Une charité désordonnée – faute d’avoir fixé le vrai bien à procurer à autrui – procure plus de mal que de bien.

Chapitre 49 : L’amour de Dieu – Chapitre 50 : L’amour du prochain.

«Vous m’avez donné à mon baptême la plus charmante, la plus sublime, la plus douce et la plus lourde des tâches, pour le temps et pour l’éternité : aimer ! »

Il y a plus de joie – et de beauté – à donner qu’à recevoir !

Avec saint Paul grandissons dans la charité : ayons bon cœur envers tous ! Le reste compte si peu qu’il disparaîtra !

« Ce qui fait la grandeur d’Abélard, c’est Héloïse ! »
Mais ce qui fait la grandeur d’Héloïse, c’est Abélard, car il la sauva d’elle-même !

La morale de Paul parle à ceux qui ont été saisis par l’amour du Christ et veulent désormais vivre en enfants de lumière, dans la piété, l’humilité et la charité !

Précurseur de l’apostolat des laïcs et fondateur des Frères de Saint-Vincent-de-Paul, Jean-Léon Le Prévost a été l’initiateur d’une authentique action catholique pour laquelle la charité se fait contre-révolutionnaire.

Ce saint au cœur de feu est le bon fruit d’une société catholique et royale, où l’aristocratie donne l’exemple de la charité évangélique !

Figure emblématique de la Contre-Réforme catholique, saint François de Sales fut, dans sa divine amitié avec sainte Jeanne de Chantal, une vivante image de la bonté du Cœur de Jésus.

Notre religion est un amour, sous la forme d’un contrat d’Alliance inégale entre Dieu notre Père et sa pauvre créature, qu’il pose dans l’être, qu’il aime et qu’il veut faire entrer dans son grand dessein divin.

C’est pour mieux ouvrir son cœur à la charité divine pour la répandre autour d’elle qu’Émilie Gamelin embrassa la vie religieuse, le plus sûr chemin vers le Ciel.

Laissons-nous entraîner par le charme puissant qui se dégage de la vie et la personnalité de saint François de Sales et de Madame de Chantal, qui préparèrent la grande révélation du Sacré-Cœur de Jésus !

Parce que Pie X n’a pas été suivi, les hommes d’Église sont devenus les meilleurs auxiliaires de la révolution, pour l’écroulement de la religion et de la société.

Saint François de Sales nous révèle Dieu dans sa miséricordieuse bonté et l’amour divin du cœur qu’il forme avec sainte Jeanne de Chantal embrasera son siècle du feu du saint amour.

Amour et liberté : sujets brûlants, qui déchaînent une controverse passionnée entre les invités de notre émission. Où l’on apprécie la sagesse de notre Père, capable de répondre à toutes les questions de nos contemporains !

La méditation de la Croix nourrit notre foi, notre espérance et notre charité, transformant par là notre vie quotidienne.

La Béatitude céleste ne consiste pas dans la vision, mais dans les unions tissées sur terre dans l’Église militante, glorifiées dans l’Église triomphante.

Notre Père dévoile les trois étapes d’un itinéraire spirituel et relationnel : une « enfance heureuse », une « adolescence laborieuse », et « l’âge d’homme ».

La solution de la question sociale n’est pas dans la Révolution, mais dans la Religion !

Dans le Cœur de Dieu Créateur qui nous fait nous aimer nous-mêmes, voyons Dieu qui crée et aime les autres de ce même amour ! Aimons donc Dieu et le prochain !

Plutôt que la Loi caduque, Dieu nous propose sa Miséricorde qui se justifie par l’oblation de Jésus-Christ. Désormais, c’est la seule Foi en Jésus qui sauve !

Tandis que notre France se dissout dans une Europe démocratique, notre Père, très concrètement, trace la voie par laquelle elle pourra retrouver sa splendeur catholique, royale et communautaire, soumise à son Roi Jésus-Christ.

En quoi consiste notre religion ? À nous faire plaisir ou à faire plaisir à Dieu ? À goûter les effets du Saint-Esprit ou à lui demeurer fidèles ? Finalement, voulons-nous être charismatiques ou catholiques ?

L’Église est un Corps dont chacun de nous est un membre. Grande révélation qui nous vient là pour la première fois : on ne se sauve pas tout seul !

Sans la Croix de Jésus, le miracle permanent de l’Église ne se conçoit pas !

En 2000, après la divulgation du Secret de Notre-Dame de Fatima, notre Père résolut de s’effacer derrière son élu, Jean-Paul I^er. Or sa prédication nous révèle en lui un disciple fervent de saint Augustin !