Paul, mis à part pour annoncer l’Évangile aux Gentils, prêche Jésus sans passer par la case juive : il a ainsi sauvé la foi et l’unité de l’Église !

Oratorio de frère Henry de la Croix.

Oratorio de frère Henry de la Croix.

Oratorio de frère Henry de la Croix.

Relire la deuxième épître de saint Paul à ses Corinthiens, qui l’attaquent, permet de retrouver du courage contre nos propres détracteurs !

Dans cette émission de La Religion en vrai, voyez qui est l’anti-saint Paul et qui en est le véritable héritier ! Un entretien avec le frère Bruno de Jésus-Marie à ne pas manquer.

Comme Saul de Tarse ou Charles de Foucauld, notre Père a été “ mis à part pour l’Évangile ”.

Vénérons les saints Apôtres et Rome avec des yeux remplis d’amour et d’admiration !

Vénérons les saints Apôtres et Rome avec des yeux remplis d’amour et d’admiration !

Commentaire littéral de l’oratorio par frère Bruno.

Commentaire littéral de l’oratorio par frère Bruno.

Commentaire littéral de l’oratorio par frère Bruno.

Sur la Croix, Jésus fonde une nouvelle et éternelle Alliance. À chaque messe, il la renouvelle, répandant ses grâces dans l’Église, son Épouse. Voilà quel est le moteur de l’histoire !

Les païens, avec la foi chrétienne, doivent-ils adopter aussi le judaïsme ? Notre-Seigneur n’avait pas répondu à cette question. Ce sont les Apôtres qui achèveront le passage de l’Église de l’Ancienne à la Nouvelle Alliance, dans les persécutions.

Le souvenir inoubliable d’une retraite de fin d’année où saint Paul empoigna le jeune Georges de Nantes !

Sait Paul explique aux Corinthiens la base de sa foi : les faits historiques de la Résurrection, fondés sur des preuves qui autorisent la croyance en un dogme.

En ces années 1945-1946, notre Père manifeste une humilité et une sagesse surnaturelles qui lui font aimer et défendre les trésors de la tradition de l’Église contre les désorientations d’un réformisme naissant.

Deux mille ans d’histoire le démontrent : le progrès de la civilisation suit celui de l’Église et de la Chrétienté ; leur déclin nous ramène à la barbarie.

La joie chrétienne a irrigué le peuple chrétien tant que le pouvoir temporel a soutenu l’Église. Depuis la chute du Roi, l’apostasie règne, mais gardons notre joie car Satan ne règnera pas toujours !

Tels des athlètes dans le stade, menons le bon combat jusqu’au bout avec Jésus et Marie !

L’Église est fondée sur les douze Apôtres : c’est eux qui la jugeront à la fin des temps !

À la suite de saint Paul, rejetons notre monde corrompu en adoptant les mœurs simples et pures qui plaisent à Dieu !

En découvrant ce que fut la faute originelle qui nous plonge dans les turpitudes humaines, nous découvrons la grandeur de la pédagogie divine pour nous rapprocher de Lui : bouleversant...

Oui, les infidèles peuvent être sanctifiés et sauvés, parce que Jésus est le Verbe de Dieu répandu sur toute la terre, loin de tout œcuménisme, et dans l’Église !

La Béatitude céleste ne consiste pas dans la vision, mais dans les unions tissées sur terre dans l’Église militante, glorifiées dans l’Église triomphante.

Charles Maurras a établi la définition de la nation : peuple organisé et limité, gouverné avec ordre et justice par un État.
Comment et pourquoi garder sa cohésion ? Actuel !

Entrons dans l’explication du Credo pour nous assurer des fondements de notre Foi, contre toutes les réductions modernes. Oui, Dieu existe !

Le christianisme, en accomplissant les Promesses du judaïsme biblique en une forme spirituelle et non plus charnelle, continue la poussée axiale initiale, alors que le judaïsme talmudique s’est sclérosé.

Recevons le choc de l’Évangile de saint Marc retranscrivant l’enseignement de Pierre et de Paul aux païens : l’annonce et la venue d’un Roi, Fils de Dieu, qui remettra leurs péchés, par le baptême !

Les manuscrits de Qumrân nous révèlent ce que furent les esséniens et leur doctrine. Issus d’un mouvement de “ contre-réforme ” juive, ils seront les premiers à se convertir au christianisme.

Avançons vers Noël, remplis de componction devant nos fautes, car la colère de Dieu se changera en pardon !

« Si quelqu’un veut marcher derrière moi, qu’il se renonce, qu’il se charge de sa croix chaque jour et qu’il me suive ! »

Notre frère Bruno résume très clairement l’enseignement des Apôtres sur la Résurrection du Christ, fait physique, et sur la vie éternelle.

À l’heure de la mort de Jésus, tout restait en suspens, l’histoire du monde n’avait pas encore livré son sens, elle n’avait pas rebroussé son chemin de péché, de corruption et de mort. Du moins apparemment. Mais voici que Jésus ressuscite...

Non ! l’Église n’est pas une invention de Paul ! Non ! elle n’est pas antisémite ! Non ! les Évangiles ne sont pas des affabulations ! Écoutez-en la réfutation historique et scientifique !

Comment lutter contre un instinct puissant, d’un maniement très difficile depuis Adam et Ève, qui perpétue la race humaine ? Écoutez saint Paul et son disciple !

