Témoignage filial de frère Bruno de Jésus-Marie sur la vie et l’œuvre de notre Père, l’abbé Georges de Nantes, qui s’est dressé contre les démolisseurs de l’Église en défenseur de la Cité sainte.
Notre Père est un grand saint et sans le chercher aucunement, il a déjà instruit son propre procès de béatification ! Dans cette conférence, frère Bruno retrace cette période de la vie de notre Père, de son installation à Villemaur en septembre 1958, jusqu’à son procès au Tribunal du Saint-Office.
Entre hérésie conciliaire et schisme intégriste, notre Père a voulu “ tenir la ligne de crête ” : c’est ce que frère Bruno relate ici, à travers les premières campagnes menées par notre Père, au sein de la ligue de Contre-Réforme catholique, fondée en 1971.
Dans cette conférence consacrée aux années 1974 à 1978, frère Bruno nous montre comment notre Père, dans son “ traditionalisme intelligent ” et mystique, tout en s’opposant au schisme commençant de Mgr Lefebvre, ne cessa d’œuvrer pour la réconciliation.
Notre Père fut conduit à prononcer ses vœux perpétuels sous le lumineux et bref pontificat du saint Pape Jean-Paul Ier. Entre le Saint-Père et la Contre-Réforme Catholique demeurait l’erreur conciliaire, mais la porte de la réconciliation s’ouvrait, sous la houlette de ce pape doux et humble, nouveau saint Pie X.
Au lendemain de l’assassinat de Jean-Paul Ier, il fallut reprendre la lutte, ce que notre Père fit avec le courage de David, se dressant devant Jean-Paul II, pape des droits de l’homme, nouveau Goliath. À la consolidation de l’humanisme conciliaire voulue et entreprise par Jean-Paul II, notre Père opposa la seule et unique Volonté de notre Père du Ciel : l’établissement de la dévotion au Cœur Immaculé de Marie.
Pour lutter contre l’incendie allumé par le Concile Vatican II dans l’Église et entretenu par Jean-Paul II, notre Père allume lui-même plusieurs contre-feux ; contre le charismatisme complice du modernisme ravageur, c’est la création de la Phalange en 1984. Contre le “ revival ” du Concile au synode de 1985, une supplique pour la liberté de l’Église et des controverses portées dans les réunions célébrant “ l’expérience ” du Concile.
“ L’homme ingouvernable ”. Telle est la plaie, dénoncée par notre Père, obstacle aux volontés signifiées des Cœurs de Jésus et Marie. En réaction, notre Père voulut « Sanctifier 89 » et mit nos communautés et notre Phalange “ aux ordres du Ciel ”.