La France et l’Église en faillite ne savent que réveiller la vieille chimère démocrate-chrétienne. Mais le salut ne viendra que de la dévotion au Sacré-Cœur, à l’école des carmélites de Compiègne !

Dans un Occident et une Église en révolution, les Américains semblent les plus religieux des hommes ! Mais leur mystique nationale, démocrate et protestante, est essentiellement antichrist...

Les États-Unis ont initié brutalement un virage politique à 180 degrés, de l’idéologie au réalisme. Mais ni la France ni l’Église ne le comprennent encore, tant s’en faut !

De l’Europe à la Syrie, la démocratie convoie la guerre ! Et le Pape dont dépend la paix du monde, à l’heure de se préparer à paraître devant Dieu, ne rêve que Masdu et synodalité...

Léon XIII avait condamné l’américanisme, vainement. Cet esprit funeste interfère encore aujourd’hui avec la foi catholique de son successeur, Léon XIV.

Tandis que les diaboliques ruinent méthodiquement la France et mettent le monde à feu et à sang, Léon XIV ne sait prêcher que le libéralisme...

Tant que Rome persévérera dans son culte de l’homme, son interreligion et ses outrages contre la Sainte Vierge, provoquent les châtiments divins que seul peut tempérer le sang des martyrs.

Au-delà des bruits de guerre qui affolent l’opinion, frère Michel analyse l’affrontement entre les USA et la Russie, victorieuse de la manche ukrainienne. Mais le conflit le plus dramatique se livre dans l’Église...

L’authenticité certaine de la Sainte Tunique du Christ, vénérée à Argenteuil depuis le IX^e siècle, nous précipite à genoux, avec les foules fidèles, pour adorer le Précieux Sang rédempteur.

« Les apparitions modernes sont des aides extraordinaires, mystérieusement liées aux combats et aux bouleversements de la fin des temps. C’est le signe ultime de la miséricorde destiné à ramener les âmes en détresse et à fortifier les fidèles. » (Georges de Nantes)

La France républicaine gît aux portes de l’enfer, mais la route est toute tracée, par les saints de son histoire, par Marie sa Reine, qui la ramènera au berceau de l’Enfant-Dieu !