Trois discours et une démarche qui convainquent de la nécessaire opposition au Pape ! Une analyse politique jointe à celle de la morale catholique, qui dénoncent radicalement le soutien à Solidarnosc !

Effondrement programmé de notre civilisation, hégémonie soviétique inéluctable, communisme en France : trois constats effrayants dont le Père donne les causes, avec la seule Espérance surnaturelle à l’horizon.

Comment expliquer le succès partout et toujours de nos adversaires ? Prenons leurs armes ! Écoutez la réfutation du Père : il ne peut y avoir de parité entre eux et nous.

Dans l’Église, un condensé de scandales contre la Foi. Puis le Père analyse en profondeur les points chauds : Salvador, Malouines et Pologne. La France poursuit sa décomposition communiste...

Le Père dégage de fortes leçons sur l’Affaire Dreyfus, les Malouines, le retournement du Père Pellecer, enfin sur le Pape à Fatima. En France, le Parti communiste continue son travail de sape.

Le Père est obligé de s’opposer aux jugements des gens de droite dans l’affaire des Malouines, sur Israël au Liban, sur les actes du Pape à Fatima et en Angleterre.

La démission de Haig se traduit par des changements néfastes dans le monde. L’Europe est victime de sa politique dans les pays émergents. La France socialiste s’enfonce, soutenue par nos évêques. Le Pape approuve Pierres vivantes...

Les livres de Frossard et Malinski donnent à découvrir en Karol Wojtyla un homme prodigieux, certes, mais l’analyse de trois chapitres capitaux découvre aussi une autre réalité...

Nous avons tout fait pour attirer la colère divine. Le message de Fatima nous prévient : La Russie répandra ses erreurs, nous souffrirons, mais la Russie convertie sauvera le monde.

Le destin de Marie Noël est celui d’une âme écartelée qui nous émeut par la puissance et la vérité des cris de sa nature et sa réponse catholique.

Par cette philosophie existentielle – sans un mot de religion –, nous apprenons que l’être singulier dans l’histoire est l’œuvre de Dieu qui le pense dans tous ses détails !

Dieu crée dans le même temps l’unité et la complexité, la singularité et la totalité : ce que ni Aristote ni saint Thomas n’avaient osé imaginer ! Solution libératrice !

Dieu pense et veut chaque être dans singularité, oui ! mais dans l’ensemble, avec et pour les autres ! Ainsi est définie notre vocation dans le monde, unifiée.

Dieu nous a ouverts au monde dans son acte créateur même !
Maurras parlait de la société comme « d’une immense réciprocité de services ».
Même fondement métaphysique !

Avec Aristote, l’homme est sur des rails.
Avec notre métaphysique, l’homme est libre pour créer et avoir sa valeur.
Prodigieuse liberté qui en fait un petit Dieu !

« L’enfer, c’est les autres ! » explique Sartre. Eh bien ! Non ! Tout être tend au contraire à la perfection de ses relations constituantes en une communauté immortelle de personnes !

Au bout de ma vie, je serai accueilli par cet Être, et dans la vie intime de Dieu à laquelle j’étais, depuis longtemps et sans le savoir, associé ! Sublime !

Entre notre métaphysique relationnelle et la Révélation chrétienne, poussée à sa plus haute et authentique expression dans la mystique catholique, l’harmonie est parfaite !

Un vaste commentaire du Notre Père, pour pénétrer plus profondément l’Évangile et l’âme de Jésus, à la lumière les psaumes qui constituaient le fond de sa prière.

Les faux réformateurs s’indignent des lenteurs de l’Église du passé. Maurras leur souffle : « Ce qui m’étonne, ce n’est pas le désordre, c’est l’Ordre ! »

Les mêmes raisons provoquent la mort des sociétés civile et ecclésiastique : le dégoût de ce qui fit leur grandeur, leur fierté et leur vitalité.