Le Dieu du XVIIe siècle sera-t-il un Dieu de terreur sacrée, calviniste, janséniste, ou un Dieu de miséricordieuse bonté, parlant au cœur, catholique ? Saint François de Sales a été suscité par notre très chéri Père céleste pour répondre à cette angoissante question. Portant son cœur dans ses mains, l’évêque de Genève trace le sillon où s’engageront tous les saints canonisés de ce siècle, mais aussi d’innombrables Philothée et Théotime de bonne volonté.
Sœur Camille résume en une conférence la retraite prêchée par notre Père en 1995 : l’enfant prédestiné – « Mon Dieu et ma mère m’aiment bien » –, l’apôtre du Chablais – « Il faut reconquérir Genève ! » –, le parfait évêque de Contre-Réforme – « l’autre Charles de deçà les monts » –, enfin l’incomparable père spirituel et sa « douce rencontre » en 1604 avec Jeanne-Françoise Fremyot de Chantal. Le torrent d’amour tout divin découlant de l’unique cœur de ces deux saints, devait toucher, convertir, enflammer tout leur siècle du feu du saint Amour et de la tendre dévotion, pour le préparer à la grande révélation du Sacré-Cœur.
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