Un beau témoignage sur la vie et l’œuvre de notre Père, qui suscitera à coup sûr de nouveaux disciples qui éprouveront à leur tour la joie de la Vérité !
Il y a cinquante ans, nos frères Bruno et Gérard rencontraient l’abbé de Nantes au collège Saint-Martin de Pontoise. L’aventure commençait... elle n’est pas achevée.
Les péripéties du combat de notre Père deviennent haletantes : appel à Rome, suspense, dénonciation de la Réforme qui se répand dans l’Église comme un cancer, ouverture du procès en mai 1968.
Pour le service de l’Église, notre Père n’hésita pas à compromettre son projet de fondation monastique. Les années 1970 furent néanmoins très fécondes, en étroite convergence avec le Secret de Notre-Dame.
Notre Père fut marqué par la Providence pour mener le combat de la foi contre la Réforme conciliaire. Après l’intermède de Jean-Paul Ier, il reprit la lutte, contre l’humanisme gnostique de Jean-Paul II.
Le modernisme pontifical est le principal objet du deuxième livre d’accusation de notre Père, dont le labeur acharné de docteur de l’Église a préparé les voies à sa renaissance.
Notre Père identifia la “ gnose unanimiste ” de Jean-Paul II, imposée à l’Église par le Catéchisme de l’Église catholique, à l’encontre duquel il déposa à Rome le 13 mai 1993 un troisième livre d’accusation.
Charles de Foucauld est mort seul, comme un grain de blé et de faux disciples ont travesti son image. Mais notre Père, parfait disciple, a porté son héritage à sa plénitude par son œuvre et sa doctrine totale.
Une présentation de la situation de notre communauté et de celle de notre Père, à l’abri du bouclier du droit de l’Église. Nous sommes à la dernière place, mais libre de garder notre foi catholique.
Comme Saul de Tarse ou Charles de Foucauld, notre Père a été “ mis à part pour l’Évangile ”.