Oui ! Jésus est le Messie annoncé par la Bible juive, fils unique d’une Vierge toujours vierge, fondant son Royaume et lui donnant sa Loi. En contradiction avec les cuistres d’Arte !

Le Christ nous rachète sur la Croix par pure miséricorde. Mais, désormais, comment allons-nous participer à ce mystère de la grâce trinitaire et christique ? Quelle œuvre sera la nôtre ?

Le moderne a perdu le sens du prêtre : personne sacrée au langage et aux gestes mystérieux. Pourtant Jésus, ce soir, agit en Grand-Prêtre, pour les siècles, pour notre Rédemption !

Le Renouveau charismatique contredit les Actes des Apôtres ! Le Saint-Esprit n’a pas été donné à n’importe qui, n’importe comment, mais aux Apôtres, pour qu’ils annoncent Jésus-Christ.

Le Jésus de Hans Küng a provoqué le conflit avec les autorités jusqu’à sa mort, point final de sa vie. Il ne reste plus rien de notre Credo. Mais en a-t-il fait la preuve ?

À la suite des Justes de l’Ancien Testament qui espérèrent ce jour dans la joie, réjouissons-nous et soyons bienveillants : voici l’Emmanuel !

Le moine se voue à la réalisation du Règne de Dieu dans notre société selon les révélations faites à des âmes privilégiées, dans une complémentarité admirable !

L’Église se fait la servante du monde pour parvenir à l’avènement du genre humain.

Le dernier travail de Jésus après sa résurrection : apparaître à ses amis pour les ramener à la foi, chacun selon sa psychologie, et qu’ils deviennent les apôtres de son règne !

Retraçant deux mille ans d’histoire chaotique des missions, frère Scubilion définit l’idéal de l’Église missionnaire : latine, persécutée, française !

Parcourant des sermons inédits de saint Augustin, frère Bruno nous donne une catéchèse très vivante. Les arguments de l’évêque d’Hippone traversent les siècles et conservent toute leur force !

En revenant sur le silence de Jésus sur les esséniens et au cas de Pilate, le Père nous ramène à notre brûlante actualité !

Loin d’être antisémite, Paul prépare la conversion des juifs en leur révélant que la colère de Dieu tombe sur toute impiété, des païens comme des juifs !

Jésus ressuscité reste parmi nous jusqu’à la fin des temps, « d’une présence sous mode d’absence ».

Face à une hérésie subtile – la gnose –, Jean se dresse et renouvelle l’amour du Christ et des chrétiens, en prêchant l’horreur de Satan et la méfiance du monde.

Incarnation, expiation, rédemption : tel est le cœur de la prédication de saint Marc, et le Cœur caché de Jésus, que comprendront toutes les âmes mystiques à la suite de Marie-Madeleine !

« Personne ne pèche en voyant Dieu, c’est-à-dire en ressentant un violent amour de Jésus. »

Thérèse réitère, en ce moment, au Ciel, son immense prière pour sauver les âmes de l’apostasie !

Saint Paul contredit les modernes : le bonheur, c’est vivre avec le Christ et non se construire soi-même !

Demandons à Jésus ressuscité de nous purifier de nos mauvais penchants, nous mais aussi l’Église, empoisonnée par le mauvais levain du modernisme. Que le Ciel entende notre appel !

Comme l’enseigne le miracle-parabole de la tempête apaisée, Jésus est notre SAUVEUR, dans toutes nos tempêtes !

L’honneur de la puissance et la gloire de la passion, voilà ce que reçut saint Pierre venant à Rome et que recevra le futur grand Pape réformateur !

Redécouvrons avec l’Évangile de la Transfiguration la grandeur de Jésus et le but de notre vie : aller Le retrouver ! Notre époque, où se multiplient les suicides, a besoin de cette leçon, rappelée par saint Paul !

La Messe, c’est revivre le dialogue du Christ avec le bon larron : « Aujourd’hui, tu seras avec moi au Paradis. »

Saint Paul, brûlant d’amour pour le Christ et ses Philippiens, veut qu’ils restent attachés à lui qui est attaché au Christ !

Le chrétien peut et doit être heureux et paisible dans les tourmentes : nous avons de quoi y faire front !

Leçon de tous les peuples et de nos propres vies : par l’épreuve, le fils d’Adam devient le fils du Christ.

Pour porter beaucoup de fruits, comme le Père en reçut la mystérieuse promesse, il faut être dans la Loi qui incarne la Foi !

En ce mois du Sacré-Cœur, désirons comprendre le Cœur eucharistique de Jésus qui voulut la Croix pour l’Eucharistie !

Pour nous introduire dans le Cœur tout aimant du Père, du Fils et de l’Esprit-Saint, le Père use d’une parabole très suggestive des relations d’amour unissant ciel et terre ! Savoureux.

Les martyrs si attachants de ce mois nous donnent rendez-vous au Ciel auprès de Jésus, pour reformer l’Église triomphante, qui est « Jésus répandu et communiqué » (Bossuet).

Saint Jean Chrysostome donne des conseils simples sur la conduite à tenir en temps de persécutions, afin de sauvegarder charité fraternelle et fidélité.

« Sans moi, vous ne pouvez rien faire », a dit Jésus, repris par saint Paul. Le naufrage de notre société ne peut être conjuré que par la prière et la supplication.