de nos malheurs. Ses promesses merveilleuses nous rendent l’espérance !
Le combat contre la réforme de l’Église d’un témoin de sa foi et de sa sainteté, avant, pendant et après le funeste concile Vatican II.
Pour que la Vierge Marie écrase le serpent de l’hérésie, proclamons son Immaculée Conception dans le Credo. Où donc ? Avant l’Église catholique, déclassée, à cause de son infidélité, par rapport à Notre-Dame.
Contre les schismatiques réformateurs ou intégristes – la lamentable aventure lefebvriste ! –, notre Père met en lumière le mystère de l’Église, corps mystique du Christ.
Pour mieux prouver son amour à Jésus, sainte Thérèse désirait vivre au temps de l’Antéchrist. Telle est notre condition. Le Père nous apprend à reconnaître et profiter de cette grâce !
Lorsque les évêques prendront pour modèle Mgr Albino Luciani, ses vertus évangéliques, son courage contre les loups ravisseurs, sa dévotion pour Notre-Dame de Fatima, l’Église sera sauvée !
Frère Bruno explique pourquoi il faut tenir à la pratique de la petite dévotion réparatrice. C’est une exigence de Dieu par laquelle nous obtiendrons le salut des âmes, des nations et de l’Église tout entière.
Notre Père fortifie l’espérance de la Phalange en expliquant le triomphe à venir du Cœur Immaculé de Marie dans le monde et dans l’Église.
Comme la Très Sainte Vierge Marie, l’Église est appelée à communier totalement à son Époux Jésus-Christ, en chaque âme et dans le genre humain tout entier, pour retourner un jour vers le Père.
